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Le blog philosophique de francois CHARLES
Articles récents

"LE MONDE VU PAR LA RUSSIE" Conférence de l'Ambassadeur de Russie en France

14 Avril 2018 , Rédigé par francoischarles

Le 22 février avait lieu une conférence organisée par l'Association France - Russie au nouveau centre culturel russe, sur le thème "Le monde vu par la Russie" avec Son Excellence M.  Alexeï Mechkov, nouvel ambassadeur de Russie en France et ancien vice-ministre russe des Affaires étrangères.

Compte rendu et commentaires F. Charles sur le lien ci-après

juste un commentaire : no comment justement ! lire mes quelques lignes et reste à savoir s'il faut etre pessimiste ou optimiste avec les Russes et mêmes les Français installés en France qui ne reconnaissent pas la légitimité de l'Ukraine et nous insultent ceux qui se permettent à penser autrement... et donc comment discuter sur les autres régions en conflit ?

 

 

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REPRISE DES PUBLICATIONS SUR MONTBARD

3 Mars 2018 , Rédigé par francoischarles

Suite à ce que je viens d'apprendre ce soir, je vais sans doute reprendre mes publications sur une certaine personne de Montbard

 
 
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PENSEZ A REGARDER MES POST SUR LE SITE DE L'I.R.C.E.

10 Février 2018 , Rédigé par francoischarles

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L'autre lettre du Général de VILLIERS

20 Juillet 2017 , Rédigé par francoischarles Publié dans #défense

C 'est fait, le Chef d'Etat Major des Armées françaises a posé sa démission qui a été acceptée sans émotion, vite remplacé par un « héro et vrai chef de guerre » comme si l'ancien ne l'était pas. En plus de son rappel à l'ordre en public, le président jupitérien chef des Armées n'a vraiment pas apprécié que son subordonné s'exprime dans une tribune puis confirme ses positions comme un lanceur d'alerte. Mais qu'aurait-il pu également écrire ?

Par François CHARLES

Armée de terre puis affaires industrielles et maintenance à la DGA, conseil en politique générale, management et affaires européennes

Comme vous le dites, Monsieur le président, un CEMA n'est pas là pour défendre le budget de la défense mais plutôt des capacités et conduire des troupes ainsi que mener des opérations. Je reprendrai ce que l'on dit dans l'armée : un chef, une mission, des moyens.

Le chef je le suis, après avoir été nommé. Je suis reconnu par mes troupes. Par contre, en tant que leader responsable des forces armées, et leader opérationnel, voire de processus de la défense, j'avoue que tout n'est pas encore mis en place dans les missions que vous me confiez pour avancer de façon mature au delà du système « D ».

Je suis conscient qu'il s'agit d'une mission française et européenne à dimension également mondiale. Je suis conscient que vos devez montrer à nos partenaires le respect de certains engagements économiques. Mais vous devez être conscient qu'il s'agit de gérer à la fois un service normal et surtout des opérations extérieures qui masquent certaines réalités que vit pourtant le civil dans sa guerre économique quotidienne. Mais je vous demande de savoir dire parfois non à certains engagements, comme vous le faites pour des choix économiques au regard de choix de défense, si vous ne parvenez pas à convaincre nos partenaires européens de mieux nous aider à accomplir ces tâches, soit par les moyens logistiques ou en personnels qu'ils ont fourni par exemple au Mali, soit par des contributions financières mais non prévues dans le système actuel européen, concentré sur des dépenses d'investissements et non de fonctionnement. Ce constat budgétaire, reconnu pas les autres depuis longtemps, pourra peut-être mieux nous faire travailler ensemble dans une identité européenne au sein de l'OTAN. Mais là n'est pas de mon ressort.

J'accomplirai toujours mon devoir avec les moyens que vous me donnerez et je suis conscient que nous pouvons faire mieux avec autant. Je vous demande également d'intervenir avec autorité et avec notion de solidarité vis-à-vis de nos partenaires industriels, qui se sentent trop souvent intouchables, pour qu'ils sachent travailler à coût objectif, livre ouvert et partage de risques, surtout sur le maintien en condition opérationnel. Je dois moi-même poursuivre mes efforts envers mes subordonnés, souvent trop disciplinés, qui souvent cachent les processus qui ne peuvent ainsi être soignés, ainsi que dans mes propres structures industrielles encore très hermétiques considérant que l'Etat est son propre assureur et se réfugiant derrière une sécurité qui n'a pas de prix et où de toute façon les moyens seront mis.

Je sais que les réalités sont souvent les mêmes chez nos partenaires européens. Vous avez nommé une ministre des armées plutôt gestionnaire. Ensemble, avec la DGA qui doit continuer à optimiser son positionnement, peut-être pourrons-nous faire avancer les choses sur des capacités et la disponibilité des matériels.

Je saurai, en tant également, que leader psychologique, motiver mes troupes pour maintenir le goût de l'effort au combat, comme pour la vie courante, en vous aidant à défendre ces réductions budgétaires que j'espère passagères, sans doute nécessaires au respect de nos engagements mais à une prise de conscience collective.

Bien respectueusement.

L'autre lettre du Général de VILLIERS
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FETE NATIONALE

14 Juillet 2017 , Rédigé par francoischarles

Fier d'être citoyen de France, force motrice partageable de la défense européenne interdépendante opérationnelle et industrielle (prochain article en préparation)

FETE NATIONALE
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FLORENCE PARLY, UNE GESTIONNAIRE AUX ARMEES ... ET POURQUOI PAS ?

25 Juin 2017 , Rédigé par francoischarles Publié dans #politique

Après avoir rebaptisé le ministère de la défense en ministère des armées pour revenir sur les fondamentaux, comme il l'est d'ailleurs écrit en passant sous le porche de la rue Saint Dominique à Paris, Emmanuel MACRON, chef des Armées, nomme Florence PARLY, femme gestionnaire au ministère. Sans doute est-ce en cohérence avec le fait que la défense civile et la défense économique soient désormais rattachées à Bercy.

Cela me rappelle la période quand Jean-Yves HELMER,  apolitique et gestionnaire, est arrivé de PSA pour prendre la direction de la Délégation Générale pour l'Armement. L'objectif qui lui était donné était d'orienter l'institution dans une optimisation de sa légitimité, à savoir mieux acheter au profit des armées et où tout le monde disait qu'il en fallait trois comme lui ensuite pour le remplacer en 2001 vu sa grande capacité de travail par rapport à l'environnement de l'institution où l'essentiel était que cela se passe bien et où il a bien fallu se mettre au boulot en sortant de l'ornière, voire en tentant de passer outre certaines réalités propres à l'environnement de défense.

Ce n'est pas la première femme à la défense, disons aux armées, car nommée après Michèle Alliot-Marie et feu Sylvie Goulard, solidaire à l'entrée comme à la sortie, à la fois techniques et politiques, qui semblaient faire l'unanimité à ce poste, sans néanmoins avoir eu de vraies capacités à réformer surtout les mentalités. L'ancien ministre passant aux affaires étrangères et européennes récupère la diplomatie de défense qui devra néanmoins faire évoluer l'attitude française dans les relations européennes et internationales, laissant le vrai travail désagréable à son successeur qui va devoir une fois de plus essayer d'avancer sur le Maintien en Condition Opérationnelle en espérant qu'elle y verra les éléments cachés qui empêchent de réellement travailler à livre ouvert, coûts objectifs et partage de risques. 

A suivre.

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MES CONSIGNES DE VOTE POUR LES LEGISLATIVES

11 Juin 2017 , Rédigé par francoischarles Publié dans #politique

Mes chers compatriotes....

comme vous le savez, je ne me présente pas pour ces législatives pour me consacrer aux affaires européennes mais sans pour autant jeter l'éponge pour la prochaine fois ni pour apporter un regard, notamment pour continuer à faire aboutir mon programme édité depuis quelques années. Certains anciens élus ne se représentent pas pour de multiples raisons notamment pour ne pas valider certaines positions de leur famille politique ou de certains de leurs anciens collègues

Comme vous le savez je commente la politique depuis longtemps et EM et d'autres ont repris mon analyse de marche sur ses deux pieds en appliquant la politique sans clivage tout en reconnaissant les idées de part et d'autre. Espérons que cela continuera ainsi. 

Je suis aujourd'hui, comme beaucoup d'entre vous, déçu de certaines personnalités politiques  nationales et locales que je croyais parfaites alors que leur coté face était bien différent

Je ne soutiens pas forcément les candidats de la République en marche mais j'aurai plusieurs souhaits

tout d'abord que les personnes n'allant pas voter habituellement se déplacent cette fois même si le nombre élevé de candidats, dont certains ne se sont pas déplacé dans la population, peut inciter à revenir vers les gens que l'on connait

que pour une fois, comme dans d'autres pays, le vote s'oriente si possible avec rafraîchissement vers des candidats nouveaux, qu'ils appartiennent ou non à la majorité présidentielle, qui n'ont pas forcément d'expérience d'élus, qui ont par contre des idées nouvelles, des savoirs, des savoir faire et des savoir-être nouveaux,

mais qui ne seront pas influencé par le côté obscur, qui auront la capacité de discernement, de se mettre à la place des autres, qui utiliseront  leur pouvoir pour influer avec intelligence, qui auront le potentiel de faire aboutir certains dossiers d'intérêt général et de leurs administrés en égalité ou équité, et auront le potentiel d'influer sur la politique nationale et européenne

et non pour saupoudrer les aides et les coups à des fins électorales et clientélistes ou influencer sur la justice ou les autorités pour soutenir certaines actions malsaines, obtenir des informations, en imaginer ou laisser l'opinion en imaginer ou en faire disparaître pour protéger les éléments perturbateurs

des élus qui ne s'accrocheront pas à leur "territoire" comme une généralité mais sauront le faire rayonner dans une dynamique générale

Mais restons sur une note positive ! Il fait beau et la France semble être enfin reconnue par une certaine force intérieure et une économie qui redémarre. 

 

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POUR UNE ADMINISTRATION EXEMPLAIRE ? IL Y A DU BOULOT....

3 Juin 2017 , Rédigé par francoischarles

J'espère que le nouveau Président de la République atteindra un de ses objectifs, à savoir un Etat et une administration plus efficaces. je parle également des fonctionnaires territoriaux. Et il y a du boulot !

deux exemples parmi tant d'autres :

La mairie de mon village autorise mon voisin à construire son grand abri de jardin ... sans vérifier qu'il est obligé de passer par chez moi pour livrer son kit par semi remorque ainsi que ses palettes de ciment, sable etc... et répond que ce n'est pas son travail ...

La mairie de mon chef lieu de canton recueille mes documents pour renouveler mon passeport... puis me rappelle en me disant que la préfecture n'acceptait finalement pas la pièce justificatrice fournie...me disant qu'ils n'étaient pas décisionnaire des documents demandés

Bonne journée !

 

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EMMANUEL MACRON LE KENNEDY FRANCAIS ET EUROPEEN

23 Mai 2017 , Rédigé par francoischarles

Emmanuel Macron : le Kennedy français et européen

Avant d'aborder le regard européen de cette élection, je me laisserai aller à la fois à quelques lignes de politique nationale intelligente et de psychologie.

Emmanuel Macron a remporté une victoire multiple : une victoire de la confiance, de la jeunesse, qui est cette fois présente sur l'estrade sans avoir besoin de faire le pot de fleur derrière les vieux routiers de la politique, de l'élan et de la rupture mais contrôlée et réalisable. Comme Kennedy, dont il a repris la teneur du discours, il est le plus jeune président français, porteur d'espoir et de rêve. Emmanuel Macron a du lire les fabliaux du management pour penser autrement et agir autrement. C'est une victoire de la communication et de la parfaite mise en scène au détail sauf quelques loupés bien vite corrigés en montant les marches quatre à quatre ; une victoire sur les clivages stériles en misant sur celles et ceux qui savent ou vont faire de la politique intelligente sur leurs deux pieds et pour certains sans a priori; une victoire sur l'entrain à aller voter car c'est un autre public que l'on a vu au Carrousel du Louvre qui sans doute ne s'exprimait pas avant et sur l'abstention qui s'est surtout exprimée chez les votants traditionnels qui n'ont pas voulu voter ou voter blanc ; une victoire sur les chiffres avec plus de 66% des votes quand on lui donnait moins de 60, une victoire du courage sans parti ni troupes il y a encore un an, une victoire de l'enthousiasme, de le réconciliation et de la restauration du rôle du président ; une victoire de la politique rafraîchissante en dehors des petits arrangements électoraux ; une victoire sur le doute du rôle de la France dans l'Europe et pour l'Europe et enfin une victime relative sur le système car EM a tout de même travaillé avec M. Rocard et F. Hollande pour ensuite être nommé à un ministère puis certes s'en détacher et a profité des ors de la République sans en avoir pourtant été semé dans le meilleur terreau. Et enfin, une victoire du glamour sur les déceptions et les faux semblants. Espérons qu'il ne suivra pas le même chemin funeste que Kennedy et que les aigris ne le tueront pas.

Est-ce un sursaut ou un sursis dans cette France qui aime le clivage et l'arbitrage entre la droite et la gauche et désormais la rupture entre les campagnes et les villes, comme entre les régions côtières et l'intérieur des terres. Cet homme porteur de sens qui a certes servi la gauche sans en être vraiment, comme Dominique Strauss-kahn, est condamné à réussir. Il a déjà réussi sa prise de fonction avec un discours qui donne envie d'être Français. Ses allusions et rappels de l'histoire sont importants. Il récupère Jeanne D'arc au FN en insistant sur le fait qu'elle a eu foi en elle et l'a transmise aux autres pour gagner. Espérons que lui, saura s'arrêter à temps et ne sera pas la cible de marchandages funestes. Ses allusions à de Gaulle, Clémenceau et Foch, son accolade de roi, ses caresses de l'oreille comme Napoléon au vieux grognards Patriat, Colomb et Bayrou, mieux que Sarkozy ne l'aurait fait, son autant de signes du chef aimé et reconnu pour avoir réussi son pari mais en qui désormais tout repose. Il n'y a pas eu de liesse sur les Champs-Elysées mais la République est protégée. Sauvée par un roi, un homme « providentiel » que les Français attendent, comme Mitterrand en son temps, s'en voulant certainement de l'avoir tué pour leur révolution. Son message fort de défense et de sécurité, notamment avec la remontée en véhicule militaire, plaît aux soldats qui partiront volontiers à la guerre avec lui. Il leur plaît aussi par son charisme et parce qu'il a « de la gueule ». Sa volonté de sortir du doute des dernière décennies, de rendre la confiance sans magie, de libérer le travail, de soutenir l'initiative, la création, l'innovation, avec des institutions efficaces, son discours et ses explications sans failles, font de lui un héro, même si presque trop parfait en aidant même F. Hollande à sortir par la grande porte sans le vouloir vraiment mais pour une passation réussie.

C'est un personnage équilibré à la fois dans l'initiative, fort de par ses convictions mais sensible de ses émotions. Il est à la fois conceptuel et rêveur créatif tout en sachant avancer pas à pas dans la façon structurée du perfectionniste. Il est capable d'expliquer autrement sans forcément partir en croisade et s'attache à faire avancer le processus tout en contrôlant son contenu. Il vit en dehors des ornières, fait vite le tour de la question. Il est fait pour accompagner ou être le chef mais pas pour faire partie d'une équipe. Il use d'un discours à la chinoise, court et long terme, de mélange de nouveauté et de traditionnel, marie Mozart et Offenbach.

Pourra-t-il gouverner ? Aura-t-il une majorité avec ses troupes nouvelles et certains anciens élus vus désormais traîtres par leurs pairs ? Les sondages ne le souhaitent pas. Mais pourquoi ne pas imaginer un fort parti du centre comme l'ancien CNI(P) qui a le droit aussi d'exister et des partis traditionnels plus réduits ou forts sachant travailler ensemble en prenant le meilleur de chacun mais en conservant leur identité dans une coalition inédite et intelligente depuis de Gaulle en connaissance de cause et non une « opposition » ? Cette logique de débat existe au niveau européen mais est loin d'être commune en France, ce provoque souvent de nombreuses situations ambigues sauf à avancer seul si tant est qu'il soit possible, judicieux et salvateur de le faire. Foch n'avait-il pas dit qu'il avait moins d'estime pour Napoléon depuis qu'il commandait une coalition ? Mais d'ailleurs qu'importe ! Soyons franc. Le pouvoir n'est-il pas en France à l'Elysée depuis de Gaulle et pas forcément à l'Assemblée Nationale. Le vrai Gaulliste Macron cherche à rassembler mais aussi d'abord à user du pouvoir pour ensuite peut-être le faire évoluer. Mais il sait déjà être le leader responsable, sachant travailler avec un leader de processus et en nommant un vrai leader psychologique.

Que les partis traditionnels se souviennent qu'ils ont été battus au premier tour. Que les déçus soient dignes et reconnaissent les scores, surtout du premier tour. Une partie de la gauche se réfugie derrière pour ne pas avoir perdu. Que la droite alliée au centre avec une seule jambe, qui met l'alibi de la défaite sur son candidat plutôt que son programme, bâtisse son identité est concevable. Mais qu'elle se dise de facto dans l'opposition et refuse toute idée de coalition prochaine relève de l'irresponsabilité. Son chef opportuniste ne cherche-t-il pas en fait qu'à être un Premier ministre, comme il l'a prouvé depuis longtemps, quel que soit le président, comme quand il voulait être absolument aux finances ? Les ministres marcheurs ayant le pied d'appel à droite sauront sauver la face. L'alliance avec le « juste centre » de Bayrou, condamné auparavant à une dimension restreinte, en tant qu'aiguille de la balance, crée désormais le socle de cette balance. La nomination de trois ministres modem est très forte et savante en compensation de quelques places perdues aux législatives. Mais que l'équipe Macron ne se trompe pas. Elle n'a pas gagné contre les extrémismes car le Front National n'est pas l'extrême droite. EM a gagné au moins à court terme sur ceux qui ne font pas confiance, sur ceux qui se renferment, sur ceux qui blâment et qui critiquent au lieu de se mettre au travail. Il a de toute façon gagné par un vote d'adhésion pour 57% des votants et un certain nombre de votes cachés. Il doit prendre en compte les alertes donnée pour avancer sur des domaines clé comme le numérique, utilisé par un de ses candidats rivaux et qui a fortement séduit les jeunes, et qui est l'épine dorsale commune des territoires, comme de l'Europe.

Enfin, EM a mis l'Europe au cœur de son projet. Il l'a confirmé en nommant deux députées européennes actuellement en poste en oubliant peut-être certain qui pourtant avait été sollicité par son équipe pour défendre la vision européenne du programme du futur président devant l'I.R.C.E.. Mais qui gardera le Parlement européen si tout le monde rentre en France ? Par son vote, la France a sauvé les structures de l'Europe mais n'oublions pas les promesses de refonte. Il faut aussi savoir couper son rosier pour qu'il refleurisse mieux. Si l'Allemagne est prête à avancer de concert et à se mettre à la même longueur d'ondes avec des engagements communs et une certaine solidarité, voire un conseil de défense rétabli, c'est surtout dans l'attente d'un changement d'attitude française qui doit désormais être exemplaire, forte, solide, clairvoyante, confiante et engageante mais en sachant travailler, considérer et fonctionner avec les autres dans et au profit d'une Europe désormais plus efficace, indépendante ou interdépendante dans ses domaines stratégiques. Le nouveau ministre des finances fait partie des ministres désignés pour leur compétences. Pour lui il s'agit notamment de l'allemand et de ses liens personnels avec ce pays. Misons sur une meilleure réussite de dialogue en regard de la ministre allemande de la défense, très francophone.

 

« Bon vent » monsieur le ¨Président de la République. Mais là aussi, chacun ses lunettes...

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SOUVENONS NOUS DU 8 MAI POUR MIEUX ALLER DE L'AVANT EN EUROPE

8 Mai 2017 , Rédigé par francoischarles

L'anniversaire de la signature de l'armistice de la seconde (et non il faut l'espérer deuxième) guerre mondiale rassemble heureusement toujours une certaine foule mais hélas souvent trop liée uniquement à la défense.

Certes, il faut nous souvenir pour les parents et les personnes tombées pour la partie et sa liberté.

Si la France avait tenu ses engagements et venir à l'aide de la Pologne en attaquant l'Allemagne sans attendre que la guerre arrive chez elle, la face de l'histoire aurait peut être changé, mais le nombre de tués et de destruction auraient été bien moindres et l'hémorragie sans doute stoppée. 

Mais il faut savoir aller de l'avant en reconnaissant que nous n'avons plus vécu de conflit grâce sans doute à l'Europe qui nous a relié par une structure commune, sans doute désormais à refondre pour un nouvel élan mais avec un respect des engagements, même s'il doivent être revus pour un socle plus fort.

FC

SOUVENONS NOUS DU 8 MAI POUR MIEUX ALLER DE L'AVANT EN EUROPE
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