UNE NOUVELLE IDENTITE POLITIQUE EN COTE D’OR (1/2)
Depuis de nombreux mois, vous lisez mes articles de fond et mes prises de position politique, vous avez découvert ma biographie, mes projets de territoires, mes axes associatifs et certains me demandent sur quoi cela va-t-il aboutir.
Comme fidèlement avec mes méthodes de raisonnement, je vous propose d’élaborer un OPACQ global de situation en posant les questions stratégiques Quoi, pourquoi, quand et qui (d’identité) puis les questions opérationnelles où, comment, avec qui …
Par François CHARLES
Ancien cadre de partis, gaulliste social libéral, créateur de Droite Fédérale, ancien conseiller sur le canton de Montbard pour les cantonales
Quoi faire et pourquoi ?
En revenant en Bourgogne, mon but était d’être actif pour partager mes idées et mes compétences ainsi que faire remonter les besoins et idées de la population dans une dynamique territoriale, nationale et européenne soit en accompagnant, soit en prenant une place.
Mais il s’agissait aussi de prendre un mandat potentiel. Je suis ancien membre et conseiller aux grandes écoles du RPR, puis conseiller national DL puis de l’UMP. Revenu en Cote d’or en 2009 après 30 ans passés à Paris, à l’étranger à faire de la politique industrielle, et un moment dans le Val d’Oise, à faire de la politique tout court, je suis allé sonner à la porte des parlementaires, devenus amis ou désormais anciens amis (…), pour analyser les places à prendre ou apporter simplement mon soutien. J’avais déjà émis ce souhait à l’UMP en 2005.
Cette expérience m’a montré que mes idées et mes compétences étaient efficaces et attendues, que mon attitude d’ouverture était appréciée et m’a permis de me redonner goût à une certaine forme de combat politique que je n’imaginais pas reprendre mais il faut savoir parfois reprendre le chemin.
Mon objectif est européen, voire national de par mes compétences et mes convictions, mais un mandat local de maire m’attire également désormais, ce qui n’était pas le cas dans les années 2000, sans doute du fait de mon positionnement professionnel qui s’était détourné du terrain.
Comme prévu en septembre, j’ai l’intention de me faire davantage connaître comme vraie force de proposition et de réaction positive avec laquelle il faudra de plus en plus compter et j’espère trouver échos plutôt que lutte mais cela semble mal parti.
Ayant quitté l’UMP bien qu’étant toujours en relation avec ses membres, je resterai indépendant, ou serai sans doute a mené à rejoindre un parti pour le redynamiser mais en cohérence avec une démarche de raisonnement claire. Je resterai de toute façon actif directement ou indirectement comme générateur d’idées, conseil et animateur. La réponse est surtout incluse dans la question « comment » de la seconde partie
Et en dehors de tout mandat potentiel, je me qualifie volontiers d’animateur politique et territorial car la politique se vit et se mène tous les jours et pas seulement pendant les échéances électorales.
Vous retrouvez peu à peu ma vision détaillée dans mes articles de fond. Dans les grandes lignes, je cherche à être garant d’une identité nationale mais dans une dynamique européenne qui doit revoir sa gouvernance et ses règles de concurrence. J’ai parlé et travaillé sur le Buy Européen Act, comme sur le Small Business Act depuis longtemps. Je suis proche de l’industrie mais pas à l’importe quel prix, comme du temps du Général de Gaulle avec des solutions à trouver au niveau européen. Il convient de restructurer, optimiser, décloisonner les budgets et actions de recherche pour faire mieux. Je considère qu’il convient de redéfinir et renforcer le périmètre Schengen, que le vote doit être ouvert aux européens mais de façon réciproque comme en matière d’embauche. Cumulée à ce meilleur filtrage à l’entrée avec critères d’installation pour éviter toute dérive, il faut surtout mieux contrôler l’attribution des aides sociales et fiscales. Des solutions de transport locales doivent être développées en partenariat public-privé. Une attitude plus responsable doit être développée dans la santé au niveau rural. Une refondation de l’éducation et des orientations de carrières doit être faite dès le plus jeune âge pour réapprécier et revaloriser les travaux manuels ; la politique salariale et de partage des profits doit être encadrée pour une dynamique saine. Je cherche à protéger notre filière nucléaire mais tout en développant les autres énergies pour éviter toute dépendance sauf si une règle d’or européenne de segmentation et de partition énergétique est bâtie. Je demanderai un audit des multiples flux financiers et dispositifs souvent superfétatoires de recherche et la mise en place d’une structure d’orientation et d’échanges de bonnes pratiques pour faire davantage et mieux. En matière de défense, j’ai milité pour un retour entier dans l’OTAN, que je connais, véritable vecteur d’intégration européen et ne soutient pas systématiquement toute action extérieure. En matière de politique publique, je considère d’une part que la RGPP a été une bonne chose si, comme avec la mise en place d’un système de qualité, elle débouche sur une meilleure prise en compte des tâches et du travail réalisé, et d’autre part que le service public doit exister mais qu’il doit davantage montrer l’exemple. Je milite depuis 1998 pour un meilleur partage des bénéfices en entreprise et désormais pour un encadrement de la fourchette de salaires dans une même entité. J’ai demandé la taxation des flux financiers pour réduire ces derniers et surtout casser la bulle spéculative qui ne sert pas à l’économie, un peu comme l’orage dont la pluie ne nourrit pas le sol. Mais cette mesure est particulière quand on sait que les Etats empruntent pour rembourser leurs dettes. L’écologie est une belle cause mais je considère qu’elle ne doit être politisée et qu’elle a son rôle au centre. Enfin, je viens d’obtenir l’ouverture contractuelle de certains moyens industriels étatiques au profit de PME.
Plus concrètement sur les territoires, vous êtes en train de découvrir de nombreux articles « techniques » comme « pour une agriculture forte et moderne », « pour une vraie politique industrielle », « santé et ruralité » « transports et ruralité » « logement et ruralité » etc et bientôt bien d’autres sur l’ensemble de la politique générale du pays déclinée au niveau local
Aujourd’hui une seule formation politique de droite ne peut être seul représentative des suffrages au risque de voir partir de nombreux votes. Un parti peut-être leader mais si et seulement s’il sait travailler avec les autres composantes de sa famille. Une vraie politique de coopération implique sans doute et de façon optimale un candidat et un suppléant de formations différentes afin de défendre une complémentarité de valeurs sauf si bien entendu une même et unique personne se revendique de tout …
Qui ?
J’ai acquis une connaissance et une intelligence des métiers, du vocabulaire et des enjeux des organisations à travers des expériences fonctionnelles et opérationnelles en stratégie, management, maîtrise des risques, coopération et négociation internationale à la Délégation Générale pour l’Armement, dans l’industrie et les services ainsi que comme consultant dans un grand cabinet d’audit puis de façon indépendante au profit des groupes, des PME et des collectivités
Mon esprit d’ouverture et d’écoute, mon respect de la « rigueur dans le bon sens», mes expériences en matière de négociation, de communication, mon goût prononcé pour la sociologie, l’histoire, le dialogue et les relations humaines complétées dans le domaine de la protection financière des particuliers et des entreprises, font de moi un interlocuteur reconnu pour une approche globale dans une optique de maîtrise des risques, d’optimisation, de développement durable et d’innovation au niveau local comme national ou européen.
Issu d’une famille paysanne détenant une importante exploitation agricole, à la fois homme de terrain et de réflexion, divorcé, père de deux enfants, je suis né en Cote d’Or il y a 49 ans, où je passai ma jeunesse et où il habite à nouveau depuis 2009.
Interne de la 6e à la terminale à St Joseph puis Notre Dame à Dijon, je commence des études d’ingénieur à l’ESIEA à Paris puis rentre au ministère de la défense. Après 5 ans de services dans l’Arme Blindée Cavalerie en Allemagne, je deviens officier de carrière après des études à l’Ecole Supérieure d’Administration de l’Armement et prends en 1992 le poste d’adjoint au chef de bureau des affaires multilatérales internationales au Service Central des Affaires Industrielles de la Délégation Générale pour l’Armement (DGA). J’y mène des dossiers de coopération et de rapprochements de grandes entreprises en Europe et en Asie, suis chargé des sujets industriels OTAN et du suivi de la recherche interministérielle ainsi que de la normalisation aéronautique européenne. Je suis chargé de la définition de la politique de retour industriel et deviens le point focal des affaires de compensation au profit des PME de défense où je propose notamment la création d’une structure interprofessionnelle innovante. J’apprends à développer une approche mûrie des dossiers, proche du terrain, pour des actions réalistes, réalisables et efficaces. Pendant le même temps, j’intègre l’enseignement militaire supérieur de l’armement, poursuis un cursus de formation en commerce international et deviens titulaire d’un DESS de défense, géostratégie et dynamiques industrielles de l’université Paris II.
En 1995, après un Master audit & conseil suivi à l’ESCP Europe,qui m’amène à travailler chez Arthur Andersen, j’intègre la cellule réflexions méthodologique du Service d’Enquêtes de Coûts de l’armement. En 1996, je suis appelé à la Direction des Relations Internationales pour mettre en œuvre le plan stratégique d’exportation et créer la cellule de stratégie d’exportation où j’effectue notamment une mission parlementaire pour le compte du Ministère de l'Economie et des Finances en matière d’investissement et de développement économique en Amérique du Sud.
De 1997 à 2002, je crée un groupe de conseil et accompagnement en stratégie, management et gestion de crises au profit des entreprises et des collectivités où j’oeuvre notamment pour les partenariats européens ainsi que dans la mise en place de plans de pérennisation pour les PME. J’en profite également pour me former aux aspects de protection financière et sociale avec AXA Conseil. Dans le même temps je deviens Président de parents d’élèves dans l’enseignement privé puis l’enseignement public.
De retour à la DGA à la fin de son congé sans solde, je suis nommé au bureau de la stratégie du Service de Maintenance Aéronautique jusqu’en 2004 où je contribue à la redéfinition de l’identité et l’amélioration globale des nouveaux modèles économiques opérationnels nationaux et européens. Je participe à une réflexion nationale sur l’industrie aéronautique et suis doctorant en économie à Paris 1 la Sorbonne sur la création d’une identité de maintenance aéronautique européenne. Je suis ensuite nommé risk manager des programmes d’armement terrestres où j’anime et facilite les programmes par l’approche humaine et ma connaissance globale de l’environnement industriel et contractuel. Je deviens également animateur éco-conception.
Formé au métier de coach ainsi qu’à différents outils et méthodes d’approche humaine, je suis depuis 2009 à la tête d’une société où j’assure des missions conseil, coaching et formation en stratégie et management au profit de structures, de projets innovants, de dirigeants et d’équipes dans l’industrie, des collectivités, de l’hôtellerie et le monde agricole dont je me suis à nouveau rapproché. Je suis les déontologies de la Société Française de Coaching et de L'International Coach Federation (ICF). J’ai pu créer l’approche SPM (Stratégie, Psychologie, Processus, Management, Marketing, Mental) avec laquelle j’anime le fonctionnement et le développement des organisations. Professeur vacataire depuis 20 ans dans certaines universités, écoles de management et d’ingénieur en politique générale d’entreprise, intelligence économique, lobbying et approche client, communication et management de projets, je suis l’auteur des « fabliaux du management – penser autrement pour agir autrement » (Ed. Chiron 2003) ainsi que de nombreux articles sur l’Europe, l’économie, l’intelligence économique, le management et la défense. J’ai enfin créé le concept des livrets mémos
Membre d’organisations patronales, je suis fondateur de l’Institut de Recherche et de Communication sur l’Europe (IRCE), qui contribua au projet de convention européenne, fut partenaire officiel euro de la banque de France et qui développe des approches comparatives, de l’association humanitaire Alquemia dans le domaine de l’eau, et de l’Association de Soutien du Sport Français. Je suis formé à l’intervention de crise humanitaire internationale avec l’Ordre de Malte.
Depuis mon passage à la DGA, en fort de mes réseaux et savoir-faire, j’aime initier des projets de territoire et collaboratifs d’envergure tout en prenant en compte les réalités locales
Politiquement, je me qualifie gaulliste social libéral plutôt orienté vers la création de valeur par l’outil industriel, les grands travaux et le service mais avec une forte prise en compte de l’effet de levier social mais aussi de la notion de partage des succès et des risques en toute responsabilité pour y parvenir. J’ai adhéré au RPR en 1978 à Dijon comme militant de base puis j’ai été membre du conseil des grandes écoles à Paris. Après une parenthèse pour cause de statut militaire mais avec des expériences riches en matière de politique industrielle, gestion des dossiers, connaissance du système administratif et industriel, j’ai oeuvré au sein des clubs idées actions et suis devenu conseillé national pour le Val d’Oise de Démocratie Libérale à sa création sans avoir l’opportunité d’être élu. J’ai créé le club de réflexion Droite Fédérale avant de rejoindre à nouveau le ministère de la défense. A la fois présent à Paris et en région, je m’affirme aujourd’hui en soutien de l’UMP d’une façon générale en Bourgogne et Franche Comté et de façon particulière dans les 2e et 4e circonscription de Cote d’Or dans lesquelles j’habite ou suis initiateur et porteur de projets. J’anime par ailleurs des réunions de « Marketing politique » invitant chaque composante à s’exprimer sur son positionnement à partir de support de communication proches du monde de l’entreprise. Mon objectif essentiel est de pouvoir être élu aux élection européennes afin de pouvoir instruire et défendre nos régions et l’Europe comme j’ai appris à le faire au sein des ministères puis désormais avec une approche éprouvée de terrain nationale et internationale mais toujours connectée à l’Etat et aux collectivités
Enfin, je suis passionné d’histoire, surtout militaire et de civilisations, et j’espère que le muséoparc d’Alésia obtiendra le succès attendu par ses concepteurs.
J’ai toujours affiché ma ligne sociale, libérale et gaulliste mais à droite pour respecter la force motrice de la croissance industrielle et des services mais sans oublier la valeur humaine qui est pour moi un effet de levier que j’utilise pour conseiller les entreprises et les collectivités.
Je n’aime pas le terme de conservatisme ou de progressisme attribué respectivement à la droite et à la gauche car le progrès peut être social et industriel. De même, libéral ne signifie pas forcément laisser aller mais moins d’Etat pour mieux d’Etat dans une logique de responsabilisation, de transparence, de bonification mais aussi de sanctions.
Pour structurer intuition et action, j’utilise les méthodes de stratégie, de marketing, de management et de processus ainsi que l’effet de levier humain pour poser les bonnes questions, voire les bonnes options et progresser vers les bonnes décisions à partir d’objectifs mesurables, réalistes, réalisables et déterminés dans le temps
Si je réalise mon blason, ma devise personnelle est Force, honneur et passion. Je me vois rayonnant mais à la fois social et solitaire plutôt loyal que fort, avec de nombreux projets en tête mais réalistes et réalisables. Ma biographie est disponible sur mon blog et cet article est déjà assez long. On me voit plutôt UMP mais comme vous le lisez, je suis plus modéré mais sans perdre mon pied d’appel à droite. Ce que je déteste le plus est le mensonge, le blâme, le reniement et l’irresponsabilité par manipulation. Je déteste aussi la ségrégation, les œillères, les grand Ayatollahs et le manque d’écoute. C’est d’ailleurs pour cette raison que je n’ai pas intégré une loge Franc Maçonne qui correspondait à mes valeurs sauf pour cet esprit de cloison.. Je ne suis pas, comme François Hollande le disait à Dijon, celui qui prend aux autres, mais plutôt un conceptuel, visionnaire, bâtisseur et porteur de sens. Mais comme lui, je ne critique pas systématiquement parce que les autres ont fait ceci ou cela. Comme JF Copé, j’allie un peu l’homme de cœur et l’homme d’idées. Je m’offusque que certaines personnes tierces se permettent de colporter des informations sur d’autres pour blesser ou tuer.
Au lendemain de l’élection de F Hollande et de la gauche à la Présidence de la République, je m’interroge comme en juin 40, sur la position à prendre entre d’une part l’armistice dans une logique de reconstruction au risque de devoir finalement tout accepter, d’autre part de « continuer le combat » de l’extérieur ou enfin d’assurer une résistance pour mieux préparer le jour J. Je relis le testament de Pierre le Grand, Weygand, De Gaulle, Sun Tsu, Clausewitz…
Je n’ai encore jamais eu l’occasion de trouver « un vide » afin de pouvoir me présenter à une élection mais on m’y pousse régulièrement. J’ai créé Droite Fédérale juste avant celle de l’UMP pour animer les réflexions à droite et j’ai créé l’approche marketing politique SPM (…) pour tenter de faire expliquer la politique autrement au-delà des luttes de personnes.
Une chose est certaine : autant je ne veux pas être embauché pour mon carnet d’adresses mais pour mes compétences, autant je ne veux pas être celui qui aura contribué à diviser ou affaiblir certains leaders par opportunisme ou par jeu stratégique
Pour gagner le combat et se démarquer, le vrai politique doit savoir penser autrement pour agir autrement et maîtriser certaines choses parmi lesquelles : ne pas mélanger combat politique et combat personnel, ne pas se tromper de cible, savoir se remettre en question et reconnaître ses erreurs, combattre l’adversaire comme un ennemi mais sans le sous-estimer en le respectant sans être sectaire, décider et agir de façon équilibrée et responsable en sachant dire non pour mieux atteindre ses objectifs et enfin, savoir convaincre et montrer qu’il peut être à la fois porteur de sens, leader responsable et opérationnel dans les assemblées sur le terrain par son mandat.
La politique est surtout une « Règle de conduite décidée pour une certaine période de temps en vue d’atteindre certains objectifs généraux ». La politique générale d’une collectivité comme celle d’une entreprise s’appuie sur un choix d’objectifs généraux et de stratégies adaptées, un choix de structure autour de spécialisations, un processus de décision et un choix d’identité
Les décisions engageant les collectivités ou l’Etat sont des décisions politiques prises avec la justification d’éléments techniques, financiers, économiques, sociaux…Comme pour une entreprise, je considère qu’une commune, une collectivité, un Etat peuvent être pilotés avec vision, un objectif, des réalités, des options de prises de décisions spécifiques, mesurables, réalistes, réalisables et déterminées dans le temps
Etat et collectivités peuvent également fonctionner avec les entreprises, comme de leurs administrés, à livres ouverts, à coûts objectifs, avec bonus, malus avec des éléments analysés pour continuer ou revoir la politique générale dans une vraie politique de partenariat public / privé avec des droits et des devoirs surtout quand il s’agit d’argent public même si possible en mettant l’humain comme vecteur d’accompagnement du progrès.
Il n’est pas normal que la Cour des Comptes relève autant d’anomalies mais cela peut être compréhensible quand on sait que nombre de nos politiques, élus sur leur image et le ton de leur voix, ne savent pas ce qu’est une stratégie, une négociation, comment fonctionnent les finances publiques, ce qu’est une entreprise… mais pourtant donnent des instructions sans souvent aucune vérification de ce qu’on leur dit. Le bon politique soit faire appliquer la règle dans le bon sens. Certes, une étude peut donner bonne conscience ou éviter une catastrophe mais une étude de risque peut aussi éviter … des travaux inutiles.
Enfin le vrai politique comme le vrai sportif sait combattre l’adversaire sans faire de sentiments pour mieux gagner mais sans l’insulter sur le tatami ou le terrain de rugby. Et, comme je l’ai déjà vu à l’étranger dans le domaine commercial entre industriels français incapables de s’entendre face au concurrent qui sourit, mais en oubliant souvent qu’ils véhiculent l’image de la France et qu’il en va de l’intérêt de la Nation, certains lutent dans le même camp généralement pour des affaires de personne alors qu’ils pourraient mettre leur énergie à combattre ensemble le camp adverse MAIS à partir de leurs différences reconnues et de leurs tailles apparentes et réelles respectives. Il n’y a qu’un pas pour parler d’Europe…
Après le « quoi » et le « pourquoi » et le « qui », arrive la question du « quand » pour clore les questions stratégiques
Quand ?
Je suis arrivé juste au moment des régionales où je n’ai pas voulu faire ma lettre de candidature mais où j’ai participé à la majorité des meetings me donnant l’occasion de connaitre certains élus. Mon intervention à Besançon a été remarquée et François Sauvadet m’a même remercié avant… de me remercier une novelle fois mais différemment.
Je n’étais pas intéressé par les cantonales et notamment à cause du manque de place sur ma circonscription déjà bien ancrée à droite avec des personnes de valeur. Je suis allé porter de l’aide dans un autre canton plus éloigné où l’élue et son équipe ont atteint un score jugé illusoire au départ.
Arrivent maintenant les législatives où une possibilité s’offre à moi mais avec certaines réalités et conséquences à prendre en compte sur l’avenir.
Mais sans prendre de mandat, l’action doit être permanente en dehors des échéances électorales, ne l’oublions pas
Puis suivront les autres questions où ? avec qui ? contre qui ? comment ? …