LOI SUR LE RENSEIGNEMENT
vous connaissez mes liens avec le renseignement, l'intelligence économique et avec le pouvoir ou le contre pouvoir... et je me pose une question : quand on sait que la DGSI est un aussi outil de règlement de compte personnels au niveau national et local alors que les vraies affaires de sécurité existent, la loi renseignement sera-t-elle aussi un certain outil au profit des politiques qui savent bien influer sur le pouvoir judiciaire pour leur propre compte ?
J'AI TROIS AMOURS
J’ai trois amours
Eh non ce n’est pas deux
Comme dit la chanson
Mais sont bel et bien trois
Sans être à l’unisson
Sans se connaître eux-mêmes
Mais tiens donc pourquoi pas
Comme trois beaux piliers
Qui soutiennent ma vie
Le premier a le fric
C’est le plus important
Il m’offre des bijoux
Il m’offre des voitures
Il m’offre des maisons
Il m’offre un compte en banque
Je vais aux meilleures tables
Je prends les meilleurs soins
On me coiffe tous les jours
J’ai donc un joli corps
Toujours très bien bronzé
Et de bien belles jambes
Mais surtout mais surtout
Il m’offre le second
Le second c’est le sexe
Il est fou de mon corps
Et je suis folle du sien
Il caresse mes cheveux
Il caresse mes jambes
Et est tout excité
Il me baise tout le temps
N’est jamais rassasié
Et moi j’en profite bien
Je jouis trois fois par jour
Ma peau est bien plus belle
Et bien plus belle encore
Mais surtout mais surtout
Il m’offre le troisième
Le troisième c’est la tête
Il aime mon bien être
Il aime ma beauté
Il aime ma présence
Il déteint du pouvoir
Il est trèé cultivé
Il a l’intelligence
Il entretient la mienne
Que dis-je il la développe
Je rayonne avec lui
Mais surtout mais surtout
Il m’offre le premier
Enfin, disons plutôt
Celui du prochain cycle
Car la vie est ainsi
Elle tourne et tourne encore
Alors profitons en
Surtout avant la mort
Comme disait la chanson
Je m’aime à travers vous
Un prêche porteur de sens
Je vous livre aujourd’hui une partie d’un prêche de prise de conscience sur le rôle des prêtres que j’ai pu entendre dans une église de Bourgogne. S’il rappelle certaines prises de position d’évêques et de papes, il en reste surtout applicable à tous, et notamment aux dirigeants d’états ou d’entreprises à qui nous faisons notamment découvrir la règle de St Benoît comme outils de management et de vie.
Par François CHARLES
Coach, conseil, formateur et auteur en stratégie et management, animateur européen
« Le rôle d’enseigner n’est pas de faire le professeur qui sait tout, mais de montrer comment ça marche avec le peu que l’on connaisse.
Nos politiques ne nous disent plus rien de déterminant, tel un robinet d’eau tiède et nos religieux semblent prendre ce chemin en nous enfermant dans un système sclérosé.
Enseigner c’est dire pourquoi on manque de pères. Mais une paternité qui tienne debout avec force et indulgence, rigueur et ouverture , fidélité et audace.
Enseigner c’est voir ce qui convient et oser dire les choses sans trop briser, ce qui est la dure mission des Evêques, contrairement à nos politiques ficelés par la finance et non porteurs d’idées
Faut-il des pasteurs qui aillent dans le sens que vous voulez ou bien qui montrent le chemin en disant ce qu’ils pensent et autre chose que les autres, qui ne sont pas dans le conformisme, qui cherchent à donner une porte de sortie, qui ont assez de nez pour un nécessaire discernement »
Je prends et j’accueille ce prêche avec bienveillance en tant qu’enseignant aillant constitué une certaine boîtes à outils utilisables de façon universelle car il me relance dans cette quête justement qui est d’expliquer comment ça marche. Sans doute que je n’explique par contre pas assez au départ que je ne sais justement pas tout.
S’agissant du manque de pères, certes religieux, il faut lire de façon sous-jacente de pères de familles, de peuples, de Nations, qu’ils soient « parents » bienveillants ou normatifs, capables aussi d’aller dans l’adulte objectif.
Le robinet d’eau tiède mettait certes les Evêques courageux à part et j’invite les politiques de religion chrétienne mais également toute religion confondue, à considérer qu’ils ont un devoir de guide et non de girouette qui tourne dans le sens des bulletins de vote.
J’invite bien entendu tout dirigeant à prendre conscience de son rôle de guide de son organisation et des personnes qui la composent, qu’il n’intègre que trop peu.
Enfin, même si la Grèce nous rappelle, et comme d’autres pays ne le font pas, qu’il n’est pas permis de profiter sans se protéger sous peine de contaminer les autres qui nous y ont d’ailleurs incité, je ne donnerai pas la parole à un candidat régional dont la vision se résume uniquement à aller chercher un milliard d’euro pour conquérir des voix.
La vérité est ailleurs.