poesie
Mon poème pour Greta
Mon poème pour Greta
Sainte Greta écolo
Ne sois donc pas trop triste
Pour cette cop 26
Tu vas pouvoir en fait
Continuer tes discours
De jeune influenceuse
Aux allures de démon
Aux airs de sermons
Tu n’es pas la première
Et bien d’autres avant toi
Ont rappelé à l’ordre
Les puissants de ce monde
Pour essayer ma foi
De réduire ça et là
Le taux ce Co2
Pour les jeunes et les vieux
Les animaux aussi
Ont même tout tenté
Et le plus grand succès
Sans les réseaux sociaux
Ni même de micro
A été la baleine
Qui descendit le Rhin
Pendant quinze matins
Tu énonces des faits
Eux annoncent des fêtes
Mais parfois tout s’écroule
Quand on ne te croit plus
En Jeanne d’Arc que tu es
Quand tu n’as plus tes voix
Ou qu’elles sont sur la croix
Les politiques te blâment
Confortés par leurs votes
Sans sagesse, ni prudence
Justice, ni éloquence
Et veulent te renvoyer
Sur les bancs d’écolier
Avec une bonne fessée
Mais ils agissent pourtant
Certes aussi à leur rythme
Pour changer le climat
Au gré de leurs moyens
Et de leurs convictions
Au gré des discussions
Et de leurs décisions
Populations non plus
Américains eux-mêmes
Ne t’ont pas attendu
Pour faire vite arrêter
Les mauvais CFC
Qui détruisaient le trou
De notre couche d’ozone
Les jeunes te reconnaissent
Dans tes cris et tes larmes
Scientifiques et techniques
Voient même ton instruction
Au-delà il est vrai
Des plaques tectoniques
Qui agissent pourtant
Avec leurs volcans
Mais que proposes-tu donc ?
Vas-tu nous foutre en l’air
Nos centrales nucléaires
Pour réclamer de l’air
Qui pourtant a l’air clair
Sauf quelques particules
Prends donc leur matricule
Est-ce vraiment réaliste
Et même réalisable ?
Vas-tu crier en Chine ?
En Russie ou ailleurs
Où rugissent les centrales
Réduisant le charbon
Mais peut-être est-ce bon ?
Faut-il leur envoyer
Des missiles bien méchants
Pour très rapidement
Les réduire à néant
Mais il faudra penser
A celles des Allemands
Plus tard ou bien maintenant
J’aimerais bien t’écouter
Si un jour tu voulais
Mais ce n’est pas vendeur
Et pas très bucolique
Bien vouloir nous parler
Du mix énergétique
Passant par l’hydraulique
Et à l’heure où total
S’aventure au soleil
J’aurais aussi un rêve
Celui que la filière
Que l’on dit nucléaire
Puisse aussi financer
Eoliennes et panneaux
Avoir un an de plus
Quel que soit le jour,
Quel que soit le pays
Quel que soit le mois
Quelle que soit la race
Ou même le continent
Le temps ou l’heure qu’il fit
Nous avons en commun
D’être tous nés un jour
Nous ne sommes pas égaux
Comme devant la loi
Et devant la santé
Certains profiterons
D’une longue existence
Apaisée et sereine
Quand d’autres connaitront
De très grandes souffrances
Souvent gorgées de peines
Mais nous éprouvons tous
Le droit de respirer
De boire et de manger
De rire et de pleurer
Certes sans commune mesure
Mais pour nous rassasier
Pour pouvoir travailler
Pouvoir communiquer
Et surtout faire l’amour
Certains se contenteront
D’un simple litre d’eau
Quand d’autres en consommeront
Plus d’un bac et d’un seau
Certains ne mangeront
Souvent juste à leur fin
Quand d’autres gaspilleront
Plus de vin et de pain
A chaque anniversaire
Faut-il se souvenir
Ou penser à demain
Se rappeler le bien,
Et l’ ancrer pour demain
Les rires et les baisers
Les signes bienveillants
Tous les cadeaux sincères
Les saines reconnaissances
Se souvenir du mal
Des coups, des injustices
De gens toujours mauvais
Des menteurs médisants
Des jaloux malveillants
Pour les faire disparaitre
Dans un coup de tamis
Dès le tout premier jour
De la nouvelle année
Notre âme vieillit-elle
Autant que notre corps ?
Ou vagabonde-t-elle
Car elle est immortelle
Pourquoi ne pas penser
Qu’un cerveau a 30 ans
Quand le corps a 60 ?
Pourquoi ne pas penser
Qu’une peau est bien lisse
Quand les rides apparaissent ?
La personne d’âge mûr
Aura sans doute pour elle
Le don de la raison
Quand le jeune aura lui
Celui de la passion
L’ancien ne pourra plus
Courir ça et là
Mais aura tout le temps
D’ici et maintenant
Et dans la mort enfin
Nous nous retrouverons
Ceux qui partirent trop tôt
Pour laisser une place
Ceux qui partirent très tard
Plus qu’ils n’auraient voulu
Ceux qui choisirent enfin
Le lieu et le moment
Ecrivant leur destin
Pensons à tous ces anges
Qui nous veillent chaque jour
Qui conseillent nos âmes
Qui orientent nos actions
Et tempèrent nos rançons
Qui décident du temps
Qui décident de nos pas
Mais eux qui ne meurent pas
Ma belle observatrice
Ma belle observatrice
Je te fais ce poème
Pour bien t’expliquer
Ce dont il faut comprendre
Toi qui te demandais
Quelle part était vraie
Quelle part était fausse
Ce que tu devais croire
Moi qui n’ai donc pas su
Attirer ta confiance
Alors que tu avais
Accepté d’avancer
Toi qui m’a fait languir
Comme aucune autre avant
Et j’ai été content
D’en être bien patient
Toi qui a accepté
De te laisser guider
Et même de découvrir
Certains jeux et loisirs
Toi pour ta façon d’être
Et pour celle de penser
Que je pouvais aider
En toute humilité
Tu m’attirais vraiment
Quand tant d’autres me chassent
Toi qui me reposais
Quand tant d’autres m’agacent
Toi qui m’a bien filtré
Et peut être un peu trop
Pour mettre tes barrières
Là où il n’en faut pas trop
Toi qui a provoqué
Une précipitation
Que je n’ai su gérer
Et sans rien calculer
Toi qui aime les choses simples
Mais avec raffinement
Qui sait être attentive
Et apprécier la vie
Toi qui semblais pourtant
Casser tes anciens liens
Avec tes heures sombres
Que je n’ai pu entendre
Toi qui pensais toujours
Ne pas me convenir
Toi qui était toujours
Dans tes vieux souvenirs
Toi qui ne comprenais
Certaines réactions
Quand j’attendais bien trop
Et ma foi bien trop vite
Je l’avoir volontiers
J’ai joué quelques jeux
Pour te faire comprendre
Une certaine impatience
Et certaines attentes
Nos déceptions furent grandes
Mon trop grand altruisme
Mon envie de partage
Mes demandes de sorties
T’ont sans doute paru lourds
Impossibles à gérer
Tu vas te réveiller
Et peut-être sauras tu
Enfin réaliser
Que je t’aimais vraiment
Que je t’aimais pour toi
LE TUYAU DE NERJA
Le tuyau de Nerja
Il était une fois
Le tuyau de Nerja
Un tuyau noir et bleu
Qui perturbait les yeux
Placé sur la plage
Certes oui en février
Les gens s’interrogeaient
Sur ce gros élément
Tuyau anti-marée ?
Ou tuyau d’incendie ?
Etait-ce un exercice ?
Une crise arrivait-elle ?
Les discours fusaient
Etonnés par ici
Négatifs par là
Sans même savoir pourquoi
Buldozers et camions
Chaloupes et bateaux
Hommes très vigoureux
Le reliaient, l’assemblaient
Non avec certains bruits
Le week end arriva
Le tuyau y resta
Les gens s’en approchèrent
Certain non avec flair
Le tuyau était propre
Et même agréable
Les enfants y jouèrent
Et même les parents
Peu à peu il devint
Même un genre de coussin
Une sorte d’agrément
Qu’ils s’approprièrent
En fait il s’agissait
D’évacuer bien plus loin
L’eau usée de la ville
Et impropre à la plage
Les touristes eux-mêmes
Ne pouvaient le savoir
Et l’ont considéré
Comme nouvelle attraction
Je ne connais la fin
Car j’ai du repartir
Certains s’en souviendront
Et d’autres l’oublieront
Mais le vilain tuyau
Devenu une star
Fut sans doute regretté
Et bien photographié
LE DIFFICILE METIER D'ANGE
Le difficile métier d’ange
Les anges sont partout
Les avez-vous croisé ?
Au détour d’un carrefour
Ou alors d’une nuit
Certains parlent d’étoiles
Ou bien alors de saints
Pour mieux les protéger
Mais ce sont bien les anges
Qui savent nous parler
N’avez-vous pas senti
Quelqu’un auprès de vous
Quand vous aviez manqué
De vite quitter ce monde ?
N’avez-vous pas senti
Une main une énergie
Quand vous aviez douté
De prendre une décision ?
N’étiez vous pas surpris
De pouvoir discuter
Avec cette personne
Comme par enchantement ?
Accident évités ou sorti miraculeux
Une fois certes oui
Mais que dire maintes fois
Quel message apprendre ?
Ils surveillent vos vies
Parfois ils nous protègent
Parfois ils nous punissent
et parfois nous bénissent
Ils retiennent les voitures
Ils empêchent les feux
Ils retiennent les chars
Ils vous ouvrent les yeux
Il activent les âmes
Pour qu’elles se rencontrent
Ils activent l’amour
Ou alors vous le montrent
N’avez-vous pas senti
Qu’il vous a protégé
Lors de ce concours
Par des gens bienveillants
Bien inconnus pourtant
N’avez-vous pas senti
Qu’il vous prenait la main
Pour rappeler l’être cher
Et croire au lendemain ?
Ils savent aussi partir
A la fin d’une mission
Ils tentent de vous prévenir
Que c’est là pour de bon
En émettant des voix
Mais aussi des images
En laissant un objet
Qui n’est bien que présage
Ne les décevez pas
Ou alors pas trop
Leur vie n’est pas facile
Même s’ils savent profiter
Parfois ils disparaissent
Et parfois même ils restent
Ils apparaissent alors
Comme de simples humains
Mais comme le cygne noir
Agressif et méchant
Le diable en est un d’eux
Tout droit sorti des cieux
Il arrive surtout
Pour rendre la relève
Ou pour mieux vous tenter
De repousser sagesse
Et l’essentiel est bien
D’en prendre bien conscience
Car l’ange je vous l’avoue
C’est peut-être bien vous
MON GENERAL
Mon Général
Depuis déjà longtemps
On me dit Colonel
Et même Général
Qu’y a-t-il de mal
Les uns sincèrement
De par ce que je fais
De par ce que j’écris
De par ce que je dis
De par qui je fréquente
Dans bien tous les milieux
Au niveau national
Comme international
Je les laisse parler
Je ne mens surtout pas
Je les laisse m’enrober
C’est assez bon ma foi
Et ensuite se reprennent
Vérifications bien faites
Ainsi que déception
Me condamnant bien vite
D’y avoir mis leurs pions
D’autres s’en accommodent
Acceptant cet état
D’autres enfin s’en vont
Grognant sur ce constat
Certains par jalousie
Quand ce n’est de moquerie
pour bien mieux me piquer
et mieux me rabaisser
Ils emploient volontiers
Le petit grade acquis
Quand ils ne le contestent
Me traitant en mépris
J’ai certes beaucoup d’amis
Des vrais ou d’apparat
Qui ont beaucoup d’étoiles
Pour moi qui n’en n’ai pas
Officier j’étais bien
Mais point de général
Même si la famille
En a produit certains
Général sans étoiles
Comme princesse sans soulier
Je n’ai même pas la bleue
Et encore moins la rouge
J’étais discipliné
Et je le suis encore
Proche de l’esprit de corps
Bien trop illusionné
On a toujours voulu
Empêcher ma carrière
Dans certaines écoles
Et dans certains emplois
J’ai commencé bien bas
Trimant à chaque pas
Cumulant les diplômes
Travaux, Etudes
Et même publications
Quittant vite le terrain
Pour monter au plus haut
Et être confronté
A l’élite nationale
Qui m’ont cru un des leurs
Mais comme ils me disaient
Avaient mieux travaillé
Ont bien plus bourlingué
Porteur de plein d’espoirs
Sur beaucoup de dossiers
Dossiers empoisonnés
D’où je sortais d’affaires
Résilience permanente
Energie retrouvée
A toujours me refaire
Pour la chose publique
Proposant mains projets
Sortant de l’ordinaire
Pour faire avancer
Même les vieux caractères
Découvrant peu à peu
Les vraies subtilités
Du pouvoir et des jeux
D’où l’on ne survit pas
On m’a dit beau parleur
Et même que j’invente
Sans doute jaloux en face
De pareilles expériences
J’ai été protégé
Par certains anges gardiens
Dans bien tous les niveaux
Et qui avaient eux aussi
Sans doute connu des maux
Et bien vite descendu
Une fois la garde ouverte
Et même dans le dos
Par certains
ceux qui m’ont trouvé
Déçus peut être alors
Ou alors retournés
Par les vils et puissants
Qui se sentent menacés
Allant trop loin pour eux
Même si préconisé
Rebroussant leur chemin
En m’oubliant sur place
Ils gardèrent les idées
Jetèrent l’individu
Qui ne pouvait penser
De son rang l’eusse cru ?
Certains se sont trompés
Sont ensuite revenus
Comprenant ça et là
Certaines langues incongrues
Certains encore ont cru
Pouvoir me parler
Mais le système est là
Qui sans cesse vous broie
Je ne réclame rien
Ni médaille ni titre
Rien qu’un peu dira-t-on
De considération
LES SIGNES BIENVEILLANTS
Les signes bienveillants
Les avez-vous croisés
Les avez-vous subis
Les avez-vous goutés
Ou alors entendus ?
Les signes bienveillants
Et les actes manqués
Ils apparaissent là
Pour revenir ici
Ils vous surprennent aussi
Au détour d’une envie
Pouvez-vous les comprendre
Ou les analyser
Pouvez-vous simplement
En déduire les pensées
Une vierge qui vous assomme
Pour vous dire de rester
Un rhume qui apparait
Annulant ce dîner
Mais parfois rien n’y fait
Vous ne voulez rien voir
Vous partez sur un fait
Le jour ou bien le soir
Vous oubliez la belle
Puis une sonnerie résonne
La même que l’ex aimée
Qui vous a tant trahit
Sans comprendre pourquoi
Vous l’avez enregistrée
Pour une autre personne
Bien vite disparue
C’est aussi malgré vous
Une photo qui revient
Et qui revient sans cesse
Sans que vous demandiez
Un sms reçu
Amoureux celui-là
Hélas non destiné
Qui vous fait bien comprendre
Un amour débutant
Ou alors confirmé
Alors qu’elle disait
Vouloir seule rester
Alors qu’elle vous poussa
A partir pour lui
Mais vous éclaire aussi
Que c’est à vous qu’elle pense
LA NOUVELLE ANNEE
La nouvelle année
Il était une fois
Une nouvelle année
Qui s’en venait ma fois
Bien toute ébouriffée
Elle croisa en chemin
Une jolie mégère
Qui lui dit, non en vain
Ces quelques jolis vers
Que faites vous donc là
Charmante et belle muse
N’avez-vous donc pas vu
Que de vous je m’amuse
Vous parlez donc peut-être
De ma belle chevelure
A moins que ce ne soit
De mon accoutrement ?
Je vous l’avoue ma chère
Vous promener ainsi
Dans le froid et la neige
Me rendrait bien transie
Encore faudrait-il
Qu’il neigasse et froidisse
Encore faudrait-il
Que mes joues en rougissent
Vous semblez toute droite
Descendue d’un nuage
Ou d’une chambre à coucher
A moins que ce ne soit
D’un endroit mal famé
Ou d’un lieu de plaisir
Si vous saviez ma bru
Vous n’en diriez pas tant
Je viens d’une période
Où l’on perd ses enfants
Où l’on craint les migrants
Où l’on fuit les mendiants
Où l’on tombe sous les balles
Même dans le Bataclan
Alors ma chère bru
Pour commencer ce temps
Où d’autres nuages sombres
Risques bien d’arriver
Vivons le temps présent
Sachons faire la fête
Oublions nos soucis
Chantons plutôt l’espoir
Buvons donc ce champagne
Et mangeons cette galette
Tentons donc de construire
Tentons donc de bâtir
Tentons donc de lancer
Une nouvelle année
Toute pleine d’espérance
Avant dit le dicton
Que les petits cochons
Ne nous mangent pour de bon.
CHANTERONS NOUS ENSEMBLE ?
Chanterons nous ensemble
Chanterons-nous ensemble
Belle amie retrouvée
Après 10 ans passés
A chercher je ne sais quoi
A chercher je ne sais où
Chanterons-nous ensemble
Ô charmante dijonnaise
Qui était sous mes yeux
Qui était retournée
Quand je t’ai remarquée
Chanterons-nous ensemble
Toi qui n’était pas libre
Et moi d’ailleurs non plus
Toi qui n’a fait le deuil
Et l’ai-je fait d’ailleurs ?
Chanterons-nous ensemble
Toi qui sait remarquer
Les esprits différents
Qui méritent ton regard
Et même ton amour
Chanterons-nous ensemble
Toi la femme de mon âge
Grande élégante et fine
Dont j’aime la compagnie
Avec ou sans chapeau
Chanterons nous ensemble
Toi dont j’aime le parfum
Toi dont j’aime l’allure
Toi dont j’aime les yeux
Toi dont j’aime la taille
Chanterons-nous ensemble
Toi une de plus belles femmes
De la soirée de vœux
A qui j’ai apporté
De quoi boire et manger
Chanterons-nous ensemble
Tu es un cœur à prendre
Je le suis également
Reste juste à savoir
Si nos cœurs chanteront
Chanterons nous ensemble
Toi qui aimes les chansons
Que j’ose interpréter
Sans me dire ma foi
De plutôt m’arrêter
Chanterons-nous ensemble
Toi qui aimes les gens
Qui partagent ta passion
Et qui se jettent à l’eau
Avec ou sans micro
Chanterons-nous ensemble
Toi qui viendras bientôt
Découvrir ma cuisine
Et puis mon univers
Qui j’espère te plairont
Chanterons-nous ensemble
Toi qui fais un métier
Que je connais très bien
Et où je suis content
Que tu aies réussi
Chanterons-nous ensemble
Tu peux te rassurer
J’irai te voir chez toi
J’irai voir ta famille
J’irai voir tes amis
Chanterons-nous ensemble
Tous deux dans la cuisine
A faire le saumon
A toi bien sûr la croûte
Et moi le court bouillon
Chanterons-nous ensemble
Nous formons un beau couple
Ne le trouves-tu pas ?
Nous formons une troupe
A mûrir pas à pas
Chanterons-nous ensemble
Viens donc m’embrasser
Nous auront bien le temps
Après quelque ébats
Ensemble de chanter
MA CHANTEUSE DIGITALE
Ma chanteuse digitale
Chanterons-nous ensemble
Ma chanteuse digitale
Qui se reconnaitra
Dans ces mots musicaux
Voire même digitaux
Chanterons-nous ensemble
J’étais loin de penser
Que tu chantais aussi
Au-delà des métiers
Que nous nous connaissons
Chanterons-nous ensemble
Avec donc peut-être
Une meilleure fortune
De nos premier essais
Que nous nous connaissons
Chanterons-nous ensemble
Toi dijonnaise aussi
Qui a su émigrer
Bien plus vers le soleil
Bien plus vers la mer
Chanterons-nous ensemble
Toi qui n’était pas libre
Et moi d’ailleurs non plus
Et je ne sais d’ailleurs
Si ta vie a changé
Chanterons-nous ensemble
Toi qui sait remarquer
Les esprits différents
Qui méritent ton regard
Et voire ton amour
Chanterons-nous ensemble
Toi la femme de mon âge
Grande élégante et fine
Dont j’aime la compagnie
Come tu le sais bien
Chanterons nous ensemble
Toi dont j’aime le parfum
Toi dont j’aime l’allure
Toi dont j’aime les yeux
Toi dont j’aime la taille
Chanterons-nous ensemble
Toi une de plus belles femmes
Du monde digital
A qui j’apporte aussi
Un regard d’expert
Chanterons-nous ensemble
Où en est donc ton coeur
Où en est donc le mien
Reste juste à savoir
Si nos cœurs chanteront
Chanterons-nous ensemble
Le chant te rend joyeuse
Il me donne du courage
Le chat te rend radieuse
Il n’use d’aucun trucage
Chanterons nous ensemble
Toi qui aimes les chansons
Que j’ose interpréter
En m’invitant ma foi
De faire des duos
Chanterons-nous ensemble
Toi qui dont la famille
Maitrise les instruments
Qui iraient parfaitement
Avec certains chants
Chanterons-nous ensemble
J’espère te voir bientôt
Découvrir ma cuisine
Et puis mon univers
Qui j’espère te plairont
Chanterons-nous ensemble
Nous formons un beau couple
Ne le trouves-tu pas ?
Nous formons une troupe
A mûrir pas à pas
Chanterons-nous ensemble
Et viens donc m’embrasser
Nous auront bien le temps
Après quelque ébats
Ensemble de chanter