De la façon de terminer les guerres et de notion de "négociation"

21 Octobre 2025 , Rédigé par francoischarles

Le Président MACRON, grand spécialiste des relations internationales (...) au même titre que son ministre, continue à dire que les concessions territoriales ne doivent être négociées que par le Président Zelynsky, montrant peut etre aussi une certaine volonté européenne de dire un mot et un soutien face à toute "imposition" de douce violence et de volonté de terminer une guerre mais pas à n'importe quelle condition, ce qui risque bien de la faire durer, espérant sans doute une victoire.

L'utilisation de la langue française a souvent été d'usage comme un élément de gestion de crise dans les litiges internationaux considérant sa justesse. E. Macron devrait plutôt dire "acceptées" car un négociateur, si possible formé aux techniques liées, peut être en première ligne, comme du côté de chaque partie d'ailleurs. Nous avions presque réussi à faire accepter au président Zelynsky de partir dans les honneurs de tout ce qu'il a pu faire pour son pays pour mieux laisser se faire les négociations, tout en veillant à leur bonne tenue

Et d'ailleurs, l'arrêt des batailles et des guerre a rarement été formaté sur un modèle unique à travers l'histoire. Parfois un cessez le feu ou pas, parfois des discussions directes ou indirectes, parfois l'intervention d'éléments internes, comme politique - ou extérieurs comme les épidémies, parfois avec concessions territoriales - Alsace, Silésie, partage de la Pologne, ... - parfois sans même avec France vainqueur dans ses frontières en 1945 ou 1763 comme en 1815 vaincue ...

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