L’hyper-matrice transactionnelle ®
Certains confrères coachs utilisent leur personne seule et c’est leur façon de travailler. Tant mieux si leurs clients en profitent pleinement pour trouver leur chemin. De par mon profil de personnalité, je suis un coach et un animateur qui donne et utilise un certain nombre d’outils qui permettent de mieux structurer mon accompagnement. Les clients savant aussi pourquoi ils viennent me voir par recommandation.
Etant formé à un certain nombre de méthodes, que je trouve complémentaires en matière de connaissance de soi et de l’autre, j’ai laissé œuvrer ma force conceptuelle en créant une hyper-matrice transactionnelle au profit des praticiens. Il ne s’agissait pas de bâtir un modèle de plus mais d’identifier tous les liens possibles et complémentaires entre les méthodes actuelles pour en tirer leur force commune et mieux accompagner.
Par François CHARLES
Coach, conseil, formateur et auteur en stratégie et management, créateur du modèle SPM® et des booklets mémo de management
Outre le fait qu’elle peut faire travailler ensemble, ou détecter les Ayatollah de ceci ou de cela (…), elle permet d’aider certains profils de personnalité difficiles, comme par exemple ceux présentant déjà un très grand équilibre mais acquis sans compréhension des émotions et demandant un travail approfondi pour identifier les bases réelles de fonctionnement, le « pied d’appel ». Il s’agit aussi des profils présentant certaines incompréhensions entre la perception du praticien et l’appréciation du client.
Elle peut aussi déjouer les protections intuitives ou voulues des clients. Elle permet d’obtenir une consolidation rapide d’écoute active, utile en gestion de crise ou en négociation, pour se synchroniser aux besoins psychologiques et aux situations de stress, voire également pour se désynchroniser en cas de besoin. Elle est issue de plusieurs années d’affinage, de confrontation et d’appréciations entre mes pairs. Elle s’adresse aux praticiens et reste ouverte à toute amélioration. Elle ne figurera donc sine die ni en photo ni dans les booklets mémo®.
Les sept méthodes utilisées et croisées sont la Process Com, le MBTI, l’Enneagramme, la morphopsychologie, la PNL, le TMS et l’AT, auxquelles je me suis formé, qui ont été positionnées sur une matrice commune à quatre cases et appréciable pour ses axes de prise ou non d’initiative dans l’action ou la relation. D’autres méthodes comme par exemple des couleurs peuvent venir désormais s’y greffer.
L’utilisation en est simple mais la condition est de savoir utiliser plusieurs méthodes ou de travailler de façon ouverte avec des confrères utilisant des outils complémentaires mais incluses dans la matrice. De la même façon qu’un médecin demande des examens complémentaires, ou l’avis d’un confrère, quand il n’est pas certain de son diagnostic, le praticien qui trouve des difficultés de résonnance avec sa première méthode, mais désirant la conserver, pourra tester ou faire tester une ou plusieurs autres méthodes et regarder quels sont les possibles éléments de réponse communs permettant de consolider ou remettre en question les premiers résultats. Transformez-vous en ouvreur de coffre fort de votre client …
Prenons un exemple : votre interlocuteur avec un visage très équilibré mais à tendance rétracté légèrement dilaté ce qui est perturbant. Vous engagez la parole en lui tendant une perche à laquelle est répond « oui mais... » et avec une question». Votre « victime » et votre « travaillomane », plutôt dans la reprise d’initiative, vous donnent déjà une résonnance affinée. Il faudra ensuite tester les opinions du profil très voisin « persévérant ». Les polarités « J » et « S », confirmeront-elles et seront-elles plus présentes de « P » « T » ou « F » ? que donne le centre de gravité des quatre polarités ? Les besoins psychologiques « 1 » et « 6 » seront-ils plus résonnants que « 7 » et « 3 » ? Si vous avez au moins trois liens dans la même case, vous avez la bonne clé de base, quel que soit ensuite l’outil que vous déciderez de conserver. Mon d’emploi et matrice sur demande motivée.
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Prenons un exemple : votre interlocuteur avec un visage très équilibré mais à tendance rétracté légèrement dilaté ce qui est perturbant. Vous engagez la parole en lui tendant une perche à laquelle est répond « oui mais... » et avec une question». Votre « victime » et votre « travaillomane », plutôt dans la reprise d’initiative, vous donnent déjà une résonnance affinée. Il faudra ensuite tester les opinions du profil très voisin « persévérant ». Les polarités « J » et « S », confirmeront-elles et seront-elles plus présentes de « P » « T » ou « F » ? que donne le centre de gravité des quatre polarités ? Les besoins psychologiques « 1 » et « 6 » seront-ils plus résonnants que « 7 » et « 3 » ? Si vous avez au moins trois liens dans la même case, vous avez la bonne clé de base, quel que soit ensuite l’outil que vous déciderez de conserver. Matrice sur demande motivée