Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog philosophique de francois CHARLES

LOGEMENT & RURALITE

11 Mai 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #territoires de Cote d'or

Le logement est une composante de nos besoins physiologiques et de sécurité qui sont la base de notre immeuble de vie pour trouver une place sociale, une certaine estime puis enfin un accomplissement comme nous l’enseigne Maslow. On y vit, on y aime, on y dort, on y vieillit. Il convient donc d’y porter une attention particulière mais peut-être de chercher et trouver des réponses adaptées. Il existe différentes tailles de villes et les solutions des villes ne sont pas forcément celles de nos villages mais peuvent être combinées.

 

 

Par François CHARLES

économiste, sociologue, conseil en stratégie et management,  animateur territorial et politique

 

village3.jpeg

Je rebondis sur une réunion organisée par un député de Cote d’Or sur le sujet en présence de professionnels du secteur pour répéter une fois de plus que si une règle existe, elle mérite parfois d’être appliquée dans le bon sens, et avec des lunettes adaptées, car parfois « la carte n’est pas le territoire ». Chaque objectif devrait passer dans le filtre des réalités multiples (localisation, sociale, politique, financières etc), des forces, faiblesses, avantages, inconvénients, opportunités, menaces et des options de choix mesurables, réalistes, réalisables et déterminées dans le temps avant de passer à l’action (GROW, SMART, SWOT). Sans déballer toute ma boîte à outils je rappellerai néanmoins qu’il existe des méthodes d’analyse de risque, de conduite de processus (OPACQ, 5M, 5S, analyse fonctionnelle) et d’organisation (TOB) qui permettent de se poser les bonnes questions avant d’agir. Il est bon de rechercher les exemples qui marchent en France et en Europe mais néanmoins sans copier-coller hâtifs.

 

Je connais bien certaines réalités de l’habitation commune avec les problèmes de chauffage, de bruit etc… ou individuelles pour avoir habité en appartement de fonction sans loyer en Allemagne ou à loyer modéré à travers la Société Nationale Immobilière, puis en appartement privé, en maison louée puis achetée dans une ville nouvelle et j’habite désormais à la compagne dans l’ancienne ferme de mes parents. J’ai fréquenté aussi les cités de Cergy Pontoise pour savoir que la grande majorité de la population est très correcte et que les troubles ne sont pas créés que par une infime minorité de la population. Et je sais aussi que si le racisme n’est pas à sens unique, les personnes bruyantes, sans gêne et violentes existent aussi dans toutes les catégories sociales. J’ai connu des vacanciers ou de nouveaux arrivants porter plainte contre la sirène de l’usine, contre les cloches de l’église ou le coq du voisin. Par contre, j’ai connu aussi des endroits calmes qui ne le sont plus restés et dont la population a changé.

 

 

Les réalités ont évolué avec le temps et la société : 30% des problèmes de logement provient de familles divorcées, 2/3 de la population est éligible aux logements sociaux. Posons-nous la question de savoir si les chiffres de demande ne peuvent-ils pas être mieux analysés et segmentés pour être mieux traités. Le logement social est une des formes de logement dans le parcours de l’habitat pour l’accès à la propriété tout en prenant en compte qu’il existe aussi des personnes faisant le choix de la location tout en étant aussi responsabilisé par leur habitation. Et on ne peut contraindre à acheter même cela développerait la responsabilisation.

 

La Loi pour la Solidarité et le Renouvellement urbain de 2000, modifiée en 2006 puis 2008, a été mise en place pour améliorer la qualité du logement. Les Plans d’Occupation des Sols ont été remplacés par les Plan Locaux d’Urbanisme (PLU), les Schémas Directeurs par les SChémas de COhérence Territoriaux (SCOT). Elle impose une mixité sociale 20% de logement sociaux dans les communes de plus de 3500 habitants dans une agglomération de plus de 50000 habitants avec au moins une commune de plus de 15000 habitants sauf à payer une taxe. Est-il judicieux de respecter ce taux à la lettre comme un bon élève ? Les projets de l’Agence Nationale pour le Renouvellement Urbain avec transfert possible des obligations entre communes dans le cadre de communauté d’agglomération semblent fonctionner au cas par cas. Faut-il communiquer sur le taux de logement social comme si c’était une plaie, un dû ou alors une preuve de suivi de la règle plutôt qu’essayer de les réduire ? Est-ce judicieux d’en mettre partout ? Doit-il y avoir une lutte logement privé et social comme la fausse lutte entre villes et villages ? Faut-il parler de « reconquête du parc ancien privé » comme si être propriétaire était un chemin inaccessible pour certains ?

immeuble.jpeg

En lisant qu’il y a surabondance de biens à louer de 2000 logements vacants sur le Grand Dijon et qu’il existe 2000 demandes en cote d’or dont 1000 pour le grand Dijon, certains mécanismes logiques diraient qu’il convient de ramener ces demandes sur le Grand Dijon donc au détriment des campagnes et avec augmentation des charges liées au transport. Une autre solution consiste à construire dans les campagnes mais de façon cohérente. Mais une troisième existe : l’accompagnement à la rénovation, à la garantie de loyers ou la reprise de logements anciens privés existants dans les campagnes comme savent le faire certaines sociétés de gestion. Mais encore faut-il les recenser. Pour la vitalité des villages, ne faudrait-il pas à nouveau instituer  le prêt à taux zéro pour l’ancien quand on sait que les jeunes achètent apparemment plutôt dans ce genre de bien ?

 

Faut-il bloquer les loyers ou plutôt prévoir un plafond a effet cliquet quand ils baissent ? Existe-t-il dans chaque département un guichet unique pour éviter de recenser les multiples demandes identiques faites par une seule personne ? En matière de co-propriété, les banques ont-elles pris en compte les véritables seconds loyers à intégrer dans le prêt liés aux rénovations énergétiques ou ascenseurs ?

 

Pourquoi ne pas instaurer des critères de logements locatifs  comme par exemple prouver que l’on a un travail local, dans la ville ou le canton qui de plus impacte sur le développement durable et les transports comme dans certaines villes du Grand Dijon où ce taux atteindrait 85% ! Est-il vraiment judicieux d’introduire une mixité logement social/privé par pallier ? En matière d’organisations énergétique, de vie, et de cohérence d’environnement, pourquoi ne pas instituer et reconnaître  des zones de bruit, à chauffage ou de prix modéré ou élevé (pour les personnes plus âgées) permettant ainsi une réduction des charges et un meilleur confort peu possible en cas de mixité. Certes le lien intergénérationnel est la solution pour rapprocher les personnes âgées avec les jeunes pour aider à monter les courses ou garder les enfants mais il peut s’opérer autrement et faut-il attendre une panne d’ascenseur pour s’en apercevoir et créer des liens ? 

 

Enfin, s’agissant des immeubles,  la loi oblige les bailleurs sociaux à vendre leurs appartements. C’est souvent une opportunité d’achat modéré notamment pour la réinsertion par le logement. Mais est-ce toujours au prix du marché et en cohérence avec les propriétaires  initiaux, qui ont acheté à prix fort et qui risquent donc de vendre vite pour éviter la dépréciation  de leur bien et ensuite la surprise des nouveaux acquéreurs certains d’avoir fait le bon choix mais vite confrontés à certaines réalités et différences ?

 

Lire la suite

UNE NOUVELLE IDENTITE POLITIQUE EN COTE D’OR (1/2)

10 Mai 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #politique

 Depuis de nombreux mois, vous lisez mes articles de fond et mes prises de position politique, vous avez découvert ma biographie, mes projets de territoires, mes axes associatifs et certains me demandent sur quoi cela va-t-il aboutir.

 

Comme fidèlement avec mes méthodes de raisonnement, je vous propose d’élaborer un OPACQ global de situation en posant les questions stratégiques Quoi, pourquoi, quand et qui (d’identité) puis les questions opérationnelles où, comment, avec qui …

 

 

Par François CHARLES

Ancien cadre de partis, gaulliste social libéral,  créateur de Droite Fédérale, ancien conseiller sur le canton de Montbard pour les cantonales

 

Quoi faire et pourquoi ?

 

En revenant en Bourgogne, mon but était d’être actif pour partager mes idées et mes compétences ainsi que faire remonter les besoins et idées de la population dans une dynamique territoriale, nationale et européenne soit en accompagnant, soit en prenant une place.

 

Mais il s’agissait aussi de prendre un mandat potentiel. Je suis ancien membre et conseiller aux grandes écoles du RPR, puis conseiller national DL puis de l’UMP.  Revenu en Cote d’or en 2009 après 30 ans passés à Paris, à l’étranger à faire de la politique industrielle, et un moment dans le Val  d’Oise, à faire de la politique tout court, je suis allé sonner à la porte des parlementaires, devenus amis ou désormais anciens amis (…), pour analyser les places à prendre ou apporter simplement mon soutien. J’avais déjà émis ce souhait à l’UMP en 2005.

 

 Cette expérience m’a montré que mes idées et mes compétences étaient efficaces et attendues, que mon attitude d’ouverture était appréciée et m’a permis de me redonner goût à une certaine forme de combat politique que je n’imaginais pas reprendre mais il faut savoir parfois reprendre le chemin.

 

Mon objectif est européen, voire national de par mes compétences et mes convictions, mais un mandat local de maire m’attire également désormais, ce qui n’était pas le cas dans les années 2000, sans doute du fait de mon positionnement professionnel qui s’était détourné du terrain.

 

Comme prévu en septembre, j’ai l’intention de me faire davantage connaître comme vraie force de proposition et de réaction positive avec laquelle il faudra de plus en plus compter et j’espère trouver échos plutôt que lutte mais cela semble mal parti.

 

Ayant quitté l’UMP bien qu’étant toujours en relation avec ses membres, je resterai indépendant, ou serai sans doute a mené à rejoindre un parti pour le redynamiser mais en cohérence avec une démarche de raisonnement claire. Je resterai de toute façon actif directement ou indirectement comme générateur d’idées, conseil et animateur. La réponse est surtout incluse dans la question « comment » de la seconde partie

 

 Et en dehors de tout mandat potentiel, je me qualifie volontiers d’animateur politique et territorial car la politique se vit et se mène tous les jours et pas seulement pendant les échéances électorales.

 

Vous retrouvez peu à peu ma vision détaillée dans mes articles de fond. Dans les grandes lignes, je cherche à être garant d’une identité nationale mais dans une dynamique européenne qui doit revoir sa gouvernance et ses règles de concurrence. J’ai parlé et travaillé sur le Buy Européen Act, comme sur le Small Business Act depuis longtemps. Je suis proche de l’industrie mais pas à l’importe quel prix, comme du temps du Général de Gaulle avec des solutions à trouver au niveau européen. Il convient de restructurer, optimiser, décloisonner les budgets et actions de recherche pour faire mieux. Je considère qu’il convient de redéfinir et renforcer le périmètre Schengen, que le vote doit être ouvert aux européens mais de façon réciproque comme en matière d’embauche. Cumulée à ce meilleur filtrage à l’entrée avec critères d’installation pour éviter toute dérive, il faut surtout mieux contrôler l’attribution des aides sociales et fiscales. Des solutions de transport locales doivent être développées en partenariat public-privé. Une attitude plus responsable doit être développée dans la santé au niveau rural. Une refondation de l’éducation et des orientations de carrières doit être faite dès le plus jeune âge pour réapprécier et revaloriser les travaux manuels ; la politique salariale et de partage des profits doit être encadrée pour une dynamique saine. Je cherche à protéger notre filière nucléaire mais tout en développant les autres énergies pour éviter toute dépendance sauf si une règle d’or européenne de segmentation et de partition énergétique est bâtie. Je demanderai un audit des multiples flux financiers et dispositifs souvent superfétatoires de recherche et la mise en place d’une structure d’orientation et d’échanges de bonnes pratiques pour faire davantage et mieux. En matière de défense, j’ai milité pour un retour entier dans l’OTAN, que je connais, véritable vecteur d’intégration européen et ne soutient pas systématiquement toute action extérieure. En matière de politique publique, je considère d’une part que la RGPP a été une bonne chose si, comme avec la mise en place d’un système de qualité, elle débouche sur une meilleure prise en compte des tâches et du travail réalisé, et d’autre part que le service public doit exister mais qu’il doit davantage montrer l’exemple. Je milite depuis 1998 pour un meilleur partage des bénéfices en entreprise et désormais pour un encadrement de la fourchette de salaires dans une même entité. J’ai demandé la taxation des flux financiers pour réduire ces derniers et surtout casser la bulle spéculative qui ne sert pas à l’économie, un peu comme l’orage dont la pluie ne nourrit pas le sol. Mais cette mesure est particulière quand on sait que les Etats empruntent pour rembourser leurs dettes.  L’écologie est une belle cause mais je considère qu’elle ne doit être politisée et qu’elle a son rôle au centre. Enfin, je viens d’obtenir l’ouverture contractuelle de certains moyens industriels étatiques au profit de PME.

 

Plus concrètement sur les territoires, vous êtes en train de découvrir de nombreux articles « techniques » comme « pour une agriculture forte et moderne », « pour une vraie politique industrielle », « santé et ruralité » «  transports et ruralité » « logement et ruralité » etc et bientôt bien d’autres sur l’ensemble de la politique générale du pays déclinée au niveau local

 

Aujourd’hui une seule formation politique de droite ne peut être seul représentative des suffrages au risque de voir partir de nombreux votes. Un parti peut-être leader mais si et seulement s’il sait travailler avec les autres composantes de sa famille. Une vraie politique de coopération implique sans doute et de façon optimale un candidat et un suppléant de formations différentes afin de défendre une complémentarité de valeurs sauf si bien entendu une même et unique personne se revendique de tout …

 

Qui ?

 

J’ai acquis une connaissance et une intelligence des métiers, du vocabulaire et des enjeux des organisations à travers des expériences fonctionnelles et opérationnelles en stratégie, management, maîtrise des risques, coopération et  négociation internationale à la Délégation Générale pour l’Armement, dans l’industrie et les services ainsi que comme consultant dans un grand cabinet d’audit puis de façon indépendante au profit des groupes, des PME et des collectivités

 

Mon esprit d’ouverture et d’écoute, mon respect de la « rigueur dans le bon sens», mes expériences en matière de négociation, de communication, mon goût prononcé pour la sociologie, l’histoire, le dialogue et les relations humaines complétées dans le domaine de la protection financière des particuliers et des entreprises,  font de moi un interlocuteur reconnu pour une approche globale dans une optique de maîtrise des risques, d’optimisation, de développement durable et d’innovation au niveau local comme national ou européen.

Issu d’une famille paysanne détenant une importante exploitation agricole, à la fois homme de terrain et de réflexion, divorcé, père de deux enfants, je suis né en Cote d’Or il y a 49 ans, où je passai ma jeunesse et où il habite à nouveau depuis 2009.

Interne de la 6e à la terminale à St Joseph puis Notre Dame à Dijon, je commence des études d’ingénieur à l’ESIEA à Paris puis rentre au ministère de la défense. Après 5 ans de services dans l’Arme Blindée Cavalerie en Allemagne, je deviens officier de carrière après des études à l’Ecole Supérieure d’Administration de l’Armement et prends en 1992 le poste d’adjoint au chef de bureau des affaires multilatérales internationales au Service Central des Affaires Industrielles de la Délégation Générale pour l’Armement (DGA). J’y mène des dossiers de coopération et de rapprochements de grandes entreprises en Europe et en Asie, suis chargé des sujets industriels OTAN et du suivi de la recherche interministérielle ainsi que de la normalisation aéronautique européenne. Je suis chargé de la définition de la politique de retour industriel et deviens le point focal des affaires de compensation  au profit des PME de défense où je propose notamment la création d’une structure interprofessionnelle innovante. J’apprends à développer une approche mûrie des dossiers, proche du terrain, pour des actions réalistes, réalisables et efficaces.  Pendant le même temps, j’intègre l’enseignement militaire supérieur de l’armement, poursuis un cursus de formation en commerce international et deviens titulaire d’un DESS de défense, géostratégie et dynamiques industrielles de l’université Paris II.

 

En 1995, après un Master audit & conseil suivi à l’ESCP Europe,qui m’amène à travailler chez Arthur Andersen, j’intègre la cellule réflexions méthodologique du Service d’Enquêtes de Coûts de l’armement. En 1996, je suis appelé à la Direction des Relations Internationales pour mettre en œuvre le plan stratégique d’exportation et créer la cellule de stratégie d’exportation où j’effectue notamment une mission parlementaire pour le compte du Ministère de l'Economie et des Finances en matière d’investissement et de développement économique en Amérique du Sud.

 

De 1997 à 2002, je crée un groupe de conseil et accompagnement en stratégie, management et gestion de crises au profit des entreprises et des collectivités où j’oeuvre notamment pour les partenariats européens ainsi que dans la mise en place de plans de pérennisation pour les PME. J’en profite également pour me former aux aspects de protection financière et sociale avec AXA Conseil. Dans le même temps je deviens Président de parents d’élèves dans l’enseignement privé puis l’enseignement public.

 

De retour à la DGA à la fin de son congé sans solde, je suis nommé au bureau de la stratégie du Service de Maintenance Aéronautique jusqu’en 2004 où je contribue à la redéfinition de l’identité et l’amélioration globale des nouveaux modèles économiques opérationnels nationaux et européens. Je participe à une réflexion nationale sur l’industrie aéronautique et suis doctorant en économie à Paris 1 la Sorbonne sur la création d’une identité de maintenance aéronautique européenne. Je suis ensuite nommé risk manager des programmes d’armement terrestres où j’anime et facilite les programmes par l’approche humaine et ma connaissance globale de l’environnement industriel et contractuel. Je deviens également animateur éco-conception.

 

Formé au métier de coach ainsi qu’à différents outils et méthodes d’approche humaine, je suis depuis 2009  à la tête d’une société  où j’assure des missions conseil, coaching et formation en stratégie et  management au profit de structures, de projets innovants, de dirigeants et d’équipes dans l’industrie, des collectivités, de l’hôtellerie et le monde agricole dont je me suis à nouveau rapproché. Je suis les déontologies de la Société Française de Coaching et de L'International Coach Federation (ICF). J’ai pu créer l’approche SPM (Stratégie, Psychologie, Processus, Management, Marketing, Mental) avec laquelle j’anime le fonctionnement et le développement des organisations. Professeur vacataire depuis 20 ans dans certaines universités, écoles de management et d’ingénieur en  politique générale d’entreprise, intelligence économique,  lobbying et approche client, communication et management de projets, je suis l’auteur des « fabliaux du management – penser autrement pour agir autrement » (Ed. Chiron 2003) ainsi que de nombreux articles sur l’Europe, l’économie, l’intelligence économique, le management et la défense. J’ai enfin créé le concept des  livrets mémos

 

Membre d’organisations patronales, je suis fondateur de l’Institut de Recherche et de Communication sur l’Europe (IRCE), qui contribua au projet de convention européenne, fut partenaire officiel euro de la banque de France et qui développe des approches comparatives, de l’association humanitaire Alquemia dans le domaine de l’eau, et de l’Association de Soutien du Sport Français. Je suis formé à l’intervention de crise humanitaire internationale avec l’Ordre de Malte. 

 

Depuis mon passage à la DGA, en fort de mes réseaux et savoir-faire, j’aime initier des projets de territoire et collaboratifs d’envergure tout en prenant en compte les réalités locales

 

Politiquement, je me qualifie gaulliste social libéral plutôt orienté vers la création de valeur par l’outil industriel, les grands travaux et le service mais avec une forte prise en compte de l’effet de levier social mais aussi de la notion de partage des succès et des risques en toute responsabilité pour y parvenir. J’ai adhéré au RPR en 1978 à Dijon comme militant de base puis j’ai été membre du conseil des grandes écoles à Paris. Après une parenthèse pour cause de statut militaire mais avec des expériences riches en matière de politique industrielle, gestion des dossiers, connaissance du système administratif et industriel, j’ai oeuvré au sein des clubs idées actions et suis devenu conseillé national pour le Val d’Oise de Démocratie Libérale à sa création sans avoir l’opportunité d’être élu. J’ai créé le club de réflexion Droite Fédérale avant de rejoindre à nouveau le ministère de la défense. A la fois présent à Paris et en région, je m’affirme aujourd’hui en soutien de l’UMP d’une façon générale en Bourgogne et Franche Comté et de façon particulière dans les 2e  et 4e circonscription de Cote d’Or dans lesquelles j’habite ou  suis initiateur et porteur de projets. J’anime par ailleurs des réunions de « Marketing politique » invitant chaque composante à s’exprimer sur son positionnement à partir de support de communication proches du monde de l’entreprise. Mon objectif essentiel est de pouvoir être élu aux élection européennes afin de pouvoir instruire et défendre nos régions et l’Europe comme j’ai appris à le faire au sein des ministères puis désormais avec une approche éprouvée de terrain nationale et internationale mais  toujours connectée à l’Etat et aux collectivités

 

Enfin, je suis passionné d’histoire, surtout militaire et de civilisations, et j’espère que le muséoparc d’Alésia obtiendra le succès attendu par ses concepteurs.

 

J’ai toujours affiché ma ligne sociale, libérale et gaulliste mais à droite pour respecter la force motrice de la croissance industrielle et des services mais sans oublier la valeur humaine qui est pour moi un effet de levier que j’utilise pour conseiller les entreprises et les collectivités.

 

Je n’aime pas le terme de conservatisme ou de progressisme attribué respectivement à la droite et à la gauche car le progrès peut être social et industriel. De même, libéral ne signifie pas forcément laisser aller mais moins d’Etat pour mieux d’Etat dans une logique de responsabilisation, de transparence, de bonification  mais aussi de sanctions.

 

Pour structurer intuition et action, j’utilise les méthodes de stratégie, de marketing, de management et de processus ainsi que l’effet de levier humain pour poser les bonnes questions, voire les bonnes options et progresser vers les bonnes décisions à partir d’objectifs mesurables, réalistes, réalisables et déterminés dans le temps

 

Si je réalise mon blason, ma devise personnelle est Force, honneur et passion. Je me vois rayonnant mais à la fois social et solitaire plutôt loyal que fort, avec de nombreux projets en tête mais réalistes et réalisables. Ma biographie est disponible sur mon blog et cet article est déjà assez long. On me voit plutôt UMP mais comme vous le lisez, je suis plus modéré mais sans perdre mon pied d’appel à droite. Ce que je déteste le plus est le mensonge, le blâme, le reniement et l’irresponsabilité par manipulation. Je déteste aussi la ségrégation, les œillères, les grand Ayatollahs et le manque d’écoute. C’est d’ailleurs pour cette raison que je n’ai pas intégré une loge Franc Maçonne qui correspondait à mes valeurs sauf pour cet esprit de cloison.. Je ne suis pas, comme François Hollande le disait à Dijon, celui qui prend aux autres, mais plutôt un conceptuel, visionnaire, bâtisseur et porteur de sens. Mais comme lui, je ne critique pas systématiquement parce que les autres ont fait ceci ou cela. Comme JF Copé, j’allie un peu l’homme de cœur et l’homme d’idées. Je m’offusque que certaines personnes tierces se permettent de colporter des informations sur d’autres pour blesser ou tuer.

 

Au lendemain de l’élection de F Hollande et de la gauche à la Présidence de la République, je m’interroge comme en juin 40, sur la position à prendre entre d’une part l’armistice dans une logique de reconstruction au risque de devoir finalement tout accepter, d’autre part de « continuer le combat » de l’extérieur ou enfin d’assurer une résistance pour mieux préparer le jour J. Je relis le testament de Pierre le Grand, Weygand, De Gaulle,  Sun Tsu, Clausewitz…

 

Je n’ai encore jamais eu l’occasion de trouver « un vide » afin de pouvoir me présenter à une élection mais on m’y pousse régulièrement. J’ai créé Droite Fédérale juste avant celle de l’UMP pour animer les réflexions à droite et j’ai créé l’approche marketing politique SPM (…) pour tenter de faire expliquer la politique autrement au-delà des luttes de personnes.

 

Une chose est certaine : autant je ne veux pas être embauché pour mon carnet d’adresses mais pour mes compétences, autant je ne veux pas être celui qui aura contribué à diviser ou affaiblir certains leaders par opportunisme ou par jeu stratégique

 

Comme je l’ai publié dans mon article « la politique autrement tout en respectant le combat », je considère que la politique est un combat pour faire avancer ses idées, l’intérêt général, un projet, sa personne …  Chacun ses lunettes. L’essentiel est de ne pas tromper l’électeur et avancer sur « ses deux pieds ».

 

Pour gagner le combat et se démarquer, le vrai politique doit savoir penser autrement pour agir autrement et maîtriser  certaines choses parmi lesquelles : ne pas mélanger combat politique et combat personnel, ne pas se tromper de cible, savoir se remettre en question et reconnaître ses erreurs, combattre l’adversaire comme un ennemi mais sans le sous-estimer en le respectant sans être sectaire, décider et agir de façon équilibrée et responsable en sachant dire non pour mieux atteindre ses objectifs et enfin, savoir convaincre et montrer qu’il peut être à la fois porteur de sens, leader responsable et opérationnel dans les assemblées sur le terrain par son mandat.

 

La politique est surtout une « Règle de conduite décidée pour une certaine période de temps en vue d’atteindre certains objectifs généraux ». La politique générale d’une collectivité comme celle d’une entreprise s’appuie sur un choix d’objectifs généraux et de stratégies adaptées, un choix de structure autour de spécialisations, un processus de décision et un choix d’identité  

 

Les décisions engageant les collectivités ou l’Etat sont des décisions politiques prises avec la justification d’éléments techniques, financiers, économiques, sociaux…Comme pour une entreprise, je considère qu’une commune, une collectivité, un Etat peuvent être pilotés avec vision, un objectif, des réalités, des options de prises de décisions spécifiques, mesurables, réalistes, réalisables et déterminées dans le temps

 

Etat et collectivités peuvent également fonctionner avec les entreprises, comme de leurs administrés, à livres ouverts, à coûts objectifs, avec bonus, malus avec des éléments analysés pour continuer ou revoir la politique générale dans une vraie politique de partenariat public / privé avec des droits et des devoirs surtout quand il s’agit d’argent public même si possible en mettant l’humain comme vecteur d’accompagnement du progrès.

 

Il n’est pas normal que la Cour des Comptes relève autant d’anomalies mais cela peut être compréhensible quand on sait que nombre de nos politiques, élus sur leur image et le ton de leur voix,  ne savent pas ce qu’est une stratégie, une négociation, comment fonctionnent les finances publiques, ce qu’est une entreprise… mais pourtant donnent des instructions sans souvent aucune vérification de ce qu’on leur dit. Le bon politique soit faire appliquer la règle dans le bon sens. Certes, une étude peut donner bonne conscience ou éviter une catastrophe mais une étude de risque peut aussi éviter … des travaux inutiles.

 

Enfin le vrai politique comme le vrai sportif sait combattre l’adversaire sans faire de sentiments pour mieux gagner mais sans l’insulter sur le tatami ou le terrain de rugby. Et, comme je l’ai déjà vu à l’étranger dans le domaine commercial entre industriels français incapables de s’entendre face au concurrent qui sourit, mais en oubliant souvent qu’ils véhiculent l’image de la France et qu’il en va de l’intérêt de la Nation, certains lutent dans le même camp généralement pour des affaires de personne alors qu’ils pourraient mettre leur énergie à combattre ensemble le camp adverse MAIS à partir de leurs différences reconnues et de  leurs tailles apparentes et réelles respectives. Il n’y a qu’un pas pour parler d’Europe…

Après le « quoi » et le « pourquoi » et le « qui », arrive la question du « quand » pour clore les questions stratégiques

 

Quand ?

 

Je suis arrivé juste au moment des régionales où je n’ai pas voulu faire ma lettre de candidature mais où j’ai participé à la majorité des meetings me donnant l’occasion de connaitre certains élus. Mon intervention à Besançon a été remarquée et François Sauvadet m’a même remercié avant… de me remercier une novelle fois mais différemment.

 

Je n’étais pas intéressé par les cantonales et notamment à cause du manque de place sur ma circonscription déjà bien ancrée à droite avec des personnes de valeur. Je suis allé porter de l’aide dans un autre canton plus éloigné où l’élue et son équipe ont atteint un score jugé illusoire au départ.

 

Arrivent maintenant les législatives où une possibilité s’offre à moi mais avec certaines réalités et conséquences à prendre en compte sur l’avenir.

 

Mais sans prendre de mandat, l’action doit être permanente en dehors des échéances électorales, ne l’oublions pas

Puis suivront les autres questions où ? avec qui ? contre qui ? comment ? …

 

Lire la suite

quelques outils d'aide à la décision pour les législatives

9 Mai 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #politique

 

en Juin, tous les partis seront généralement représentés dans vos circonscriptions.

 

c'est l'occasion pour vous de savoir si vous votez pour des idées ou des personnes, ce qui peut être légitime mais n'oublions pas qu'un député, même élu sur un territoire, représente la France (et n'a donc pas besoin de justifier d'habiter sur ce territoire)

 

 

pourquoi voter FG, PS ? PRG ? MODEM ? PR ? NC ? UMP ? FN ?  comment se situent ils sur l'échiquier ?

posez leur donc la question avec ces quelques supports tirés de ceux des soirées-interviews Marketing Politique SPM  que j'ai lancées à Dijon et Paris (supports disponibles par pdf sur demande)

 

 

IMG-20120314-00332

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

IMG-20120314-00337

 

IMG-20120314-00334

 

IMG-20120314-00340

 

IMG-20120314-00342

 

IMG-20120314-00343

 

IMG-20120314-00344

 

IMG-20120314-00345

 

IMG-20120314-00346

 

et n'hésitez pas à relire certains articles objectifs sans parti pris

 

DE LA LEGITIMITE D'UN VRAI CENTRE

LA POLITIQUE : AFFAIRE D’IDEES OU DE PERSONNES ?

La politique est-elle un job ?

 

Lire la suite

F SAUVADET anime SA France Forte (suite)

9 Mai 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #politique

A l’image de nos deux Présidents devant la flamme du souvenir, au-delà des personnes, des enjeux, il y a une cause qui s’appelle l’Europe, la France, la Bourgogne, le Cote d’Or.

 

Ces trèves de prise de conscience sont ressourçantes mais hélas certains faits nous rappellent certaines réalités personnelles balayant l’intérêt général.

 

Vous avez sans doute lu mon premier article avec le même titre. Voici la suite qui m’a été pénible et que l’on m’a « déconseillé » d’écrire  mais qu’il est nécessaire de faire d’une part pour dénoncer certaines attitudes indignes de responsable(s) politique(s) et d’autre part pour enfin expliquer pourquoi j’ai pris certaines positions pour le vote blanc alors que j’ai vanté globalement le programme de NS, sur lequel j’ai tracté, participé aux meetings, écrit de nombreux articles plutôt favorables. Je comprends le deuil des militants UMP, je m’incline devant la victoire de ceux du PS. Et je respecte les choix des tous. J’ai pour ma part été privé de coup de théâtre et de deuil

 

421978 10150692143777357 733112356 9234235 1024706422 n

 

Par François CHARLES

économiste, animateur territorial

 


Je préfèrerais passer mon temps à travailler sur mes projets, parcourir les marchés, les médias, écrire des article de fond sur la ruralité, l’Europe, la défense etc…comme ceux que vous connaissez qui font avancer nos territoires, et non un article de ce genre qui va à l’encontre de ma logique de modération et de rassemblement. Mais il faut parfois également savoir se défendre et faire savoir certains agissements pour certaines prises de conscience.

 

Je n’ai pas voulu écrire cet article avant le premier tour des élections présidentielles tant l’équilbre était fragile. Mais qui suis-je donc pour influencer un vote ? Je ne l’ai pas non plus sorti avant le second tour mais  j’ai tout de même communiqué sur mon vote blanc car si mon cœur politique est à droite, je n’avais plus aucune envie de cautionner, dans l’intérêt général, l’attitude de certaines personnes à certains postes clés qui intimident, insultent, blâment, critiquent, menacent en mêlant affaire politique et affaire de personne directe et indirecte qui ne doit pas avoir sa place ici et qui ne peuvent être représentatifs de mon pays.

 

Suis-je pour autant devenu de gauche ? NON ! mais je ne peux faire gagner mon camp quand j’en ai honte, je suis trop vrai pour cela. Est-ce cela la France Forte ? Le bouchon a cette fois été poussé un peu loin…quelle tristesse. Je n’ai pas encore porté plainte mais réserve encore ma décision. Je n’ai pas peur qu’elle fasse « pschitttt » car je saurai la faire rebondir même si j’ai autre chose à faire.

 

Bien entendu c’est faire preuve d’un certain courage que certains aimeraient avoir et qui soufflent le chaud et le froid mais j’écris sans crainte des menaces, pressions, insultes courantes en politiques car ma famille est protégée et que j’ai déjà tout vécu. Il est tout de même bizarre de voir comme les gens fuient quand ils s’aperçoivent qu’ils en ont peut-être trop dit ou quand ils n’ont pas envie de s’opposer à certaines réactions violentes de l’autorité.

 

J’aurais préféré laver mon linge en famille. J’ai demandé une conciliation pour éviter de faire passer cette affaire de personne au détriment de l’intérêt général. L’apaisement est le bienvenu mais encore faut-il que l’autre partie l’accepte sauf si elle considère que seule la force (le côté obscur) doit l’emporter. L’UMP me réconforte, m’écrit son soutien à faire taire ces affaires de personnes qui empêchent de travailler sur le fond et de voir les vrais buts à atteindre mais sans rien obtenir devant les insultes et harcèlements montbardois puis les agissements dijonnais considérant que ce sont des affaires de personnes et me reprochant presque mon attitude. Je n’ai donc pas assisté aux événement de Dijon et de Chaumont ni à la soirée des élections, comme si j’avais vécu à nouveau le second tour des cantonales.... « Quelles sont tes intentions ? » me demande-t-on alors que j’ai toujours écrit que je ne cherchais pas à contrer le candidat naturel qu’est F Sauvadet sur sa circonscription. Mais s’il m’y pousse je peux aussi changer d’avis sans demander un changement de position illusoire de l’UMP, sans étiquette ou en répondant à mes courtisans mais avec cohérence.

 

Le soutien officiel à sens unique n’est pas acceptable. Mais peut-être dois-je changer de crêmerie ? Mais peut-être devrais je remercier F Sauvadet et ses amis de m’avoir ouvert les yeux. Et peut-être fallait-il cela pour affirmer un certain positionnement ?

 

Un autre article de plusieurs pages suivra sur mon OPACQ de positionnement politique en Cote d’Or. Et que les journalistes se rassurent : c’est « sérieux ». Je comprends mieux certaines attitudes à mon égard maintenant. J’avais oublié la solidarité entre actuels et anciens journalistes … mais je ne les range pas tous dans le même sac. 

 

Mais venons en aux faits. H de Raincourt, à qui j’ai fait part de l’incident, ne croyait pas si bien dire lors de la réunion France Forte du 17 avril à Dijon en faisant remarquer l’ambiance qui reignait dans le camp Hollande avec des consignes données au service d’ordre pour éviter que deux personnes ne se serrent la main mais sans pour autant éviter une bagarre. Savait-il que le service d’ordre à Dijon avait également reçu des consignes me concernant ? Je suis resté très correct pour que le public ne s’aperçoive pas trop de ce qui s’est passé en séance mais beaucoup de personnes l’ont remarqué et préfèrent baisser désormais la tête…

 

Que s’était-il passé ? Après avoir trouvé une place au fond de la salle, je suis allé saluer tous mes amis élus et citoyens supporters qui me reconnaissent désormais comme économiste et personne publique. J’étais content car tout le monde semblait se retrouver, même avec certains « nouveaux » centristes et mes faux amis UMP de Dijon. Mais sans doute rayonnais-je trop ? Apparemment, comme s’est permis de me le dire mon sempiternel fléau montbardois, qui a un rôle psychologique important et que mes opposants laissent faire et protègent depuis près d’un an, j’aurais importuné quelqu’un…. D’autres auraient répondu que c’était pour ne pas que j’aille au premier rang comme à Sombernon où l’on avait pourtant laissé s’assoir le fléau en question, mais peut-être était-ce une réunion « nouveau centre » ou « sauvadiste » ?

 

 J’ai souvent été au premier rang ou invité à y venir en fonction des possibilités de par ma représentativité et mes idées qui font avancer les territoires et la France et je sais me tenir mais pourquoi donc M. Sauvadet ne veut-il plus me voir sur la photo ? J’étais au premier rang pour les cantonales. Serait-il jaloux après avoir appris certaines choses ? Protégerait-il une personne également ou ne veut-il pas que je la rencontre ? A moins que ce soit elle qui me rappelait que je ne suis « rien », pour remerciements à services rendus, qui donne des consignes ?

 

Je suis ensuite resté debout proche des journalistes. Après le discours d’un député, j’ai voulu aller m’assoir. Mal m’en a pris car je me suis fait ceinturé par quatre personnes (le nombre marque l’importance du personnage et peut-être leur crainte sachant mes origines militaires parachutistes et ma connaissance des techniques de combats ?) du même service d’ordre qu’à Sombernon (le Groupement de Protection Rapprochée, service d’ordre … de l’UMP composé d’anciens militaires et policiers bénévoles) qui n’a pas du apprécier mes remarques mais qui avait reçu des ordres. Comme si j’étais un opposant dangereux, je n’avais pas le droit de circuler alors que d’autres le faisaient. J’ai donc demandé quelles étaient les consignes.  « Dehors » m’a-t-on fait signe en me regardant méchamment et me toisant plutôt que se mettre au garde à vous devant mon statut d’officier en retraite que certains se permettent même de remettre en question ! Mais alors pourquoi ne pas l’avoir fait avant ? Sans doute parce que je suis venu avec des élus, que je saluais toute la salle et qu’il ne fallait pas faire de chahut avant la manifestation ? Ou alors une des deux personnes importunées ne m’avait pas vu avant ? Et que se serait-il passé après ?

 

Voyant cette situation, j’ai décidé de quitter la salle de mon propre chef pour aller écouter la conférence sur la santé organisée par un autre député sortant qui avait apprécié mon intention de m’y rendre (voir article santé et ruralité). J’ai eu tout le mal du monde à ce qu’ils aillent me chercher mon manteau pour ensuite partir sous bonne escorte et me disant « dehors » à la grande stupéfaction de certaines personnes. Je gère encore la courbe du deuil de l’affront qui m’a été fait mais qui l’a été aussi à toutes celles et ceux qui m’apprécient avec un record d’affluence sur mon blog ce jour là.

 

J’allais minimiser l’incident, comprenant la réaction de bonne guerre, mais néanmoins déplacée de F Sauvadet à mon dernier article où je condamnais ses agissements et prises de positions depuis quelques semaines, voire celles de l élue montbardoise apparemment protégée. Je cherchais pourtant à me défendre mais toujours en essayant de concilier, comme dans l’article d’Alésia, étant plus victime que persécuteur. Mais je me suis aperçu que j’avais reçu un sms de moquerie de la personne fléau du NC de Montbard, membre de l’équipe de l’élue montbardoise, dont j’ai parlé à Sombernon, me disant que j’allais être mis dehors et qui s’était bien moqué de moi quand j’ai été refoulé d’Alesia alors que j’étais invité par certains élus. Il me harcèle, m’insulte, me dénigre personnellement et professionnellement auprès de tous et me menace. Je conserve bien au chaud tous ses emails pour preuve. Les plaintes n’aboutissent pas et il se sent apparemment protégé…Etonnant non ?

 

J’ai quelques questions : F. Sauvadet, « l’homme soit disant fort » se sert-il de réunions publiques de la majorité présidentielles pour régler des affaires personnelles  ou politiques sur les législatives qui le dérangent au risque de déclencher un vrai affrontement de personnes dans le même camp et faire perdre la droite ? J’ai demandé à l’UMP21 dont la direction réprouve ces actes et nationale « de bien vouloir tirer cette affaire au clair pour que tout cela s’arrête et surtout cette affaire de personne dont l’origine est bien connue ». Mais en vain.

 

Cette situation scandaleuse est inacceptable pour une réunion publique et vis-à-vis de ma personne et je n’en resterai certainement pas là. Me contraindre à m’effacer de la scène est une provocation personnelle. Faut-il porter plainte pour entrave à liberté de circulation en réunion publique sauf si des excuses sont émises ? Tant pis si je m’isole, il n’est pas question que je me mette à genoux.

 

Je ne suis pas venu écouter F. Sauvadet mais H de Raincourt et je pensais que c’était la France Forte et donc l’UMP qui organisait, pas le Nouveau Centre fort et agressif !

 

On cherche à minimiser l’événement pendant les élections alors que quelqu’un diffuse en permanence des mensonges et insultes à volonté à mon égard sans être inquiété. ON me dit qu’il s’agit effectivement d’une affaire de personnes directe mais aussi indirecte entre élus ! Cherchez l’erreur. Je suis soutenu en fait non officiellement en espérant que je ne flanche pas. Mais je vous invite à relire mon premier article sur ce thème.

 

A Sombernon et Dijon, j’ai bien aimé la « judaïsation » de la part de responsables de l’UMP auprès du service d’ordre. Bien entendu on me dira que je me fais des films… mais que je ne peux néanmoins être commentateur et acteur surtout quand je constate que certaines réunions à la permanence de l’UMP pour la venue de NS sont dirigées par un certain chef de cabinet. 

 

Je ne suis pas de ceux qui soutiennent ceux qui insultent, menacent et rejetent ensuite leur attitude sur les autres par projection ou qui accusent leur chien d’avoir la rage quand ils veulent/doivent s’en séparer par intérêt et pour solde de tout compte de services rendus. Mais je saurai être critique envers le système de façon objective.

 

Comme le dit souvent une ancienne partenaire, tout ce qui ne me tue pas me rend immortel. Tant que je verrai de l’injustice vis-à-vis de qui que ce soit je prendrai ma plume voire mon glaive et mon armure. C’est mon profil 6 de l’ennéagramme qui sait aller en 3 mais aussi en 9, à moins que ce ne soit le 8.. Je sais me mettre à genoux par amour mais pas pour allégeance.

 

Il faut ouvrir les yeux. Tout ceci est bien orchestré au niveau local dans les luttes que l’expliquais par dépit dans mon article « mais à quoi joue la droite en Cote d’Or ». Plutôt que s’excuser et chercher la conciliation, certains cherchent la force pour ne pas se faire coincer comme je l’enseigne en psychologie de négociation. Mais ils ne savent pas que mon profil est « persévérant » qui va « jusqu’à ». D’autres me demandent pourquoi je ne fais pas le deuil ? Mais pourquoi est-ce moi qui devrait le faire ?

 

Je ne vois pas vraiment ce que me reproche F Sauvadet, à part une petite phrase mal interprétée aux cantonales. Je peux comprendre qu’il protège désormais certains élus dijonnais qui n’apprécient pas que je parle à la gauche et surtout qu’il soutient l’élue montbardoise que je renie sine die avec responsabilité devant ses attitudes. Peut-être n’a-t-il pas aimé non plus que je la soutienne sans tout accepter ce qui venait de Dijon et que j’aie coécrit son recours après conseils demandé à de nombreux députés et hommes de l’art et où j’avais retrouvé son avocat qui était avec moi à la création de DL ? Il me reproche peut-être d’avoir demandé à JF Copé, de façon motivée, qu’un suppléant UMP soit proposé pour les législatives, l’empêchant d’y mettre quelqu’un(e) de son choix alors qu’ensuite un  député UMP a carrément demandé la nomination d’un suppléant UMP ? Il n’était pas forcément question d’affaires personnelles mais de légitimité politique.

 

Je ne comprends pas, je lis sur le blog de Montbard avenir que François Sauvadet dit qu’il n’y aura pas de candidature concurrente à droite. Je suis content qu’il soit prêt à se lancer dès le 14 mai mais comment peut-il prétendre à décider pour la droite ? Comme je l’ai déjà écrit plus haut et que je le répète pour les journalistes qui lui posent toujours cette question mais en connaissance de cause, j’ai personnellement abordé la question à la direction de l’UMP pour parler d’une proposition de suppléant pour montrer l’existence du parti. Il est clair qu’un candidat doit savoir fonctionner avec son suppléant et que la règle est claire pour l’UMP : F Sauvadet a fait bonne action et allégeance donc l’UMP ne présentera personne. Au grand désespoir de certaines personnes ? Mais il n’y a pas que l’UMP à droite, un petit parti pourrait réapparaître… et le vrai centre a le droit d’exister aussi. Va-t-il aussi mettre une pression pour l’empêcher et surtout l’empêcher de passer au premier tour ?

 

Personne ne sait ou ne veut dire ce que FS me reproche mais on voit bien qu’au-delà d’attitudes politiques, il existe aussi un problème de personne, ou de tierces personnes dont il ne peut parler au delà de la politique depuis le mois d’octobre à Montbard... M’en veut-il parce que je suis en conflit avec une personne protégée avec laquelle j’étais très proche ou que j’ai découvert une relation particulière mais que tout le monde connait apparemment comme si cela devait se savoir mais que je n’aime pas que l’on me le rappelle, même dans le train ! Eh oui, un François peut en cacher un autre…

 

Me reproche-t-il de vouloir m’affirmer, ou plutôt de répondre à ceux qui veulent que je m’affirme pour contrer indirectement FS face à sa toute puissance que je constate en effet maintenant alors que je préfère défendre une certaine identité ? J’ai préféré parler de segmentation politique car je n’aime pas les affaires de personnes. Me reproche-t-il d’avoir fait ma communication à Alesia  en réaction à son interdiction comme j’aurais pu le faire quand son chef de cab m’a fait exclure de la tente VIP à l’hippodrome ? Mais là il ne pouvait prétexter les services de Premier Ministre… Vous savez, c’est le jeu CFJTS (voir mes articles de management) Est-ce cela la France Forte ? Peut n’être pas aimé que je dise que le NC n’était pas venu aux rdvz marketing politiques pour problématique de positionnement ?

 

J’avais déjà demandé une conciliation dès juin par l’intermédiaire d’élus NC  mais sans jamais aucune réponse. Aurait-il une problématique … personnelle ? Et si je critique la façon d’instruire les dossiers que j’ai pu apprécier,  que va-t-il faire ? Je vous laisse trouver cette fois le jeu transactionnel adapté.

 

Comment se fait-il que FS ne se soit jamais intéressé à mon, « notre » projet de château alors qu’il contient un vrai travail de territoire ? Comment se fait-il que le CG relance une action quand il voit que je cherche à la mener à bien ? Comment se fait-il qu’il défend une personne qui sait « griller » , blâmer et nuire, qui a fait son opération de barrage vers la presse locale et même nationale, et pour laquelle j’aurais bien des choses à dire, (sans diffamation, car c’est son grand mot comme à son équipe où les mêmes mots tournent), sur sa façon qu’elle peut renier, insulter et accuser ses opposants et anciens soutiens proches.

 

NON, je n’ai pas salué la jeune l’élue montbardoise protégée qui me regardait étrangement, soit par honte soit parce qu’elle  souhaite se venger et qui peut-être a déclenché ce qui s’est passé ensuite. Je m’étais peut-être trompé sur son regard à Sombernon. Il voulait peut être dire «je sais ce que tu veux me faire subir pour mes actes commis et pardon pour le mal que je vais continuer à te faire». Dois-je subir les mêmes choses que la dernière personne qui a été proche de l’élue de Montbard pour des élections a déjà reçu des menaces et a préféré quitter la région Cette problématique dure depuis les premiers heurts avec l’élue de Montbard dont je n’imaginais pas les liens … Aurait-elle reçu des promesses de carrière pour m’avoir renié ? Moi le « consultant parisien » venu aidé une élue de Cote d’Or

 

Mais n’ai-je pas le droit de critiquer ses prises de position sans qu’elle me parle tout le temps de diffamation ? Elle a peut-être dit que j’avais une attitude dangereuse, comme elle aime à le colporter parfois et m’accuser faussement dépitée du fait que j’ai découvert certains actes honteux et que je l’ignore et la méprise désormais à cause de ce qu’elle a pu faire. Elle se sent d’autant plus protégée que ma plainte sur les menaces de mort que j’avais reçues, a fait (pour l’instant) en partie pschitt après 7 mois comme elle me l’avait dit ! Mais il y en a d’autres… et les procureurs généraux sont en train de se régaler avec mes quelques 10 pages d’explications faites sous serment. J’aimerais bien oublier tous ces épisodes mais je vis cela comme un affront et je suis prêt à partager la « planche à clou » pour faire le deuil mais je sais qu’elle est trop fière pour reconnaître quoi que ce soit.

 

Comment pouvoir être fière de faire du « françois Charles » et ensuite le répudier en lui disant de regarder faire les grands ? Comment comprendre une personne qui prend des décisions en connaissance de cause et ensuite vous nargue et vous rejette pour se protéger   quand cela se passe mal ? Est-ce vraiment lucide et responsable ?

 

Je profite de cet article pour annoncer en clin d’œil mes relations avec l’association ni pute ni soumise et mon intention de la faire se développer en Bourgogne. (…)

 

Je pouvais laisser faire mais dès septembre il était prévu que je fasse monter l’UMP en puissance à Montbard, avec son « aval » alors que l’UMP n’a rien à demander comme me le confirme son secrétaire départemental.  Elle n’a plus voulu me voir sur les lieux en mélangeant notamment vie privée et vie publique et m’a envoyé des insultes politiques (que vous connaissez maintenant) et me dit maintenant qu’elle n’a plus d’animosité personnelle … mais sans s’excuser comme pour refuser de toute façon ma présence en laissant agir le « fléau ». Mais si elle a autre chose à dire, je l’écoute. Et que dire du  projet de château qu’elle a bien vite oublié après y avoir travaillé!  Tant pis si elle ne peut plus partager ses « tableaux » avec personne et tant mieux si elle trouve d’autres soutiens à toute heure du jour et de la nuit pendant ses futures campagnes mais peut-être le fera-t-elle désormais pour d’autres

 

Non je ne me mettrai pas à genoux comme dans l’église d’Auxerre (…) sans avoir cherché à comprendre. « Seigneur donne moi le courage de changer ce qui doit être changé, donne moi la patience de supporter ce qui ne peut etre changé, donne moi la sagesse de toujours savoir faire la différence ». Certaines choses resteront cachées car faisant partie du domaine privé qui n’ont rien à voir avec la politique mais qui pourtant sont une composante des réalités qui permettent de comprendre les vraies intentions.

 

On me parle de hautes responsabilités qui doivent presque tout faire pardonner mais j’ai beaucoup fréquenté les ministères et j’ai sans doute plus contribué à l’avenir de la France que certains ministres sans en recevoir la reconnaissance. Je développe  une persévérance dans une certaine vision qui commence à porter ses fruits,  de par mes expériences dans le public et le privé à certains niveaux et les actions souvent novatrices engagées, au niveau natonal, international mais aussi en région où règnent susceptibilités plutôt qu’entrain, …

 

On me parle des réalités politiques et que je réagis avec sensibilité. Je réponds que je suis blindé mais humain et m’offusque que tout le monde s’accorde à dire sans broncher qu’un ancien haut responsable politique local a déjà été « viré comme un mal-propre ». Je citais l’exemple de Bérégovoy « jeté aux chiens » comme le disait F. Mitterrand mais l’a-t-il vraiement protégé ? D’autres racontent comment des candidatures sont retirées suite à intimidation ou comment certains élus préfèrent quitter de région après qu’eux et leur famille aient reçu des menaces même de mort. Est-ce un sport local ? Est-ce cela la politique ? Cruelle et passionnée. Et quand les affaires personnelles qui lient le pouvoir et l’argent s’en mêlent tout peut arriver.

 

Lors de mon précédent article, j’avais fait allusion à la Sauvadie sur la 4e circonscription de Cote d’Or, comme on pourrait dire la Carlie ou que sais-je. Je m’étais trompé, il s’agit apparemment et évidemment de toute la Côte d’Or, voire même de la France encore jusqu’au 15 mai. Il est vrai que François Sauvadet, a été nommé non pas par compétences mais pour contrer JLB et H Morin. Je vais donc peut-être aller m’exiler en Suisse où je me rends souvent pour reprendre un certain équilibre et une certaine vision !

 

Certains incitent d’autres à ne plus me cotoyer alors qu’ils devraient plutôt se poser certaines questions sur les personnes qui leur demandent de le faire et pourquoi elles le leur demandent. Est-ce à cause d’une crainte de ma candidature désirée par certains ? Aurais–je tant d’importance ? Est-ce parce que je cherche à réparer certaines injustices et certains faits déplacés qui doivent être dits ? Est-ce à cause de ma richesse de pensée et de mes expériences globales ? Savent-ils qu’ils colportent mensonges et haine, et me font savoir par email interposé que me lire ou me voir est malsain ? Savent-ils les emails de moquerie et de menace que je reçois depuis un an ?

 

D’autres ne veulent pas intervenir sur ces affaires de psersonnes alors que j’ai bien reçu des sms politiques me disant « dégage mange merde, on n’a pas besoin de toi » ou  « heureusement que je ne suis pas prête de voir ta tronche sur une affiche, sauf de cirque, pauvre clown » (étrangement proches des propos de FS s’agissant d’une autre candidature…ou avec arrangement avec un autre parti..) pour solde à service rendus… Est-ce cela la majorité présidentielle ? Est-ce moi qui divise ? Est-ce moi qui ai contribué à faire passer la mairie à gauche à Montbard ? N’ai-je pas le droit de réagir contre une attitude infantile et schizophrène concernant les transports, les régles budgétaires ou certains monuments ?

 

Et dire que je cherche à diviser alors que j’ai créé un club Droite Fédérale depuis 2002 … mais peut-être est-ce le rejet des rdvz marketing politique pourtant appréciés ? Ou alors…la vérité est-elle ailleurs ? Je ne veux pas être le Jedi qui passe du côté obscur de la force. Je pense plutôt que c’est sa jeune padawan avec son Seigneur Sick qui est en train de le faire…

 

Mon but est de continuer à faire passer mes idées en toute objectivité et en toute tranquillité dans l’intérêt général. Comme le dit un certain sénateur de Cote d’Or, nous sommes en démocratie, tout le monde peut circuler et parler. Mais je le fais sans insulte. Certaines personnes qui ne se sentent pas tranquilles utilisent volontiers les mots « diffamation, mensonges, insultes, menaces » dans un sens qui leur est propre, aimeraient « me voir enfermé » et ne veulent lire que certaines lignes.

 

Notre futur ex-ministre de la Cote d’Or va encore « être énervé » C’est vrai qu’il ne s’attendait pas à ma réaction d’Alésia il y a presqu’un mois suite à l’affront que j’avais reçu. Lors des cantonales, il avait réuni son staff en leur posant la question « qui est-ce ? ». Maintenant il le sait. Il avait juste oublié les remerciements qu’il m’a fait pour les régionales et la soirée passée ensemble au stade. Il n’avait peut être pas compris les questions que j’avais envoyées après, croyant être encore en confiance… et il m’avait peut-être sous-estimé ?

Lire la suite

DIGNITE, RESPECT, APAISEMENT et EMOTION DANS LA TRANSITION

8 Mai 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #politique

 

 

 merci aux militants de tous bords de prendre en compte l'exemple de N Sarkozy et de F HOLLANDE, de respecter le choix des Français et d'éviter les blâmes, luttes de clivage et la haine. L'unité française doit être forte pour aborder ce nouveau mandat. merci

 

 

NS-FH.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

pour ma part, j'assistais aux cérémonies à Auxonne devant le monument Rhin et Danube, un des trois points de jonction avec Montbard et la région de Chatillon

 

IMG-20120508-00707.jpg

 

 

 

 

 

Lire la suite

un vrai programme quel que soit le vainqueur

7 Mai 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #économie

 

je vous recommande la lecture du VADEMECUM  2012 - 2017 de l'INSTITUT MONTAIGNE pour l'OBJECTIF CROISSANCE

dont les thèes rejoignent les thèmes que vous découvrez peu à peu sur mon blog

 

STRATEGIE ECONOMIQUE ET EUROPENNE : CREER UNE CHOC DE COMPETITIVITE

- renforcer le tissu d'entreprises de taille intermédiaire

- construire la croissance sur l'innovation et la connaissance

- poursuivre la réforme de l'enseignement supérieur

- mettre en place une fiscalité au service de la "social-compétitivité"

- faire de l'Afrique le premier partenaire de la France et de l'Europe

 

COHESION SOCIALE : REFORMER POUR FAVORISER LA MOBILITE ET L EGALITE DES CHANCES

- ériger l'école primaire en priorité du quinquénat

- lever els points de blocage en matière de logement

- fuidifier le marché du travail

- bâtir un dialogue social moderne et efficace

- ouvrir les entreprises à la diversité

- encourager la générosité publique

 

MODERNISATION DE L ACTION PUBLIQUE : REFORMER L ACTION PUBLIQUE

- mieux gérer et contrôler l'endettement public

- réduire les dépenses des colectivités territoriales

- santé : évaluer pus pour soigner mieux

- retraites : pour en finir avec les replatrages

- respecter et défendre les libertés publiques

- faire de la diversité une chance pour notre démocratie

 

je vous rappellerai bientot les thèmes d'orientation de l'INSTIUT DE RECHERCJE ET DE COMMUNICATION SUR L EUROPE

Lire la suite

Les réalités du projet d’hôtel SPA 4* de Nogent les Montbard (Partie 5)

7 Mai 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #territoires de Cote d'or

 

     projet gelé suite à pressions


 bonjour, bien qu'ils fassent désormais référence, les articles sur le projet d'hotel de luxe et 3* à Nogent les Montbard et Malaisy sont retirés pour protection suite à utilisation malveillante mais aussi à la demande se certains investisseurs. ils sont disponibles sur demande motivée

 

suivez ce projet désormais sur http://novial.overblog.com

 

 

FC

Lire la suite

Les réalités du projet d’hôtel SPA 4* de Nogent les Montbard (Partie 5)

7 Mai 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #territoires de Cote d'or

 

      projet gelé suite à pressions


J'espère que la lecture des quatre premières parties vous a donné envie de suivre et de communiquer sur ce projte de territoire.

 

Viennent maintenant les « zones d’ombre » que l’on ne voudrait jamais voir apparaître avec une somme de réalités à la fois professionnelles, personnelles et politiques.

 

Chaque projet a ses réalités, ses contraintes, ses facilitateurs et ses opposants. Je ne serai pas le premier à être considéré comme un fou devant une telle volonté de réalisation en ruralité ou être attaqué simplement pour que le projet ne se fasse pas car il semble déranger certaines personnes d’un point de vue personnel, professionnel et politique au-delà de toutes considérations d’intérêt général et de réalités territoriales.

 

Le second communiqué annonçant dans la presse que le projet était reporté car toutes les conditions n’étaient pas réunies voulait en fait soulever des réalités qui ne me permettaient pas d’œuvrer en sérénité et sécurité, preuves à l’appui.

 DSC04067-1.JPG

 

Par François CHARLES

Initiateur et porteur du projet

 

On peut s’étonner de certaines réactions consulaires ou de collectivités qui ne facilitent pas, voire même qui barrent la route ou l’entrée par peur ou par vengeance directe ou indirecte. Je citerai l’exemple de l’inauguration du Muséo-parc, succursale du conseil général, où je me suis rendu invité par un élu de Côte d’Or Tourisme pour être finalement bien identifié et honteusement refoulé prétextant une organisation Premier Ministre au grand sourire de mes détracteurs locaux. Je remercie néanmoins le Directeur qui avait, je pense personnellement compensé ce manque de considération par une invitation privée à découvrir le site, mais  que je n’avais pu honorer. On peut donc considérer que cette inauguration était donc un événement politique personnel au-delà de l’intérêt des territoires. Est-ce bien responsable de la part de certains élus ? A moins qu’il ne s’agisse d’une affaire personnelle…

 

Par ailleurs, pour quelle raison une élue locale ne veut-elle plus se voir associée au projet alors qu’elle m’avait montré le château et qu’elle a participé à la rédaction du dossier avec une sorte de paternité commune ?

 

J’ai réussi de grandes choses pour l’intérêt économique de la Nation et j’ai réussi de nombreux événements. Je me concentre désormais sur les PME, comme par exemple en obtenant récemment l’ouverture contractuelle des moyens industriels étatiques ou avoir réussi à monter un plateau de 8 acteurs des Etats Majors ainsi que sur le marketing territorial depuis mon retour en Bourgogne.

 

Un sujet complémentaire d’ampleur, historique cette fois, se dessine désormais localement mais il est encore trop tôt pour le dévoiler car j’attends certaines garanties. Mais ses « charges » déferleront sans doute  sur tous ces éléments pour faire place nette.

 

Il est assez difficile de mener un projet d’une telle ampleur quand il est perturbé par une histoire personnelle et politique et surtout quand vos anciens amis deviennent vos opposants et vos anciens opposants naturels vos meilleurs alliés. Il est également facile de décourager psychologiquement ou avec violence et ensuite de railler sur le fait que le projet ne se fait pas.

 

 

Habitué à travailler sur des dossiers de politique industrielle à haut niveau, j’ai déjà eu l’habitude de certaines oppositions. Mais depuis septembre, outre les interdictions sociales, et les campagnes de dénigrement sur le « vent » de ce projet qui déteignent sur ma crédibilité professionnelle, je suis l’objet d’atteintes privées et violentes avec insultes, incivilités, dénigrements, intimidations et menaces pour me pousser à quitter la région, par dépit, déni, frustration et jalousie. J’ai même reçu des menaces de mort me disant aussi que mes projets allaient partir en fumée. J’ai porté plusieurs plaintes contre les auteurs identifiés mais tout ceci semble faire « pchitttt » comme si ce n’était pas fondé ou protégé par je ne sais quel pouvoir ou si on attendait un réel incident Etonnant non ? Non quand j’apprends jour après jour certaines réalités que je ne voulais imaginer ! On peut aussi se demander pourquoi  mon intervention à la radio, est bizarrement devenue indisponible au téléchargement prétextant une panne technique irréparable en plusieurs mois. J’accepte le hasard mais mon côté conceptuel et intuitif rarement défaillant sait assembler certains éléments

 

Mieux ! Ma demande de relance d’identification de logements privés à remettre en état voire à garantir les loyers pour le personnel (voir notamment prochain article sur le logement et la ruralité) aurait été repris d’autorité par le Conseil Général pour d’autres besoins vis-à-vis de la communauté de communes. Un professionnel judiciaire et  juridique de la vie des entreprises m’a également accusé d’avoir créé un effet d’annonce et mis une émotion dans le personnel de l’hôtel annexe, désormais liquidé et qui faisait l’objet d’un appel à reprise !

 

Je n’ai également cessé d’être attaqué de façon « indélicate » comme disent certains sur le fait que le projet n’était que dans ma tête alors que j’y ai consacré de nombreux mois de travail et de déplacement, qu’il a été visité par les entreprises locales, qu’il a mobilisé déjà des acteurs locaux et de nombreux corps de métier dans une logique de territoire. Certes je découvre certains éléments de la profession,  mais j’y suis confronté depuis quelques années et je me force à maîtriser l’ensemble du projet avec l’apport de méthodes éprouvées dans d’autres métiers. Vous connaissez déjà les quatre premières parties.

 

On m’a qualifié de « touche à tout » ce qui est vrai, comme Buffon d’ailleurs mais aussi de personne non crédible, que l’on souhaiterait même « voir enfermé » ce qui n’est pas acceptable. Bien entendu les bruits malsains parus dans la presse et décourageants auraient peut-être disparu si l’achat avait eu lieu mais je tiens à conserver la logique d’un achat si la totalité du projet, qui garantira sa réussite, est réalisé.

 

Heureusement, mon degré de folie « perçue » est passé de 8 à 4 / 10 étant donné ma persévérance et la découverte du sérieux de mes études marketing, du business plan très détaillé, de la communication liée  et de la cohérence d’ensemble. Mais l’opposition personnelle est donc devenue inversement proportionnelle devant le constat de ma persévérance.

 

Ces faits sont heureusement compensés par des soutiens locaux et des lettres d’encouragements institutionnelles de personnes réellement impliquées pour le territoire au delà de toute considération personnelle.

 

Faut-il que tout ceci soit réalisé par quelqu’un d’autre voire en laissant les fruits aux malveillants qui auraient « gagné » ? C’est un jeu courant en entreprise. On s’aperçoit souvent trop tard des côtés positifs des éléments partant et des côtés négatifs de celles et ceux qui ont poussé leur départ. Le travail de réhabilitation a souvent lieu après leur mort, comme celle de Junot par exemple…

Lire la suite

les primaires : belle opération stratégique de la gauche

7 Mai 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #politique

 

F Hollande est élu et prendra ses fonctions dans 10 jours. Bravo et bonne chance à lui, comme j'ai pu le dire à certains responsables de gauche hier en préfecture, terrain neutre de la République

 

Mais un enseignement stratégique avec surtout les questions QUI et QUAND est à conserver

 

 

De façon objective nous pouvons retenir que les primaires socialistes lancées très tôt ont eu pour effet de cristaliser le vote et que ... le lancement tardif de la candidature de droite (même si tout le monde la connaissait) a eu pour effet de ne pouvoir rattraper le retard à temps et sauf à faire certaines erreurs 

 

FC

Lire la suite

La Cote d'or reste bleue mais....

6 Mai 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #politique

Si l'on regarde les chiffres  

Circo 1 NS : 57,08 FH : 42,92 (Mais : saisie réaisée à seulement 20,99 des bulletins)

Circo 2 NS : 56,65 FH : 43,35 (Saisie à 65,87%)

Circo 3 NS : 50,85 FH : 49,76 (Saisie à 53,85%)

Circo 4 NS : 53 FH : 47 (Saisie à 96,65%)

Circo 5  NS : 55,92 FH : 44,08 (Saisie réalisée à 99,60)

 

donc la Cote d'or reste bleue car ses réalités rurales plutot de droite (dont NC) la protègent

MAIS attention un autre élément peut-etre trompeur : le bleu clair est en fait...bleu marine !

 

PAR AILLEURS si l'on regarde en détail, une zone d'ombre commence à grandir en Haute Côte d'or, sans soute avec une nouvelle demande

 

et plus spécifiquement, Montbard, mais désormais Semur et Vitteaux (cachée dans le bleu du canton) sont à gauche

 

les efforts entrepris pour les cantonales à Montbard avec une attitude nouvelle, depuis interrompue, doivent être repris et amplifiés

 

IMG-20120507-00702.jpg

Lire la suite
<< < 1 2 3 4 > >>