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Le blog philosophique de francois CHARLES
Articles récents

nouvelles de l'IRCE

4 Octobre 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #europe

 

n'oubliez pas de vous orienter régulièrement sur le site de l'Institut de Recherche et de Communication sur l'Europe

 

salon Carnot de Lyon

 

salon Micronora de Besançon

 

publications

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communiqué politique Cote -d'or

3 Octobre 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #politique

considérant que le CNIP a rejoint l'UDI pour mieux entendre sa voix sans pour autant etre centriste, considérant les prises de position de pouvoir déjà affichées et les difficiles relations avec F Sauvadet, je repousse officiellement et sine die mon engagement du lancement officiel du CNIP de Cote d'or, sans pour autant ne plus etre actif politiquement et me consacrerai à mes actions Droite fédérale et européennes apolitiques dans le cadre de l'IRCE

 

FC

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la politique des petites phrases

2 Octobre 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #politique

en politique, les gens et les journalistes n'aiment que les luttes et les petites phrases mais ce ne sont pas elles qui font la vraie vision d'une Nation

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entreprise et bonheur

2 Octobre 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #management

je rebondis sur un message du MEDEF, qui dit que "l'entreprise c'est la vie"  en disant qu'ils existe aussi des organisations autres que l'entreprise et que l'entreprise crée aussi le bonheur car elle donne un travail. ensuite, c'est comme dans un couple, l'osmose d'un jour ne doit pas se transformer en sens unique

 

je vous invite à aller chercher, entre autres, les outils de la dépendance, de l'apprentissage et de l'écoute active

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Euro, fédéralisme et convertibilité or d’Euro-obligations (1)

2 Octobre 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #europe

 

J’ai bien écouté l’intervention de Romano Prodi et de son « parler vrai » lors des universités d’été du Medef. Il répondait à Laurence. Parizot qui répétait sans cesse la question tactique du « comment », rappelant aussi que Jean Monnet était entrepreneur et fils d’entrepreneur, alors que la première question stratégique du « quoi », sous-entendue du fédéralisme, n’était pas résolue, du moins non partagée par tous. 

 

 

 

IMG-20121002-01294R. Prodi, homme politique mais professeur d’économie, avançait l’idée d’obligations pour financer les dettes souveraines ou les investissements, qui seraient garanties par les réserves d’or des différentes nations. Cette idée, proche du profil psychologique de son émetteur, est à la fois aussi sécurisante et risquée que l’annonce soudaine de la BCE de soutenir les banques nationales sans réserve mais a le mérite de reposer des bases solides dont a besoin l’Europe pour aller de l’avant.

 

L’Union européenne va-t-telle enfin à nouveau formuler des choix politiques au-delà du pilotage par l’application de règles économiques et juridiques ? Quels sont les enseignements de l’histoire européenne, du dollar pour l’Europe et de la FED étasunienne pour la BCE européenne ?

 

Par François CHARLES*

Economiste, Conseil en stratégie et management, Président de l’IRCE

 

 

Pour commencer, un peu d’histoire

 

En 1850 le dollar (dont le nom est originaire d’Europe), était composé de plus de 10 000 sortes de billets émis par toutes les  banques qui se créaient sur le territoire au fur et à mesure de la conquête de l’ouest et la ruée vers l’or, avec les problèmes d’échange assez subjectifs que vous pouvez imaginer.

 

Une certaine unité est apparue à la fin de la guerre de sécession avec notamment l’apparition tardive d’une banque centrale créée  sous l’impulsion de T. Jefferson (que vous trouvez sur les rares coupures de 2 $). Elle avait pour objectif de respecter une capacité en billet égale à la capacité d’or afin d’éviter toute bulle financière spéculative.

 

La crise de 1929 a prouvé que le système n’avait pas tenu car au moment où chaque épargnant a voulu aller retirer de l’or contre ses billets, les banques n’ont évidemment pas pu honorer leurs engagements.

 

Mais l’idée n’était pas mauvaise du moment où elle était respectée. Les Accords de Breton Woods de juillet 1944 ont à nouveau installé cette équivalence dollars-or mais cette fois-ci à une échelle mondiale en un véritable ONU monétaire entre 44 pays. Il s’agissait d’un système de taux de change fixe mais ajustable, dans une libre convertibilité des monnaies et avec coopération internationale.

 

La dilution du risque était donc plus grande pour les autres pays afin de financer leur déficit, mais quasi nul pour les Etats-Unis dont c’était la monnaie. Le Général de Gaulle avait été le premier à critiquer la puissance du dollar mais il ne connaissait pas encore la future puissance de l’euro, avec ses avantages et ses inconvénients. Il agissait certainement aussi dans une démarche permanente d’interdépendance avec les Etats-Unis  d’Amérique pour leur rendre la « monnaie de leur pièce ». Le plan Marshall fut aussi, en réalité, un plan gagnant-gagnant de 17 G$.

 

Au même moment, en 1949, l’Europe mis en place l’Union Européenne des Paiements (UEP), mécanisme de compensation pour assurer une reconstruction efficace. Cette première unité de compte de l’Union, poussée par l’économiste belge Triffin, fonctionnera avec succès et fut arrêtée en 1958 une fois la reconstruction terminée. C’est ce même économiste qui fit remarquer qu’une monnaie internationale ne peut fonctionner que si elle est libérée des problèmes de convertibilité.

 

Vers 1960, on s’aperçut vite que seuls 20% des dollars des banques étrangères pouvaient être échangés en or, laissant présager une nouvelle crise potentielle mondiale. Un pool de l’or fut même instauré pour empêcher les cours de monter. Les dévaluations du Franc et les spéculations du Mark et du Yen entrainèrent finalement la fin des accords de Bretton Woods.

 

Le président Nixon rebondit en annonçant en 1973 l’arrêt de la convertibilité du dollar en or. On peut facilement imaginer qu’il s’agissait d’éviter tout risque de crevaison, voire de découverte de la bulle financière et pour installer certaines mesures protectionnistes. La monnaie verte (de par son encre spéciale mais qui devient maintenant bicolore) devint désormais une monnaie flottante pour tenter de se stabiliser et diluer une nouvelle fois le risque. Mais chaque monnaie se retrouvait de facto également flottante, livrée à la régulation du marché et à la spéculation. Les thèses de ceux qui misaient sur la régulation du marché par la concurrence parfaite firent long feu.

 

La nouvelle trouvaille étasunienne fut d’indexer ensuite le prix du baril de pétrole sur le dollar en échange d’une protection de l’approvisionnement en provenance des Emirats, voire d’autres soutiens politico-financiers, bien connus dans le monde industriel et aéronautique. Les européens réagirent quant à eux en mettant en place le Serpent Monétaire Européen pour limiter la volatilité des monnaies entre elles et préparer une monnaie unique, sur le modèle de Brettons Woods, mais sans la valeur or et avec un écart maximum de 2,25% entre la monnaie la plus faible et la plus forte.

 

Mais le SME ne put tenir longtemps face au flottement des devises par rapport au dollar. Se souvenant du succès de l’UEP, l’Europe donna naissance en 1979 au Système Monétaire Européen (autre SME…) non plus indexé sur le dollar mais reposant sur l’ECU (European Currency Unit). Prenant en compte le dilemme de Triffin énoncé ci-avant, ce véritable panier de monnaies européennes constitua peu à peu une zone de stabilité relative au sein de SMI en évitant notamment aux monnaies de spéculer les unes entre elles.

 

Devant les montagnes russes du dollar, B. Clinton décida, dès 1980, d’arrêter l’inflation en augmentant fortement les taux d’intérêt et en essayant de faire baisser la monnaie. Ce fut sans réel succès provoquant même des dégâts sur l’emploi en Europe. L’idée de taxe Tobin apparu également pour taxer les opérations de change afin de limiter les effets spéculatifs néfastes. 

 

Heureusement l’ECU, fonctionnant entre les Etats et les entreprises, s’annonçait déjà fort et fut capable de limiter la hausse des taux en Europe, limiter le krach boursier de 1987 et a pu préparer avec succès la mise en place de la monnaie unique par le traité de Maastricht de 1992, appelée Euro au sommet de Madrid en 1995. Ce traité institua un taux d’inflation limité et ces fameuses règles de stabilité budgétaires imposant un déficit budgétaire structurel (recettes/dépenses) limité à 3% du PIB (dont on sait maintenant qu’elle est née en France en 1981 sur un coin de table mais finalement modélisé) et des dettes publiques plafonnées à 60% de du PIB, règles qui ne furent d’ailleurs jamais tenues ni par la France ni par l’Allemagne.

 

Le Parlement devrait bientôt voter, sans surprise, la règle d’or et le pacte budgétaire européen qui engagera la France à essayer de maintenir un déficit structurel ramené désormais à 0,5% du Produit Intérieur Brut (PIB) et qui, traduit en droit français, imposera notamment l’encadrement par un Haut Conseil Indépendant des Finances Publiques.

 

Quant au coupe feu financier, sorte de FMI européen, il additionne en fait le Fonds Européen de Stabilité Financière (FESF) de 250 milliards d’euros et le Mécanisme européen de Stabilité Financière de 500 G€. Ce montant de 750 milliards d’euros pourrait atteindre 1000 milliards afin de montrer une certaine force de frappe et de dissuasion face aux marchés monétaires influents. Les risques pour la France sont de 21 % de 500 G€, soit 110 millions quand on sait que le budget de l’Etat est de 1700 milliards. N’oublions pas non plus que dix milliards d’euros permettent à la Banque Européenne d’investissement (BEI) qui finance les grands projets, de créer un effet de levier de soixante

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sachons respecter le choix d'un vrai centre

30 Septembre 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #politique

 

apparemment, FB et certains cadres du MODEM, sont toujours d'accord avec mon constat, qui doit etre reconnu avec bienveillance (voir l'article sur les Echos) 

 

MAIS

j'espère que la partie droite sera présente aux rencontres Droite Fédérale

 

 

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budget de défense 2013

29 Septembre 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #défense

En tant qu’expert défense et ancien officier de la Direction Générale pour l’Armement en charge d’affaires industrielles et de programmes, je me devais de réagir sur le budget 2013 sur la défense. Tous les détails sont écrits dans de très bons articles, notamment la Tribune à qui je ne reprocherai qu’un seul mot : le titre. Non, la France ne désarme pas meme si certains amis ingénieurs généraux, pourtant proches du pouvoir, s’en plaignent.

 

Mais allons au-delà des chiffres. le budget stagne-t-il ou se réduit-il ? Je vais répondre comme pour le nucléaire : les deux mon capitaine. Encore une fois, et comme pour l’énergie nucléaire, ce gouvernement fait preuve de sagesse. D’une part, le budget reste en fait constant, donc en baisse en crédits de paiement, mais d’autre part il est vrai que la loi de programmation militaire ne sera donc pas suivie, comme s’y engouffre la droite une peu trop extravertie sans se souvenir que nous n’aurions pu faire mieux sauf ne pas tenir nos promesses de rigueur budgétaire.

 

airbus_a400m_l2.jpg

 

Certes, le budget de la défense a toujours été une variable d’ajustement et nous le déplorons. La plupart des commandes est maintenue avec enfin un avion de transport digne de ce nom et une limite d’impact sur les industriels et notamment les PME, heureusement autant que possible payées en direct. L’effort est conservé sur la recherche qui est garante d’une certaine démarche de continuité et qui devra renforcer sa cohérence avec l’Agence de défense européenne. Certains programmes auraient pu etre arretés comme nous l’avons déjà fait avec courage mais il n’en est encore rien.

 

Le grand poste sur lequel il reste à faire des efforts d’optimisation et de bonne gestion reste le Maintien en Condition Opérationnelle (MCO). Contrairement à ce que je lis, il ne s’envole pas s’il est compensé par des mesures d’externalisation de personnels, repris généralement par l’industrie, un travail à livre ouverts, à couts objectifs, à bonus ou malus dans les contrats. Nous savons aussi y remettre le paquet pour les opérations extérieures (OPEX) afin d’assurer nos missions. Le salut viendra sans doute par un meilleur décloisonnement industriel sur toute la durée de vie du matériel et en valorisant la maintenance en amont des programmes. Misons aussi sur les industriels qui ne s’enrichiront pas au son du canon alors qu’ils peuvent travailler à prix coutant avec avance, comme ils l’ont déjà fait en 2002. Nous nous retirons d’Afghanistan certes avec une bouffée d’oxygène mais profitons enbu pour nous assurer de certains stocks de munitions si nous allons guerroyer désormais sur les bords de la Méditerranée.

 

J’espère que les prochaines journées « vendre à la défense », qui seront organisées l’an prochain en Bourgogne-Franche Comté avec présence des Etat-major, de la DGA et de l’agence logistique principale de l’OTAN, seront un succès pour les entreprises de nos deux régions.

 

 

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interdépendance énergétique française et européenne

29 Septembre 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #énergie

 

prochainement un article sur mon retour d'expérience de l'accompagnement de la filière solaire, d'éléments de politique industrielle et d'approche européenne et d'économie mondiale

 

solaire-2.jpg

 

énergie européenne : et pourquoi pas vers une segmentation énergétique ? 

 

dimension internationale du solaire : sachons à la fois profiter du jeu chinois pour nous approvisionner à moindre cout devant leurs savoir faire et leurs applications de grande taille  mais sachons aussi nous préparer en imposant des normes de fabrication et en nous mettant en veille une solution de fabrication européenne (que nous savons réaliser) pour éviter toute dépendance de maintenance 

 

et merci aux "écolos" irréductibles cote d'orien avec lesquels j'ai échangé et qui m'ont aidé à réfléchir ...

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comment remplir sa vie ?

29 Septembre 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #management

 

prenez un pot, remplissez le de balles de golfs (par hasard, lol)

découvrez now que vous pouvez aussi le remplir de billes fines, puis de sable !

puis... d'un ou de plusieurs cafés avan qu'il ne déborde !  à vous de choisir ce que représente les balles de golf, les billes et le sable dans votre vie, le café restant le café avec des amis ou des collègues !! 

 

MAIS... attention aussi car si vous remplissez tout en sable ou tout en café, le bocal débordera ensuite 

 

rappelez vous le PRAJI d'analyse transactionnelle : sachez doser le % entre les phase de passe temps, d'activités, de retraits, de rituels, de jeux, et d'intimité, tout dépend aussi .. de votre activité 

 

merci à Ilham pour l'amorçage

 

retrouvez la stratégie et le management sur http://novial.overblog.com 

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taxation des heures supplémentaires

29 Septembre 2012 , Rédigé par francoischarles Publié dans #économie

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