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Le blog philosophique de francois CHARLES

Du droit de l’assistance des étrangers… en 1938

13 Juin 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #social

 A l’heure où l’on parle du droit de vote local pour les étrangers, je vais me reposer intellectuellement en vous retranscrivant un passage  du « manuel d’enseignement social » de 1938  à destination des écoles d’infirmières et d’assistantes sociales que je viens de retrouver et dont je vous laisse la réflexion en cette année 2012…

 

 « Du droit de l’assistance des étrangers : La question est de savoir si l’on doit accorder le bénéfice des lois d’assistance aux étrangers fait intervenir des considérations qui ne se concilient pas toutes.  Il y a le point de vue humanitaire ; il y a le point de vue économique en ce sens que la main-d’œuvre étrangère fait la concurrence à la main d’œuvre nationale et qu’ailleurs elle supplée à son insuffisance ; le point de vue des charges financières qu’occasionne l’assistance ; le point de vue police et sécurité en ce sens que l’étranger est souvent non pas seulement une non valeur, mais encore un élément dangereux ; il y a le point de vue de notre natalité déficitaire qui trouve un remède partiel dans l’immigration étrangère. Beaucoup de travailleurs étrangers se font naturaliser (une résidence d’un an à trois ans, suivant leur situation ou leur mérite, est exigée postérieurement à l’âge de dix-huit ans). Leurs enfants qui naissent en France et y sont domiciliés peuvent, durant leur minorité, acquérir la nationalité française par l’effet d’une simple déclaration devant le juge de paix. A défaut de cette déclaration, ils deviennent néanmoins Français de plein droit, si dans l’année qui suit leur majorité, ils n’ont pas répudié cette qualité par la même procédure. On a donc raison d’assister des gens qui sont, peut-on dire, Français sous conditions résolutoire. Pour traiter cette question, il n’est pas mauvais enfin de voir, à côté du citoyen, l’homme par delà les frontières politiques.

 

Quoi qu’il en soit de ces diverses considérations, sauf conventions réciproques passées avec quelques pays (Italie, Suisse, Luxembourg, Belgique, Pologne, Espagne, Autriche). Cependant, le point de vue humanitaire intervenant, les établissements hospitaliers, les communes et les bureaux de bienfaisance, surtout lorsqu’il s’agit de malades, ne manquent pas de secourir les étrangers indigents ; mais alors ils supportent seuls les conséquences de leur geste généreux. Notons enfin que les travailleurs étrangers ayant leur résidence en France bénéficient des assurances sociales et que, par la suite, la question de l’assistance perd un peu de son importance, et cela à l’avantage des collectivités et principalement des hôpitaux.

 

Les ressortissants des pays ci-dessus énumérés (sauf l’Espagne, l’Autriche et la Suisse), lorsqu’ils ont en France une certaine durée de résidence (cinq ans pour l’assistance médicale, l’assistance aux femmes en couches, aux familles nombreuses et aux aliénés ; quinze ans pour les vieillards, infirmes et incurables) sont assimilés aux nationaux.

 

Lorsque la résidence est inférieure au temps voulu, il faut distinguer :

Si l’assistance se prolonge au-delà de 45 jours (60 jours pour els Polonais) ou encore s’il s’agit de rechute ou de maladie chronique, les frais sont d’abord supportés pas l’Etat français qui récupère ensuite sur l’Etat étranger

b) si l’assistance dur e moins de 45 jours, l’assimilation aux Français est complète …. »

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Air France : restructuration mais pourquoi pas innovation ?

13 Juin 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #économie

Le transport aérien s’accroit en Europe, la concurrence est présente dans les airs mais également avec le train en dessous de 3 heures et l’annonce de la restructuration d’Air France était à prévoir afin de pouvoir disposer à nouveau d’un bon ratio de productivité et d’une politique de prix compétitive.

 

Même si la facture de kérosène est à peu près la même pour tout le monde à technologie égale, il apparait en période d’austérité et de concurrence que les grosses structures, engluées dans leurs coûts administratifs indirects, ont souvent des pieds d’argile.

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Par François CHARLES

économiste, conseil en stratégie et management, ancien cadre de maintenance aéronautique, porteur de projet de la Compagnie First Class Airline

 

Les grandes compagnies peuvent difficilement maintenir une politique d’ombrelle de prix élevés pour accroître les marges, rentabiliser les investissements et mieux se préparer à parer les offensives concurrentes, qui sont souvent un élément moteur au changement. Offrir des prix raisonnables peut être possible par une politique de réduction de coûts, tout en essayant de conserver un certain niveau de qualité qui pourra faire la différence. Il est possible de contrôler cette rentabilité en passant par une analyse et une  recréation des coûts, tous variables, (ABC/ABM) par segment d’activité sur les moyens courriers et les longs courriers.

 

Air France a segmenté son offre nationale d’une part avec les navettes partant de Paris et traversant les France et d’autre part avec la compagnie Régionale et ses avions essentiellement turbopropulseurs. Pour les moyens courriers, elle lutte encore avec ses trois classes, contre les autres compagnies  nationales ainsi que les compagnies low cost offrant pour certaines des services de grande qualité à la carte et non packagés. Air France a néanmoins créé sa propre compagnie low-cost, Transavia, sur certaines destinations, après négociation avec les syndicats. La société n’a qu’un lien financier avec Air France et n’est donc pas impactée par les frais de structure de la maison mère. Pour les longs courriers, la compagnie conserve ses trois classes dont la « première » avec un salon de réception et de facilitation à l’embarquement à Roissy.

 

Même si ces compagnies filiales montrent une bonne rentabilité, on peut penser que la politique générale d’Air France maintiendra ses flottes dans une même structure, Air France industries, assurant le soutien, étant elle-même un département, travaillant certes à 50% pour la concurrence, alors que Luthansa Technics est une filiale. L’optimisation passera sans doute par l’augmentation des vols de la filiale low cost qui maîtrise ses coûts. Mais pourquoi ne pas imaginer une structure filiale pour chaque rayon d’action ?

 

La segmentation structurelle doit également dériver sur une segmentation marketing de l’offre. Dans une logique de coût/efficacité, on peut réfléchir une nouvelle fois quant à la justification des premières classes sur certaines catégories de vol moyen courrier, non rentables, face à la concurrence d’Open Sky sous la coupe de British Airways, qui fait du « business au prix de l’éco » sur une monoclasse avec de belles prestations et qui augmente son nombre d’appareils et de vols.

 

Alors que cette compagnie n’avait qu’un seul avion avant de passer chez BA, Air France l’avait bien identifiée comme concurrente en lui laissant le soin de s’installer à Orly alors qu’elle aurait donc pu se lancer elle-même sur ce segment en l’accompagnant financièrement.

 

Certes les premières classes peuvent être justifiées sur les longs courriers notamment A380 mais Air France a également refusé d’accompagner, il y a quelques années, la création d’une compagnie monoclasse super first « au prix de la first » différenciée par la qualité des prestations, jugeant qu’elle était en concurrence, justifiant le caractère souvent gratifiant de cette prestation sans la vendre vraiment, prétextant qu’elle y avait déjà pensé alors que sa filiale a aidé à dessiner les avions alors non disponibles d’occasion.

 

L’opportunité marketing et stratégique de ce projet réaliste et réalisable avait néanmoins été remarquée dans le groupe avec une étude optimisée sur le choix des avions, la qualité du service proposable, l’aménagement intérieur et le processus d’accession rapide. Les banques se sont montrées partantes espérant néanmoins le soutien d’une compagnie majeure.

 

Trois lignes sont toujours prévues depuis Roissy vers New York, Moscou et Dubai avec deux avions A 330-200 puis A 350 avec 40 places aménagées, une vraie cuisine, deux salles de bains et de nombreux salons (dont fumeur), sur un segment luxe sans risque, qui renoue avec le Concorde.

 

Un nouveau tour de table est lancé. Les restructurations n’empêchent pas non plus de prendre certaines orientations nouvelles génératrices de gains.

 

Le changement par la croissance et l’innovation… c’est peut-être aussi maintenant chez Air-France ?

 

 

 

 

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législatives Côte d'Or : Et pourquoi pas cette fois-ci une mobilisation de la Droite au second tour ?

11 Juin 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #politique

 Hier les urnes se sont exprimées. Même si la grande vague rose, d’ailleurs non attendue, n’est pas arrivée, il n’en demeure pas moins que l’Assemblée Nationale risque de passer à gauche, sauf si le changement… c’est maintenant car ce slogan peut aussi se retourner contre la gauche. Nous ne sommes plus en 1981 pour celles et ceux qui ont connu cette période et les tendances et attitudes générales de vote peuvent être perturbées.

 

 

Par François CHARLES

conseil en stratégie et management, animateur politique, créateur de Droite Fédérale

 

urne

Analysons certaines réalités sur plusieurs scrutins. Les élections législatives passées, à la fois nationales et locales, nous enseignent, d’une façon générale, et en particulier en Cote d’Or, d’une part que l’équation du second tour pour l’UMP est égale aux votes initiaux + ½ FN + ½ MODEM, d’autre part que viennent se rajouter, un % d’impact du vote présidentiel ainsi qu’un % plus minime de ressenti personnel, mais et surtout que la mobilisation au second tour sur 10 points d’abstention a plutôt généralement servi la gauche. Par ailleurs le suppléant peut faire gagner ou perdre les personnes connues comme je l’ai vécu en Côte d’Or.

 

Le vote présidentiel, et surtout le sondage donnant gagnant F. Bayrou s’il était présent au second tour, semblait justifier le vote  « anti-sarko » laissant aux députés de droite toutes leurs chances pour les législatives. Ce constat est à la fois vrai car la poussée de la gauche est modérée mais également faux car cette poussée est bien là sans doute peut-être aussi du fait que le gouvernement n’a pas attendu les législatives pour passer à l’action.

 

L’objectif de tuer le chef pour atteindre le moral de ses troupes a été atteint. Mais c’est sans compter sur les valeurs profondes et collectives des hommes et des femmes qui savant aussi aller de l’avant même sans vrai leader comme lors de la révolution française perturbant tout l’art de la guerre ou comme lors de la Commune de Paris où, de l’avis de Goncourt, la mitraille était plus forte que lors de la guerre elle-même. Mais ces réactions ne sont-elles que le monopole de la gauche ?

 

Même si les retours d’expérience disaient que NS et l’UMP et leurs alliés ne pourraient rattraper le retard pris sur le vote à gauche, légalement organisé très en amont et qu’il faut reconnaître, il s’est avéré que le pari a quasiment été atteint cassant ainsi toute logique acquise. Tout reste donc possible. Ce sont les nombreuses erreurs de communication et d’attitude qui l’en ont empêché, comme nous en remarquons cette fois-ci à gauche et dont il faut prendre note pour préserver une République responsable.

 

Au-delà du fait que ce scrutin aurait du être organisé au même moment que les présidentielles et qu’un trop plein politique se fait sentir alors que l’on tente de réconcilier les Français avec l’importance du vote, il existe aussi de nombreux autres réalités de fond. Ce n’est pas en communiquant par exemple que tous les pouvoirs ne doivent pas être dans les mains de la gauche (comme si ce privilège était parc contre normal à droite), sur des erreurs de jugement (le PS n’a jamais dit qu’il tuera le nucléaire), sur une compatibilité ou non avec le FN au dernier moment (qui n’est pas l’extrême droite), que la droite s’en sortira. Enfin … je veux dire « les » droites car en France nous semblons avoir une gauche et plusieurs droites.

 

Les résultats seront très serrés. Si la droite peut compter sur des réserves abstentionnistes, seule la 5e semble être vraiment préservée pour elle en Cote d’Or. Mais au-delà du 17, le 18 juin sera également un jour important pour l’appel qui sera émis pour le département afin de voir désormais la politique à droite (en partant du vrai centre) autrement pour voter et agir autrement.

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retrouvez certains de mes articles sur le Cercle les Echos

7 Juin 2012 , Rédigé par francoischarles

 

 

voir le lien : link

 

 

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60 ans de règne monarchique constitutionnel

4 Juin 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #politique

 

Quel formidable signe d'osmose entre Elisabeth 2, souveraine du Royaume Uni et du Common Wealth dont on sous estime parfois les liens, nous est donné en ce mois de juin 2012.

 

qu'adviendra--il à sa mort ? mais quoi d'autre qu'un sacre du prince Charles ? pourquoi la monarchie s'arrêterait-elle ?

 

 

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et que dire de la grâce étaonnante et parfaite de la jeune et nouvelle princesse...

 

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cela nous donne l'occasion de nous rappeler certaines réalités et certaines définitions

Quand on les interroge, souvent les Français confondent République, Monarchie et démocratie.

 

La Reine ne peut s'opposer mais est consultée, doit signer les orientations du Parlement mais peut aussi le dissoudre, ce qu'elle ne fait pas. Si notre système administratif bipolaire fonctionne beaucoup en Europe orientale, il existe de nombreux royaumes en Europe et qu'ils n'empêchent pas de faire fonctionner la démocratie avec des rôles bien séparés et identifiés

 

monarchie : "forme de gouvernement d'un ETat dans lequel le pouvoir est détenu par un seul chef, le plus souvent un roi héréditaire.

monarchie parlementaire : monarchie constitutionnelle dans laquelle le gouvernement est responsable devant le Parlement

république : Etat gouverné par des représentants élus pour un temps et responsables devat la nation

démocratie : régime politique où la souveraineté est exercée par le peuple

démocratie (management) : système où le leader permet à tous d'échanger entre eux et avec lui mais où sa décision reste prépondérante

 

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    production Institut de Recherche et de Communication sur l'Europe

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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François Sauvadet « votre député » sans étiquette ?

4 Juin 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #politique

samedi après midi, je tractais pour ma « non campagne » dans la 4e circoncription, ayant annoncé que je serais actif même si je ne me présentais pas pour les législatives et que la vie politique n’était pas qu’une question d’élections. Je suis passsé sans le savoir dans un village après le principal candidat, comme moi, plutôt de droite et j’ai rencontré des gens qui étaient content de nous voir l’un après l’autre pour parler de leurs problèmes, aimer les écouter et peut-être leur apporter des solutions.

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Par François CHARLES

Economiste, Conseil en stratégie et management, ancien conseiller politique, Créateur de Droite Fédérale

 

 

On m’a par contre demandé pourquoi François Sauvadet (FS) ne montrait pas son suppléant sur son affiche et pour quelle raion il n’affichait aucun parti alors que la presse, qui mène les élections, annonce que le candidat est NC-UMP, donc plutôt de droite…

Comme je l’écrivais récemment dans mes articles sur l’avenir du Nouveau Centre, en tant qu’ancien cadre de parti avec une certaine position, j’ai la chance d’être proche de certains vrais leaders et davantage au courant des vraies informations par rapport aux journalistes qui ne savent pas mentir quand ils sont geinés de ne pas avouer qu’ils subissent des pressions politiques. Heureusement qu’il en reste certains indépendants

 

Pourquoi ne pas afficher NC et UMP ? Est-ce honteux ? Ou alors serait-il rassembleur de tous alors qu’une partie de l’UMP locale cherche à exister et que FS a rejeté les propositions de réunions communes ne venant pas de lui ? Il est vrai que FS est minoritaire au NC national et qu’il s’accomode du soutien de l’UMP nationale qui a accepté de ne pas mettre de candidat sur sa circonscription en échange de son allégeance comme d’autres partis l’auraient également fait. On voit bien la lutte actuelle sur la 3e où l’UMP ne fait pas de cadeau au candidat centriste que j’apprécie mais qui parle un peu trop de FS, qu’il ne faut pas le fragiliser… etc  je suis désespéré de ce manque de fond.

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Mais alors où le situer ? Sur quel pied d’appel fonctionne-t-il ? Il est vrai que le député doit être celui de tous les administrés comme le Président de la République au service de tous les Français. J’avoue que je préfère sincèrement cette prise de non position au service de tous, comme l’élue bânie l’avait fait pendant les cantonales, plutôt qu’une navigation « à la Dutronc » adaptée au terrain, qui va « au gré du vent ». Mais c’est aussi parfois pour mieux la cacher.

 

C’est hélas le besoin psychologique des profils « promoteur » de l’analyse transactionnelle voir battant de l’énnéagramme qui mettront tout pour parvenir à leur fin mais qui décevront par leur comportement, allant jusqu’à renier ceux qui les ont soutenus et conseillé par passion, professionalisme et altruisme même pendant de nombreuses nuits d’angoisse et qui, une fois sous le projecteur, conseillent ensuite de « regarder comment font les pros » pour solde de tout compte alors que personne de donnait un kopek sur leur succès.

 

FS semble avoir peur qu’on puisse l’attaquer sur autre chose que la politique en annonçant avant les élections qu’il « sait des choses » sur ses concurrents, telle une vraie dynamite. J’espère juste qu’il vérifie ses informations car je sais professionnellement et politiquement qu’il devrait le faire davantage et qu’il a fallu que l’idée de ma candidature circule pour que je découvre les « conneries » qui circulaient sur moi ! Et pour le reste, je lui recommande le « coup de tamis » que j’enseigne. Mais je remarque aussi que l’on retrouve les mots de « l’élue » qui apprend vite.

 

FS voulait le ministère de l’agriculture car apparemment c’est un autre point qui nous rapproche même s’il a fait des coups, certes efficaces, mais sans réelle vision. Pourquoi a-t-il pris celui la fonction publique en disant même un moment qu’il augmenterait le nombre des fonctionnaires ?

 

Je misais sur son poste de ministre pour ses compétences, et non pour  contrer JLB et H Morin et sauvegarder son poste de député. Je l’avais fait avant bien d’autres, même son admiratrice qui se plaignait de n’avoir aucun vrai poste à 41 ans et qui l’a suivi pour son avenir ou « pas que » selon ses mots.

 

Quand j’ai passé mon concours d’officier du corps technique et administratif, ce n’était QUE pour intégrer la DGA alors que d’autres voies m’étaient offertes mais moins passionnantes et je l’ai obtenu avec une belle place de major. Quand j’ai déposé mon dossier d’intégration directe dans la magistrature, avec mes expériences et compétences complémentaires pour être juge d’instruction, j’ai jeté l’éponge en constatant que cette filière allait finalement se tarir alors qu’on me proposait de belles places en Cour d’Appel par exemple.

 

J’espère au rayonnement de centre d’interprétation d’Alesia dont la fréquentation semble suivre pour l’instant les prévisions (voir précédent article). Mais je trouve que le comportement de FS n’a pas été digne d’un ministre pour l’inauguration. Comme certains élus locaux, je demande un audit sur le réel coût de cette opération.  

 

Mais j’espère pouvoir travailler avec le nouveau responsable et ami du site au CG21 sur des idées que j’ai initiées pour le rayonnement du territoire notamment pour un futur festival ou mon projet hôtelier dont bizarrement on ne veut plus entendre parler notamment depuis le clash avec l’élue bannie mêlant ainsi affaires de personnes, politique et économie.

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