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Le blog philosophique de francois CHARLES

tractages et rencontres

15 Avril 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #politique

 

merci aux habitants des villages et villes que je traverse et tacte dans la 4e circonscription de cote d'or 

pour leur accueil et leur ouverture sur des sujets variés et à donner leurs idées pourla France Forte mais aussi votre territoire

 

 

 

n'hésitez pas à parcourir tous les onglets de ce blog qui s'enrichira bientot de nouveaux articles

 

à tres bientot 

 

françois CHARLES

 

  quelques images

Biographie François CHARLES la conjugaison d’expériences techniques et du vecteur humain

 

quelques images de vos villes et villages parmi d'autres

  IMG-20120404-00582-copie-1.jpg Saulieu et belles rencontres avec les commerçants

 

 

IMG-20120405-00585.jpg  Semur en Auxois où je viens toutes les semaines

 

IMG-20120414-00608.jpg 

 

IMG-20120412-00601-copie-1.jpg Dree vers Sombernon

 

IMG-20120414-00615-copie-1.jpg

 

 

IMG-20120414-00618-copie-1.jpg  Gemeaux

 

IMG-20120412-00593-copie-1.jpg en attendant peut-être le Parlement européen

 

 

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rejoignez moi sur facebook, twitter, viadeo, linkedin

15 Avril 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #liens sociaux facebook - twitter etc

 

 

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Revue de défense nationale : http://www.defnat.fr/site_fr/archives/res_auteurs.php?caut=658

 

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MAINTENANT, François Bayrou peut choisir sa VRAIE maison avec honneur

14 Avril 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #politique

Choisir ou ne pas choisir ? Ou plutôt quand choisir. Là est la question stratégique. L’objectif  positif de communication sur  la continuité du cap économique mais dans la modération budgétaire semble avoir été atteint. Par contre celui d’être le second ou le troisième vote ne l’a pas été car FB est resté flou dans les méthodes à adopter pour ne pas déplaire ou peut-être n’avait il pas encore fait ses choix. Pourquoi donc cette fois aller « jusqu’au bout » ?

 

FB n’est plus sauveteur des urnes au second tour ni le troisième vote et veut sans doute le rester. Mais peut être préfère-t-il être victime du système alors qu’il a beaucoup à lui apporter, notamment en communication et en régulation positive. FB peut faire son choix MAINTENANT pour sauver la face avant que ses troupes ne le quittent, car elles n’y croient plus, comme leur chef qu’elles risquent même de blâmer.

 

Par François CHARLES

Economiste, sociologue, animateur marketing politique

 

Maintenant car nombre d’anciens membres du NC n’auraient pas basculé au MODEM s’ils s’étaient moins sentis trahis très tôt ou avaient eu moins peur derrière un guide loyal qui n’avait pas peur de la force ni des intimidations pour éviter au NC de valoriser son identité… s’il en avait bien une.

 

Si le risque semble cette fois limité d’un affrontement en dehors de PS / UMP car les conditions sont différentes, il existe toujours néanmoins. Comme un guide au milieu du gué, FB peut encore sauver la face et montrer à ses fidèles dans quel chemin aller avec quelle valeurs et en représentant encore un certain score d’intention de vote avant qu’il ne soit trop tard.

 

Sans doute s’accroche-t-il jusqu’au bout par croyance des sondages qui ont analysé de façon réaliste qu’il peut gagner (voir anciens articles) s’il est au second tour par « meilleure solution de rechange » sage et père de famille en cette période de crise face à un vent de réforme essoufflant mais nécessaires ou face à des promesses sociales qui ne pourront être tenues.

 

Mon ancien mentor cote d’orien F. Sauvadet va encore s’énerver que je le contredise mais il a peut-être lancé son appel trop tôt vers François Bayrou, l’empathique parfait et assez autocrate sans lui demander avant ce qu’il cherchait à démontrer pour le valoriser et comprendre peut-être certaines choses. Par ailleurs il ne fallait pas lui dire « rentrer » à la maison mais putôt « choisir sa vraie maison » et trouver la bonne « porte » mais ça pourtant FS sait bien le faire…

 

FB est moins anti NS comme il y a 5 ans, reconnaissant les bénéfices des actions engagées, ne cautionne pas la politique de dépenses sociale du PS, ne veut donc pas donner de consigne de vote mais  au risque de ne plus peser car de toute façon son électorat ira mathématiquement pour moitié à droite et à gauche et finalement à quoi servait-il ?

 

Choisir va décevoir certains électeurs et certains militants et sympathisants surtout venus du NC mais il pourra s’agir pour eux de lutter de leur initiative et non par obligation contre JLM plutôt que le PS et contre le FN plutôt que NS et avec deux chefs complémentaires que sont FB et Hervé Morin qui a encore des choses à dire, plus que FS.

 

Sans avoir le doigt sur le pantalon comme FF qui a fait un excellent travail, FB  pourrait être effectivement un bon Premier ministre, ou ministre de l’économie contrôleur des dépenses, un genre de black belt de la politique en langage 6 Sigma utilisé en entreprise, avec aussi un côté leader responsable valorisant.

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Les réalités du projet d’hôtel SPA 4* de Nogent les Montbard (Partie 2)

13 Avril 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #territoires de Cote d'or

 

bonjour, bien qu'ils fassent désormais référence, les articles sur le projet d'hotel de luxe et 3* à Nogent les Montbard et Malaisy sont retirés pour protection suite à utilisation malveillante mais aussi à la demande se certains investisseurs. ils sont disponibles sur demande motivée

 

suivez ce projet désormais sur http://novial.overblog.com

 

FC

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Les réalités du projet d’hôtel SPA 4* de Nogent les Montbard (Partie 2)

13 Avril 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #territoires de Cote d'or

      projet gelé suite à pressions

 

Le premier septembre 2011, veille de la foire de Montbard, le Bien Public, journal de Cote d’Or, publiait un article de synthèse remarquablement rédigé sur le fait que « le château de Nogent les Montbard pourrait être réhabilité en hôtel et restaurant haute de gamme. Un projet que son initiateur veut en adéquation avec la promotion du territoire ». Le sujet était ensuite repris sur les ondes de Radio France Bourgogne.

Par François CHARLES
Initiateur et porteur du projet

Un facteur clé de succès : un environnement patrimonial dans le Pays d'Art et d'Histoire de l'Auxois, véritable « Fontainebleau » bourguignon
On retrouvera tous ces sites parme les très bons guides du pays de l’Auxois :
-    Abbaye cistercienne de Fontenay classée au  patrimoine mondial de l'Unesco (130 000 visiteurs /an)
-    Montbard, capitale de la Haute Côte d'Or: cité du célèbre naturaliste Buffon et du « savoir-fer » (Grande forge de Buffon, visites industrielles de la Metal Valley)
-    MuséoParc Alésia (2012), haut lieu de la mémoire nationale (150 000 visiteurs attendus / an)
-    Château de Bussy-Rabutin, monument historique
-    Cités médiévales fortifiées de Semur-en-Auxois et Flavigny-sur-Ozerain (« Plus Beaux Villages de France »,fabrique des célèbres anis)
-    Château de Madame de Sévigné et fromagerie AOC d' Epoisses
-    Musée de Châtillon-sur-Seine: Trésor de VIX, des pièces uniques.
-    Châteaux de Tanlay et d'Ancy-le-Franc, joyaux de la Renaissance (de 30 à 40 mn
-    Abbaye de Vézelay, classée au  patrimoine mondial de l'Unesco, à 1h
   
Un autre facteur clé de succès : une nature préservée et des activités de plein air
-    Des paysages verdoyants et vallonnés, une douceur de vivre
-    Le canal de Bourgogne (longe le château), base fluviale à 10 km, parcours VTT
-    la vélo-route bourguignonne
-    Un tourisme ou séjour équestre haut de gamme
-    La proximité du Parc naturel régional du Morvan et du futur parc national « entre Champagne et Bourgogne »
-    Le vallon et zone forestière de Fontenay
-    Les golfs de Tanlay (9 trous) et de Chailly (18 trous) à moins d'une heure et 7 trous à 15 mn.
-    Le conservatoire du patrimoine agricole à la Ferme du Hameau (ex: cheval de Trait de l'Auxois).

A noter également la présence de vignobles locaux et la proximité de vignobles mondialement connus à 1h de route : vignobles local de l’auxerrois, de Chablis au Nord, de Beaune au sud, capitale du vin de Bourgogne et ses hospices, vignoble champenois de l'Aube

En  regard, les  faiblesses de la région sont l’absence d’une hôtellerie haut de gamme, et de grande capacité, l’absence de grande table qui permettrait de « garder » les visiteurs du niveau des visiteurs de Fontenay mais surtout aussi de les faire venir en leur organisant notamment des programmes organisés et véhiculés.

J’ai déjà eu l’occasion d’emmener à Fontenay des visiteurs japonais qui ne s’arrêtaient à Montbard que pour l’abbaye avent de reprendre le train pour Dijon…

Le lieu semble idéal pour réaliser des séminaires avec activités dans un rayon d’action limité :
    parler stratégie sur le site d’ALESIA
    réaliser une action le temps d’une croisière sur pénichette
    parler mémoire et identité d’entreprise à travers l’archéologie gauloise : ALESIA, BIBRACTE
    découvrir le golf et ses liens avec l’entreprise au domaine de Chailly 
    référence : le sport automobile,  la vigne …
    sport mécanique à Prenois
    vendanges et œnologie  aux vignobles de à Flavigny, de Chablis , cuisine au château
    cuisine et management au Château
    création de parfum
    art & management au château
    jeux de rôle (Kaamelott) dans les forts voisins…

Sans oublier le tourisme industriel non encore répandu mais  pouvant se développer dans cette région

Mais quelles sont les réalités de l’hôtellerie de luxe ?

Le bulletin de conjoncture hôtelière que je suis allé chercher au Ministère de l’économie pour juin 2011 fait apparaître que l’occupation des hôtels est de 71,2%, soit la plus forte hausse enregistrée, et de 79,1 %  pour les hôtels 4 étoiles et plus. La nouvelle réglementation a apporté une lisibilité pour la clientèle étrangère habituée à cette classification en dehors de France et assure désormais un volume sécurisé pour certains établissements. L’hôtellerie 4* en profite pour affiner et consolider sa segmentation par des clients néanmoins en quête de services supplémentaires. Elle perdra peut-être certains clients élitistes mais pourra également récupérer en France une clientèle non satisfaite du rapport qualité/prix des nouveaux 5*et attirée par le luxe depuis le 3* en étant consciente de pouvoir s’offrir une prestation jugée raisonnable du fait de sa seconde place dans la classification. Enfin, les facteurs clés de succès du luxe sont l’emplacement, les prestations haut de gamme et la  capacité en chambres. Un autre facteur clé est la présence en ville.

La segmentation retenue 

Devant ces éléments, il était intéressant de créer une véritable force motrice hôtelière aux portes de la Côte d’Or :

    Une hôtellerie différenciée sur un pack global prestation haut de gamme
    Mais limitée à une prestation 4* ++ pour lancement et limitation des contraintes et des coûts (critères obligatoires + 190 à la carte au lieu de 112) avec possible extension 5*
    Ne s’appuyant pas essentiellement sur l’argument « prix » mais plutôt sur les prestations, leur originalité, les services, la fiabilité, l’esthétique, la qualité afin d’attirer les clients avec une approche globale
    En portant néanmoins cet argument prix pour attirer les clients « Economie »
    Avec une capacité d’accueil de 30 et si possible 50 chambres
    Avec un approvisionnement local pour une qualité des produits et l’impact économique
    En relais avec les chaînes commerciales hôtels / restaurants / golf au niveau national et international

Il ne s’agit pas tout à fait d’un hôtel de ville car la ville est petite mais toute proche. Le cadre verdoyant en fait une ville à la campagne et le château est à la compagne tout en étant tout proche d’une petite ville néanmoins sous-préfecture.

Les aspects commerciaux et d’organisation seront exposés plus après

Pour assurer la réussite d’un hôtel à cet emplacement, il convient de mettre en place un vrai concept et modèle marketing multi entrées interdépendantes pour assurer un développement commercial permanent

La duplication du projet de Val de Saône était appropriée et a même été optimisée. Mais une des conditions de réussite est bien de créer le package global pour le lancement, et non année après année, le package total des prestations, à savoir : 

    Une hôtellerie haut de gamme avec un objectif occupation N+5 : 75% en été et 50 % en hiver
    Une fermeture d’un mois en hiver
    Une table raffinée locale et haut de gamme
    Un espace bien-être spa et détente
    Un lieu de séminaire, des expositions artistiques et historiques de renom
    Une conception Basse consommation et haute qualité environnementale innovante
    Un parc de 14 hec

Ce modèle et son contenu ont été atteints par une approche comparative et conceptualisée avec plus de 30 établissements 4 et 5 étoiles plus palaces.

Outre l’étude, Le défi à relever est de justifier une telle création car rien de semblable n’existe cette région industrielle Un lien naturel sera vraiment réalisé avec les commerçants et artisans locaux pour la réalisation puis la vie de l’établissement

Le bâtiment principal dispose d’une superficie de 1200 m² sur 4 niveaux. Les travaux de l’ancien projet n’ont pas été conduits à leur but mais ont entraîné de grandes cassures, qui conduit à travailler à partir d’une « feuille blanche » sans pour autant ne pas chercher à réinventer l’histoire du château

    Au 1er niveau, le rez de chaussée seront situés tous les « locaux techniques » à savoir les spacieuses cuisines, la cave,  les vestiaires, la buanderie ainsi que la salle bistro donnant sur la cour intérieure.
    Les clients rentreront par le 2° niveau : avec une réception donnant accès sur un salon, un bar et des salles de restaurant : grande carte, petite carte, petites salles ronde et carrée privatives et salle fumeur
    Les 3° et 4° niveau seront occupés par 19 chambres de style contemporain de 25 à 40 m², dont hypoallergéniques, avec tv écran plat, wifi et prises internet, (minibar réduit pour contraintes environnementales), eau, café et thé, peignoirs, coffres, climatisation, luminosité régulée, décoration spécifique par chambre, dont quatre suite de 50 m², une chambre handicapés accessible par ascenseur extérieur.


Une véranda sera disposée dans la cour intérieure à côté d’un ancien pigeonnier avec possibilité de service da la salle bistrot ou du salon de thé

Un bâtiment attenant de 900 m² sur 3 niveaux et d’un style différent sera construit pour abriter un SPA au rez de chaussée avec grande  piscine intérieure et accessibilité en peignoir plus 2 étages de chambres pour parvenir à 26. Le SPA sera accessible sans être client de l’hôtel. On y trouvera

    Un espace boutiques
    Une grande piscine intérieure
    Un Spa de nage
    Sauna et hammam
    Soins cabines simples et doubles avec notamment luminothérapie et vinothérapie pour la cohérence régionale
    Ambiance Feng Shui
    Musique, lumière et parfum d’ambiance

L’imagination, le choix des matériels, le chiffrage des infrastructures et des prestations ont été réalisés avec 10 principaux établissements dont 3 localement.

Cinq grandes marques cosmétiques (cinq mondes, Caudalie, Carita, Themae, Nuxe)  ont été approchées pour un choix final prochain sur l’une ou deux d’entre elles en fonction de la technicité des produits, de leurs prix, des contrats d’exclusivité et du suivi qu’elles proposent et la cohérence produits avec d’une part le château et d’autre part l’aspect bien être et interculturel de la clientèle.

Un bâtiment annexe attenant de 300 m² sur 3 niveaux abritera :

    La partie administrative au rez de chaussée
    Les logements privatifs  du directeur général
    Deux chambres d’appoint
    Ou permettra par la suite une extension possible en 34 chambres

Cette capacité de 26 ch n’est apparemment pas suffisante pour répondre aux besoins touristiques de masse (un bus de touristes) et de séminaires. Les agences régionales réclament parfois une capacité de plus de 40 chambres.

Pour ce faire, un nouveau bâtiment de 600 m² sur deux niveaux, abritant 20 chambres et une grande salle de séminaire, pourra être construit à un emplacement déjà identifié sauf s’il est possible de réaliser une acquisition de l’ancien hôtel restaurant du château de Malaisy, complémentarité idéale pour 50 chambres et séminaires

    Château XVIIe
    objectif 3*
    3 km de Nogent sans passer par Montbard
    24 chambres
    Espace séminaire avec piscine
    Optimisation capacités
    Optimisation salariale
    Optimisation commerciale
    Ancien hôtel restaurant
    En liquidation depuis nov 2011

Les séminaires…
Séminaires et formations accueillis

    Accueil de séminaires middle / top management à Nogent et de masse à Malaisy
    de un jour à une semaine
    Cohérence possible avec le développement de l’ESC Dijon Bourgogne
    utilisation de l’infrastructure hôtelière
    Utilisation du lieu artistique et bien-être
    Proximité de lieux viticoles, fluviaux, historiques, sportifs (Prenois) pour la réalisation des activités mixtes (voir planche suivante)
    Privatisation possible
    Relations avec agences séminaires et événementielles

Les anciennes écuries de 600 m² sur 2,5 niveaux seront transformées en un lieu d’exposition haut de gamme au rez de chaussée, en relais de celui du château de Pommard, avec salon de thé dans les anciens boxes et conférences et séminaires sur les autres niveaux.
    Grands peintres
    Sculptures
    Art contemporain
    Expositions permanentes et temporaires
    En coordination avec les autres lieux d’exposition de Montbard  et des environs (Beaune, Dijon…)
    4 salles d’exposition
    3 salles de conférence et séminaire 10 à 20 pers dont une rez de chaussée pour handicapés
    Un centre de créativité et d’exploration
    Un salon de thé

Pour revenir sur la restauration et de ses conditions de réalisation, cette dernière se voudra à la fois raffinée et innovante avec la création d’une « grande table » locale et d’autres  solutions diverses pour une capacité d’environ 100 couverts. J’ai retenu une partie de l’organisation de la restauration du Cercle National des Armées dont je suis membre du conseil d’administration. De nombreux gérants et chefs ont été rencontrés et de nombreuses cuisines et salles visitées pour parvenir à une bonne appréciation de la prestation voulue

    Restaurant « gastronomique » 20 couverts, cuisine gastronomique haut de gamme, originale et raffinée, classement attendu à 5 ans
    Restaurant « petite carte » 30 couverts plus simple, prix réduit
     Salles privatives, salle « fumeurs » 10 couverts
     Restaurant bistro  « snack » 20 couverts
     banquets dans salle privative ou séminaire
     Brunchs dominicaux – espace terrasse à l’extérieur 10 couv.
     Salon de thé
     Petits déjeuners simples et continentaux
    Produits locaux et viande locale
    Menus adaptés
     Vaisselle de qualité et différente en fonction des restaurants
    Cuisines spacieuses (200 m²) pour un travail dans des conditions optimales et pouvant recevoir les cours de cuisine & management
    Intervention régulier d’un cabinet de contrôle sanitaire
    Mise en place d’une brigade d’environ 20 personnes pour la restauration
    Potentielles prestations d’ingénierie du Groupe Ducasse avec lequel je suis en relation pour les séminaires
    Intégration des filières « cuisine » des lycées locaux de Dijon (Castel) et Semur en Auxois
    Instants dégustations oenologiques dans les caves du château

Le parc de 14 hectares sera valorisé pour accueillir des concerts de plein air voire toute sorte de cérémonie sous chapiteau

    Un grand parc avec ou sans chapiteau avec supports en bambou pour la cohérence développement durable ci-après
    concerts en coordination avec l’Abbaye de Fontenay, les forges de Buffon et la ville de Montbard

Un des points forts du projet sera le caractère et la véritable vitrine « développement durable » multi-énergies, limitation et récupération d’énergies  intégrée dans le concept notamment et qui sera un des facteurs clés de fréquentation pour son approche commerciale.

Il ne s’agit pas ci-après d’énumérer un liste au père Noël mais bien d’établir un réel projet innovant avec un défi à relever dans un tel espace en majeure partie à rénover

    Démarche volontaire de management de la qualité environnementale avec un soucis d’impact sur l’environnement durant sa construction et après sa mise en service, pour offrir des  ouvrages intelligents, sains et confortables respectant au maximum les cibles d’éco-construction, d’éco-gestion, de confort et de santé (Haute Qualité Environnementale, Bâtiment Basse Consommation) pour limiter les rejets, les coûts et les prix.
    Pour le business plan, le calcul énergétique s’est calé sur l’Objectif Réglementation Thermique 2012 (2700 m² hors SPA) de 50 kwh/m²/an pour le neuf et entre 50 et 80 kwh/m²/an pour la rénovation avec établissement d’un Bilan carbone et d’un Bilan énergétique
    Utilisation de la Géothermie (nappe très proche) pour le chauffage et la climatisation
    Utilisation des Pompe à chaleur aérothermie pour le chauffage avec plancher et la climatisation
    Appoint de chauffage par chaufferie biomasse
    Couplage des moyens de chauffage pour  optimisation énergétique et sécurisation des prestations – étanchéité à l’air contrôlée – traitement des ponts thermiques
    Utilisation du Photovoltaïque sur le toit du SPA et dans le parc pour stockage et revente,
    Utilisation de l’énergie  solaire pour l’eau chaude d’été,
    Choix du chauffage bois et l’aérothermie pour l’eau chaude d’hiver,
    Installation d’éoliennes à turbine pour l’éclairage extérieur
    Utilisation de matériaux sains et à faible impact sur l’environnement (faibles émissions de CO2 et COV) -  aspiration centralisée, isolation phonique
    Récupération de l’eau de pluie, zones de compostage, zones de tri

Il s’agira de démontrer une véritable performance énergétique quasi positive avec un défi à relever pour ce style d’établissement

•    Installation hydride capable de sélectionner la meilleure source d’énergie
•    Quasi absence de minibar
•    Pédagogie du personnel
•    Récupération d’énergie de l’ascenseur,  du SPA et des cuisines
•    Récupération des calories rejetées par la climatisation
•    Gestion intelligente de consommation d’eau et électricité
•    Suivi de la consommation, actions correctrices
•    écrans publics de suivi énergie 
•    Eclairage basse consommation

En fonction des objectifs de consommation atteints et dépassés, le client pourra choisir entre la baisse possible du prix de sa chambre ou le versement du gain réalisé au profit d’une association 

Enfin, il semble important de compléter cette approche par la prise de conscience de la nécessité d’un environnement sécurisé pour ce style d’établissement et sa clientèle

    Adapté à une possible clientèle haut de gamme potentiellement exposée
    Sécurité renforcée sur toutes la chaîne logistique et à bord
    Caméras d’environnement, salles de réunion brouillées
    Assistance intervention
    Portes à cartes et à reconnaissance d’empreintes
    Coffres-forts, vidéo surveillance 3D
    Pompiers et gendarmerie à 5 mn


QUAND ? Réalités calendaires

Dès l’identification, un lien permanent a été créé depuis juin avec le cabinet d’avocat chargé de la nouvelle vente du bien par adjudication.  Pendant tout l’été, j’ai travaillé à la duplication du projet du val de Saône vers Montbard avec il est vrai certaines embuches locales. Aucune date précise n’était encore fixée pour la vente et je m’amusais des informations qui circulaient  en vérifiant leur caractère imaginaire à chaque fois. Je subis ensuite cet état de fait quand certaines personnes s’amusèrent à me décourager par tous les moyens imaginables, comme ils le font encore actuellement. Nous aborderons d’autres aspects moins positifs et perturbants dans la seconde partie

Fin août, l’approche marketing était validée, certains fonds d’amorçage étaient identifiés et il était décidé de communiquer stratégiquement à la presse pour sensibiliser le territoire et attirer de investisseurs finaux.

Quand le projet a été dévoilé au public en septembre, la date butoir était mai 2013, à l’entrée du printemps et en préparation du festival de musique de film qui apparaîtra sans doute début juillet 2013 dans la région. La condition reposait sur un début des travaux en décembre 2011 mais  budget global n’avait pas été trouvé et une des conditions que j’avais fixée, par retour d’expérience professionnelle des grands travaux, était d’avoir trouvé au moins 80% d’engagement final pour financer tout le projet « ou rien » pour éviter tout échec commercial.

Les aspects financiers seront abordés par la suite mais on peut d’ores et déjà dévoiler la somme de 10 Mns ou rien, pour le château de Nogent seul, avec une acquisition simple de 700 000 euros.

Courant septembre, seul 50% du budget global était trouvé et certains désagréments relationnels et sécuritaires locaux. Puis au dernier moment, le château aurait pu être acheté en octobre à la barre du tribunal, avec le château voisin,  car le budget global du projet avait été trouvé sans même faire appel aux banques.

Le financeur acquéreur, traité de fou sur ses projets bien avant moi, trouvait là ce qu’il avait toujours voulu réaliser en complément de son existant. Les travaux auraient pu commencer rapidement.

Nous étions convenu, avec l’acquéreur financeur de faire perdurer la négociation en rachetant notamment le bien en meilleur état et assuré car cette partie s’est finalement avérée sensible dans son étude avec les assureurs. Finalement l’acquisiteur français, devenu bourguignon, se retira sine die. Je suis désormais en relation avec la banque détentrice qui est en train de remettre en état le château et l’agence qui a eu l’exclusivité de la vente.

La date est désormais à nouveau une des grandes questions et une mise en service à l’été 2013 est désormais compromise. Monté en quelques mois, le projet est loin d’être arrêté circule désormais dans certains pays pétroliers…Cependant, aucune journée n’est perdue car pendant ce temps l’étude progresse et s’affine dans sa conception dans un principe d’ingénierie concourante, de son approche commerciale et de sa communication cette fois mesurée pour éviter tout désagrément local

Puis viennent ensuite les questions tactiques et opérationnelles telles comment, qui, avec qui, combien, avec qui ? qui vous dévoileront l’ingénierie, les études, les choix, les travaux en cours et à venir mais aussi certaines réalités locales qui font que travailler avec plusieurs poids au pied n’est pas la meilleure façon d’avancer.      

Voir partie 3 

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F Sauvadet anime SA France Forte

13 Avril 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #politique

Hier soir, la droite Cote d’Orienne apparemment réunie, s’était rejoint pour la France Forte à Sombernon sur la 4e circonscription, en « Sauvadie » où malheur existe à celui qui n’a pas fait allégeance, même dans les réunions publiques. Etaient notamment présents François Sauvadet, Alain Houpert Bernard Depierre ami député voisin de la 1ere circonscription, autour de Michèle Alliot Marie, accueillie pendant la journée à Dijon et que j’avais plaisir à revoir de part mes anciennes fonctions et ma participation à la création du Chêne.


Par François CHARLES
Ancien cadre de partis, gaulliste social libéral apparenté UMP, animateur politique, créateur de Droite Fédérale

J’en suis parti cependant assez rapidement et suis allé écouter la bonne parole de Nicolas Sarkozy à la télévision car je n’avais pas l’impression qu’il s’agissait d’un rassemblement pour les élections présidentielles. J’aimerais me battre contre la gauche ou aider à battre la gauche mais certaines personnes à  droite me prennent mon énergie et en dépensent pour me contrer. Cela ne correspond pas à une dynamique très positive. On marche sur les pieds. Je vais leur offrir une formation en management… voire en négociation avec la compréhension de certains jeux…lol.
Comme vous le savez désormais au long de mes articles, F. Sauvadet, qui n’est plus ministre pour très longtemps, a une « dent contre moi » depuis les cantonales, ce qui m’a encore été à la soirée de lancement de la campagne des législatives d’Alain Suguenot, le chef de file de l’UMP de Cote d’Or que je remercie de m’avoir demandé de revenir sur ma décision d’avoir quitté l’UMP, notamment après l’absence de réaction sur à certains comportements discutables de la branche NC Sauvadiste,  tout en y restant associé pour soutenir l’action de Nicolas Sarkozy et de certains élus

Et cela n’a pas du s’arranger depuis qu’il sait que je parcours la circonscription en distribuant mon blog dans lequel je pèse chaque mot pour me faire connaître, délivrer une façon de faire de la politique autrement et de dire NON, en toute liberté, recueillir les idées et doléances pour les présidentielles et les législatives sans pour autant désobéir aux directives de l’UMP

Ce soir, j’ai vu un service d’ordre qui plutôt que respecter mon statut d’officier en retraite plutôt que m’accorder 30 secondes pour les alerter qu’il y avait un risque dans la salle,  m’a fait quitter mon siège au premier rang, sans faire partir d’autres personnes n’y ayant aucune légitimité et justement celle contre lesquelles j’ai déjà porté plainte. Je ne m’étonne pas qu’elles fassent « pchittt ».

Personnalité reconnue à droite sur le département et animateur politique, je n’avais pas accès aux lettres de la France Forte bien surveillées par le directeur de cabinet

Sans forcément être en réaction, j’en ai bien entendu profité pour faire connaître mon blog avec des articles variés et riches sur l’industrie, l’agriculture, la ruralité, le social, la défense etc… que tout le monde apprécie en alertant sur les risques d’une politique à gauche, surtout actuellement  Il comporte hélas aussi des articles de réaction pour faire connaître certains faits devant peut-être une presse muselée…et apparemment certaines vérités dérangent

Les équipes du NC ont bien entendu veillé avec tact cette fois à ce que cela ne se produise pas, mission confiée à une personne de Montbard qui avait également bien hué H Morin …. Mais elles n’ont pu retirer la communication faite hier soir dans les 400 boites aux lettres dans 5 villages comme souvent depuis un mois dans la circonscription  Désolé   Cette communication dérangerait-elle ?

Ces réunions sont l’occasion de faire le point avec les vrais amis, les faux amis mais aussi les vrais et faux ennemis. Ce soir j’ai notamment salué les personnes qui me poussent à me présenter aux législatives sans me soutenir officiellement, qui l’annoncent à tout le monde alors que je n’ai pas pris encore officiellement position et qui montrent des liens avec ceux dont ils savent qu’ils sont mes ennemis locaux. Que cherchent-elles vraiment ?

Je suis heureux d’avoir constaté un soutien plus large que prévu mais je serais bien curieux de savoir quels élus viendraient à ma réunion de lancement si je crée une autre solution à droite dans la 4e circonscription comme « on » m’y pousse de plus en plus profitant de cette brèche et de ce chevalier blanc mais… sans me soutenir officiellement. Vous vous rappelez du jeu « battez vous » ?

Je n’ai pas eu le temps, avant de partir, de saluer à nouveau MAM, avec laquelle j’avais travaillé au ministère de la défense, pour lui annoncer notamment que j’avais enfin réussi à faire ouvrir les moyens industriels étatiques de maintenance aéronautique au profit des PME après nouvelle demande auprès du gouvernement.

Ce soir je n’ai pas dit bonsoir à la femme qui m’a remis en politique mais pour laquelle j’ai pu constater que nos sentiments et notre reconnaissance restaient intacts mais avec désormais un grand fossé à enjamber

Je ne veux pas tomber dans le jeu de me présenter pour des raisons personnelles mais je peux par contre le faire, comme à Montbard désormais, pour dénoncer une certaine attitude générale de positionnement et de comportement que je ne peux cautionner contre l’intérêt général. Faut-il montrer que je peux l’empêcher de passer dès le premier tour pour qu’il change d’attitude ?

Je ne reviendrai pas sur les raisons professionnelles, politiques et sans doute personnelles qui me valent ce rejet alors que nous pourrions travailler ensemble comme nous avions commencé à le faire et reste ouvert à toute conciliation comme certains élus de son camp le lui avait déjà suggéré. Mais je ne me mettrai pas non plus à genoux comme j’ai pu le faire un temps à Montbard.

Faudra-t-il,  comme on m’y pousse, que je prenne les rennes locales d’un parti pour être à son niveau politique et pouvoir discuter mais depuis le temps que l’on m’appelle « monsieur le ministre, c’est peut être aussi à mon tour..?  Mais est-ce bien raisonnable même si ce n’est pas le courage qui me manque.

Il ne faut pas se tromper d’ennemi. Et j’espère que le projet d’hôtel sur Montbard n’en subira pas de conséquences au détriment du territoire

Et quand à la politique de la chaise vide des syndicats que dénonce FS avec une soit disant « prise en otage des fonctionnaires» peut être est ce du à cause d’un certain comportement ?




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Les réalités du projet d’hôtel SPA 4* de Nogent les Montbard (Partie I)

11 Avril 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #territoires de Cote d'or

      projet gelé suite à pressions

 

bonjour, bien qu'ils fassent désormais référence, les articles sur le projet d'hotel de luxe et 3* à Nogent les Montbard et Malaisy sont retirés pour protection suite à utilisation malveillante mais aussi à la demande se certains investisseurs. ils sont disponibles sur demande motivée

 

      suivez ce projet désormais sur http://novial.overblog.com

FC

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Les réalités du projet d’hôtel SPA 4* de Nogent les Montbard (Partie I)

11 Avril 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #territoires de Cote d'or

 

      projet gelé suite à pressions


Le premier septembre 2011, veille de la foire de Montbard, le Bien Public, journal de Cote d’Or, publiait un article de synthèse remarquablement rédigé sur le fait que « le château de Nogent les Montbard pourrait être réhabilité en hôtel et restaurant haute de gamme. Un projet que son initiateur veut en adéquation avec la promotion du territoire ». Le sujet était ensuite repris sur les ondes de Radio France Bourgogne.

 

Devant tous les bruits divers et variés qui circulent sur ce projet comme sur bien d’autres, j’ai décidé de vous faire partager en toute transparence d’une part quelques éléments clés de légitimité marketing et stratégique  ou de discussion de positionnement et d’autre part les réalités de la genèse, des difficultés rencontrées, des dates de  lancement ainsi que les éléments cachés qui sont mis en œuvre pour encourager et décourager un tel projet visionnaire pour le territoire. Sa présentation est déjà exposés sur mon blog et sur facebook et est disponible sur demande (sauf les éléments chiffrés détaillés sur 6 ans). Il est disponible clé en main pour qui veut le réaliser. Si on me le prend comme disent certains c’est donc que c’était un bon projet et le silence de certains en disent déjà long.

 

 

 

Par François CHARLES

Initiateur et porteur du projet

 

L’article disait en substance : « La renaissance du château de Nogent-lès-Montbard enfin possible ? François Charles, exerçant notamment dans le secteur de l'hôtellerie de luxe, en est convaincu. Le Bourguignon d'origine a étudié de près un projet hôtelier d'envergure : une prestation haut de gamme comprenant entre autres un hôtel 4 étoiles, un restaurant gastronomique, un spa, des salles de séminaire et de conférence et une galerie d'exposition.

 

Les clés du succès : Il s'agit d'un projet industriel et commercial qui cherche à s'inscrire une dynamique locale et trouve toute sa justification dans une démarche collective », assure François Charles, qui espère une implication progressive des acteurs locaux; publics'· et privés. «Le projet· en est au stade de consolidation », indique, François Charles. Un certain nombre de particuliers, de banques, de collectivités et d'investisseurs se sont en effet déjà engagés et l'acquisition du château est prévue pour le 5 octobre. « Je travaillais à ce concept d'hôtel, restaurant, spa depuis des années avec l'idée de l'implanter dans le Val de Saône, raconte l'entrepreneur. J'ai finalement découvert le canton de Montbard en juin dernier, et le site idéal au château de Nogent ».

 

Un projet d'ensemble : Une situation géographique stratégique, avec une bonne accessibilité par TGV, par autoroute ou par l'aéroport de Dijon; un environnement culturel et touristique très riche, avec l'abbaye de Fontenay, la cité de Buffon, la cité médiévale de Semur-en-Auxois, le château de Bussy-Rabutin ou encore le futur MuséoParc d'Alésia; enfin, des activités de plein air dans un cadre naturel préservé. Autant de vecteurs qui selon l'initiateur du projet constituent la clé du succès. «Avec une telle richesse, un positionnement haut de gamme trouve toute sa légitimité en haute Côte-d'Or, sur le sol montbardois », estime François Charles. Le bâtiment principal comprendrait 26 chambres de style contemporain, dont quatre suites de 50 m2, ainsi que deux salles de restaurant: un restaurant «petite carte» et un gastronomique. «Nous  négocions l'arrivée d'un grand chef», précise François Charles. Le bâtiment annexe permettrait d'aménager 8 chambres supplémentaires. Une extension du bâtiment principal, « en cohérence avec le style renaissant du château », précise François Charles, accueillerait le spa, avec piscine intérieure, sauna et hammam, vinothérapie, soins et salle de détente. Dans le parc du château, un dernier bâtiment recevrait enfin trois salles de conférence et de séminaire et quatre autres réservées à des expositions. Enfin, une idée à creuser, un festival musical pourrait se tenir dans le parc de 14 hectares. En complément du château de Nogent-lès-Montbard, le rachat du château de Malaisy, à Fain-lès-Montbard, est également envisagé pour organiser des séminaires. Après l'acquisition imminente du château, les investissements et le projet monteront en puissance très rapidement. L'ouverture est annoncée en mai 2013 »

 

Il oubliait par contre de mentionner la vitrine développement durable multi-énergies optimisée depuis et qui procurerait une vraie source d’affluence.

 

Quelques semaines plus tard, un communiqué paraissait annonçant, au grand désespoir de la population, que toutes les conditions n’étaient finalement pas réunies pour acquérir le château mais que le projet n’était pas abandonné. Que s’était-il passé ? Le Nord Cote d’or verra –t- il une nouvelle force motrice aboutir ? Quelles sont les réalités de ce projet ? Pourquoi parler d’un projet de territoire ? Pourquoi faut-il y croire ? pourquoi ou pour qui s’y opposer ? On peut se demander pour quelle justification, hors mis politique ou personnelle, certaines personnes bien connues cherchent à dénigrer ce projet. Certaines vérités doivent être dites et tout ceci en toute transparence.

 

Je vous propose de réaliser un OPACQ de situation en découvrant l’étude globale réalisée, qui n’est pas que du vent en commençant par les trois questions stratégiques : quoi,  pourquoi  et quand ?

 

Le lecteur connaissant déjà la communication précise des 45 vues du projet pourra découvrir certains points d’explication supplémentaires mais pourra aussi se reporter à la fin du dossier pour découvrir certaines réalités cachées

 

La genèse :

 

J’habite la Val de Saône depuis 3 ans, date de mon retour en Cote d’or après des expériences complémentaires en France et à l’étranger. Sur la base d’approches comparatives de lieux de séminaires privés, j’avais bâti un projet de rénovation de mon ancienne ferme pour en faire un lieu réceptif de mes activités de séminaires de stratégie et management plutôt que les organiser dans de nombreux hôtels haut de gamme en France : faire quelques chambres, recréer la bonne table renommée qui existait dans le village, créer une zone d’exposition et un SPA. Le modèle avança vite grâce à la grande approche comparative et les idées dont je disposais, les entrepreneurs furent identifiés, le plans réalisés et un appel à financement fut lancé. Le projet se voulait un vrai projet de territoire pour apporter une vraie force motrice à la région, faiblement pourvue dans ce style d’établissement. Cependant, désireux de persévérer dans l’accompagnement de l’hôtellerie et d’en faire une vitrine, ce projet privé devint un projet d’hôtel de luxe et le modèle fut optimisé avec des investissements plus lourds à la clé mais aussi une justification de lieu cette fois à mieux démontrer. Car comme le disait l’un des fondateurs du groupe ACCOR, il y a trois clés de réussite pour un hôtel : l’emplacement, l’emplacement et… l’emplacement.

 

Accompagnant l’industrie, l’hôtellerie et les collectivités, j’ai découvert la région de Montbard au fil des contacts de prospection et notamment le château de Malaisy et lors de mon recensement des monuments de la guerre de 1870 avec la colonne Garibaldi. Puis j’ai appris à connaître le territoire, ses réalités, ses potentiels industriel, culturel, ferroviaire à une heure de Paris et de loisirs, et ses besoins en accompagnant une personnalité locale aux élections cantonales, désormais ancienne amie et quasi opposante, en observant et en étant à l’écoute des habitants et des commerçants.

 

Une certaine journée de mai lors d’une sortie à vélo familiale le long du canal, j’ai décidé d’analyser la possibilité de transposer mon projet dans cette région ou d’en réaliser un second. Connaissant le château hôtel restaurant de Malaisy, j’ai néanmoins demandé à une (désormais ancienne) amie et élue locale, connaissant a priori le territoire proche, quels seraient les autres lieux potentiels.

 

Sur les trois présentés, un a tout de suite retenu mon attention : un château du 19e siècle à rénover au bord du canal, avec un parc de 14 hec, à 3 minutes de la gare TGV et de la ville de Montbard, sous-préfecture et capitale de la haute Cote d’Or. Ce site présentait non seulement un emplacement mais un charme hors du commun.

 

Un ancien projet devait y voir le jour : un centre privé de création artistique. Mais les travaux s’étaient arrêtés et le château était à nouveau en vente avec une adjudication prévue dans les mois prochains sans date précise.

 

Réalités stratégiques et marketing locales

On me pose souvent la question « pourquoi à cet endroit » alors qu’ailleurs cela ne marche déjà pas. Je réponds justement que là, ça marchera ! Bien que ce château peut me permettre de m’implanter sur la région pour être proche de certaines personnes, le plus grand argument est professionnel et au profit du territoire dans le ressenti du projet même passé au coup de tamis de la pensée logique.

 

Mes méthodes d’analyse et d’atteinte d’objectif reposent d’une part sur la définition de réalités multiples et d’options mesurables, réalistes, réalisables et déterminées dans le temps et d’autre part sur un questionnement équilibré entre les préférences de fonctionnement et les approches contradictoires. Je n’aurais jamais construit ce projet sur du sable ni perdu beaucoup de temps sur des éléments trop risqués. Par contre la difficulté est bien de rassurer sur les facteurs clés de succès pour ce projet à cet emplacement.

 

Autre réalité locale d’entrepreneur : Montbard n’est pas Paris ni Dijon et il est facile d’être pris pour un extra-terrestre si les projets sont innovants, sauf que dans ce modèle, nous sommes bien conscient, comme il le sera expliqué plus tard, que la clientèle retenue ne concerne que 10% de la population locale.

 

S’agissant des réalités concurrentes locales, on constate, chiffres à l’appui selon une étude réalisée par l’office de tourisme à 50 km et une analyse de la concurrence luxe à 100 km autour de Montbard : une capacité hôtelière existante mais moyenne, un manque d’une hôtellerie pour un tourisme haut de gamme correspondant aux lieux historiques et aux festivals existants ou à créer, un décalage entre l’identité culturelle, industrielle et touristique avec le niveau de prestation offerte, des nuitées brèves et une prise de conscience des collectivités.

 

Un château hôtel existait déjà mais ne fonctionnait pas : le château de Malaisy, qui est une cible d’acquisition. D’une part, il ne possédait pas la force de ce projet en terme d’attrait et d’autre part de disposait pas de la qualité d’accueil recherchée.

 

Les hôtels restaurants avec ou sans SPA les plus proches sont le Relais Bernard Loiseau, château de Courban, Vézelay puis au-delà de 50 km, la Bussière sur ouche et Sofitel ou Chapeau Rouge à Dijon avec leurs forces et leurs faiblesses géographiques.

 

Un projet d’hôtellerie 3* était prévu aux vignobles de Flavigny et une hôtellerie 4 voire 5* était prévue dans l’ancien hôpital de Semur en Auxois mais ces deux projets sont soit gelés soit abandonnés. Contact a été pris avec les propriétaires pour éventuellement travailler ensemble.

 

La Bourgogne fonctionne de mai à septembre et que la moyenne des nuitées est de 1,2 nuits, ne pas négliger les bus de la clientèle étrangère et donc le nombre de chambres à offrir

 

Les principales forces de la région, pour la clientèle française et étrangère sont d’être la Bourgogne renommée dans le monde entier, d’abriter l’abbaye de Fontenay patrimoine mondial de l’UNESCO, et de mettre en avant une certaine qualité de vie. L’industrie locale est aussi un facteur potentiel d’apport de clients

 

S’agissant de l’accessibilité, le rail est ici un facteur clé de succès par rapport aux autres hôtelier à 50 km mais aussi  pour eux en terme de relais d’affaires : à 1h de Paris avec possibilité d’aller-retour dans la journée. Cet éléments clé marketing « à 1 h de paris » est primordial dans  les salons de rencontres professionnelles de tourisme ou d’affaires  tels Bedouk ou Réunir. Et c’est une force vis-à-vis de l’axe Dijon-Beaune mais encore une fois aussi à son profit grâce à cette nouvelle « porte d’entrée » sur la Cote d’Or. Par le train Montbard est aussi à 1h20 de l’aéroport de Paris-Charles de Gaulle, à 2h de la gare Lille-Europe avec connexion sur le Royaume Uni et Bruxelles, à 30 mn de Dijon mais aussi désormais avec une connexion à la LGV reliant Montbard à Mulhouse, Lyon, la Suisse et l’Allemagne. Pour garder ce facteur clé de succès, il est par contre important que l’hôtel soit proche de la gare TGV de Montbard, avec liaison limousine, calèche et même si possible navette fluviale canal qui longe l’hôtel et la gare et qui est aussi un vecteur d’accès pour la clientèle. Des services de location de voiture sont disponibles à la gare ou à l’office de tourisme tout proche afin de permettre aux voyageurs de rayonner aux alentours. L’accès par l’autoroute A6 est réalisable à 25 mn de l'autoroute A6 qui donne accès à Beaune en 1 h, Dijon en 1h30, et Lyon en 2h15. Montbard est accessible par avion avec l’aéroport international de Dijon, l’aérodrome à Semur en Auxois, un héliport avec bien entendu la condition de location de voitures. L’accès se fait par bateau avec le canal de Bourgogne qui longe le château la gare, qui peut attirer des clients navigants mais aussi qui peut permettre d’aller chercher les voyageurs en bateau !

 

On peu estimer que la clientèle luxe sur ce créneau viendra à 45% de l’étranger, à 45% de France et à 10% localement dans un but d’hôtellerie à 30%, de restauration à 20, de séminaires à 20%, de SPA à 20% et dans un but artistique (exposition et concerts à 10%) 

 

Cette région plutôt industrielle, et qui représente certes un atout mais limité au regard des décennies précédentes, a fait oublier deux familles d’éléments de facteurs clés de succès qu’il suffisait d’assembler pour en voir leur force.

 

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Il y a dix ans : MAI et JUIN 2002 : LES MOIS DE TOUS LES DANGERS

11 Avril 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #politique

par la Faute de Lionel JOSPIN et de sa gauche plurielle, Jacques CHIRAC va donc pouvoir enfin réunir tous les Français et faire renaître les traits originels et rassembleurs du Gaullisme, qui plus est avec les voix de la gauche et sans les voix du Front National.

 

Le fait de vouloir créer un grand parti présidentiel (qu’en sera-t-il dans 5 ans ?) pourra certainement éviter d’aventure de miser sur des « petits » candidats au premier tour et donc de voir arriver en finale le candidat FN.

 

Bien que je considère par expérience qu’il faille plutôt créer un mouvement de « droite fédérale » qu’un parti unique issu d’une fusion-acquisition depuis le centre gauche, le souci n’est pas là. Le risque est que les mouvements actuels, non encadrés, qui incitent trop le réveil du vote socialiste, (« si j’avais su j’aurais voté», créent un nouvel immobilisme et une vague plus ample dans 5 ans.

 

 

Par François CHARLES*

 

 

En effet, entre les élections présidentielles et législatives, la droite aura un mois pour décider de prendre les mesures qui s’imposent. La gauche orpheline, et sans désormais programme viable, quant à elle, aura un mois pour se raisonner et ne pas chercher une revanche sur la seule recherche de l’équilibre après une abstention record. Lionel JOSPIN l’a bien assimilé en offrant son départ : sa naïveté reconnue est donc pardonnée mais ne doit pas être oubliée.

 

Il n’a cependant pas eu le courage d’avouer à tous que la politique actuellement nécessaire est bien une politique de droite, que créer des emplois ne touche peut-être pas les noyaux durs qui perturbent la société et que la gauche ne peut avoir de discours sécuritaire.

 

Or, l’ignorance volontaire du discours de MM MEGRET et LE PEN (qui ont recueilli 20% des suffrages de votants non forcément extrémistes), ajoutée à la vision des mouvements passionnés et provocateurs ne comprenant pas la vraie valeur de l’avertissement et se cachant derrière des écrans de confort (racisme, xénophobie) ne poussent pas à la confiance et risquent d’amplifier les votes vers l’extrême droite de peur de retrouver l’immobilisme.

 

Que tous en prennent conscience : si rien ne bouge en matière de civisme, M. LE PEN ou son successeur sera Président dans 5 ans avec des pouvoirs certes limités et  avec peut-être un gouvernement de gauche mais avec une France  inquiétante au niveau international. Il s’agit d’un avertissement : avertissement au risque de démolition européenne, avertissement au caractère multiculturel de la France, avertissement surtout à ceux qui ne savent pas écouter les Français surtout quand ils gouvernent.

 

Le fait que la gauche scande que la faute vient de l’opposition qui a fait campagne sur la sécurité prouve qu’elle n’a rien compris. Et surtout au niveau social car si être social c’est bien sûr sauvegarder les emplois, le droit des travailleurs et des citoyens, c’est aussi sauvegarder le droit de vivre en sécurité dans des règles respectées avec courage. Prenons l’exemple du nouveau président de SOS racisme : quelle leçon de lucidité !

 

S’il est bien un parti qui a favorisé l’ascension du FN, c’est bien l’ancien parti au pouvoir et son laxisme civique et sécuritaire qui a produit également ses effets sur la police et sur la population. Mais la faute doit être aussi partagée par la droite modérée qui n’a pas non plus fait suffisamment preuve de courage dans ses discours. On l’a bien vu involontairement avec F. BAYROU mais n’étais-ce pas déjà trop tard ?

 

Les sondages se sont trompés et n’ont pas vu que M. LE PEN avait plus d’électeurs que de popularité car les Français ont voté par dépit et non par engouement. Quant à ceux qui militent pour invalider les élections comme en Algérie…

 

Mais restons confiant : même si la politique n’est qu’un cycle, les extrêmes ne semblent pas survivre désormais en Europe devant le brassage des civilisations, le dynamisme économique et  l’ouverture sociale…à moins que nous ne sachions retenir les leçons des suffrages !

 

 

*Conseiller national DL

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Les cantonales et territoires, laboratoires et éléments de stabilité pour une politique nationale et européenne (re-publication)

11 Avril 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #territoires de Cote d'or

au même titre que la vision européenne se nourrit des particularités nationales et volontiers locales, savoir valoriser la les cantons, c’est participer à la définition de la force motrice des territoires de demain dans l’Europe des nations et des régions.

 

Après avoir accompagné et participé à tous niveaux à trois semaines de campagne sur trois cantons différents de côte d’or, puis avoir analysé les résultats, j’en ai tiré certains enseignements généraux majeurs pour ce scrutin à la fois local et national. Une approche comparative avec le monde des organisations permettra sans doute de mieux comprendre certaines subtilités.

 

 

Par François CHARLES*

 

 

L’électeur local du canton, composé de communes rurales et citadines, incluses dans des communautés de communes, vit les mêmes attentes que le salarié d’une PME filiale locale d’un grand groupe. Ils partagent des ressentis souvent d’injustice et des besoins d’existence similaires. Ils rencontrent tous deux leurs chefs éloignés uniquement lors d’événements.

 

Le salarié accepte ou subit souvent la politique générale du groupe qui développe une communication trop générale et floue qui ne trompe personne alors qu’une politique locale et des actions concrètes sont attendues. Les réactions sont parfois violentes avec les risques que cela comporte sur l’équilibre social et financier. La force de l’électeur à échéance régulière est de disposer de bulletins de vote pour changer de chef local, national ou européen souvent en fonction de la personne et des actions de ce dernier. On votera souvent pour une raison de confiance, pour un leader à la fois psychologique, responsable et opérationnel. Mais tel leader local saura aussi se cacher derrière des boucliers nationaux afin de valoriser ses initiatives locales.

 

Le salarié se syndicalise et donc se politise dès qu’il ressent un sentiment d’indifférence souvent issu d’une incompréhension. Au même titre, l’électeur local rejette le discours national sauf quand il peut créer un contre pouvoir et aider à alimenter une « planche à secousse » sur le leader en place.

 

Le salarié comme l’électeur semble avoir la volonté de participer aux décisions de façon concertée et autrement que par un vote. L’un et l’autre ne doivent toutefois pas remettre en question la démocratie qui laisse la parole à l’équipe mais qui reconnait que la décision incombe au chef et à l’élu.

 

Les ouvriers d’Etat sont capables de changer de statut s’ils ont une visibilité et certaines garanties car ils savent aussi intégrer les réalités du fonctionnement d’une organisation. Et en cela, leurs syndicats leur cachent souvent et maladroitement la copie au risque de se faire déborder par leur base. Si l’électeur sait aussi être fidèle, il peut mettre en garde les politiques qui auraient trop promis, trop caché les réalités, trop maquillé les chiffres ou trop tapé sur l’adversaire pour se faire élire sans réelles propositions concrètes.

 

Les salariés sont capables d’accepter de considérer que le bonheur passe par la création et le maintien d’emploi et par certains choix stratégiques et opérationnels courageux. A ce même titre, les dirigeants doivent être capables d’avoir le courage d’aborder le vecteur social comme condition à une création de valeur durable et non comme une obligation régulière. L’électeur, généralement salarié, est donc également sensible à cette approche et peut comprendre certaines décisions de fermeture ou de réorientation. Mêmes les forces dites « de progrès » en prennent conscience mais souvent en aparté pour garder un discours cohérent.

 

Enfin, comme le salarié, l’électeur local a néanmoins besoin du regard du siège pour vérifier son appartenance, son besoin d’estime et d’accomplissement et pour faire passer certains messages directement. Beaucoup de personnes auraient apparemment été satisfaits s’ils avaient rencontré leurs élus européens qui auraient pu faire part de leurs expériences et applications pouvant être mises en pratique dans leur espace de proximité.

 

Le chef d’entreprise n’est rien sans ses salariés et inversement. L’Europe n’est rien sans ses territoires et inversement. Cette roue d’amélioration continue est le gage d’une certaine stabilité pour aller de l’avant sur le chemin. Et rien ne sert de trop l’éclairer au risque de perdre notre vigilance salvatrice de longévité.

 

*président de l'Institut de Recherche et de Communication sur l'Europe

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