le chatillonais se souvient
le comité du souvenir du monument de la foret de Chatillon célébrait le 69° anniversaire de la bataille de la foret où 37 maquisards furent fusillés le 10 juin 1944.
L'occasion et l'honneur m'ataient donnés en tant que président de l'IRCE, officier en retraite, ancien militaire des forces françaises et Alemagne et ancien parachutiste, de saluer les drapeaux en compagnie d'Alain Houpert et de François Sauvadet
activités de l'IRCE
bonjour
vous etes encore nombreux à rechercher des informations sur ce site pour les activités de l'IRCE dont je suis président et je vous remercie.
n'hésitez pas à aller sur http://irce.overblog.com où vous trouverez les comptes rendus des nombreux événements réalisés en mai en Bourgogne et à Paris ainsi que nos publications
par ailleurs, l'IRCE rappelle que sa démarche n'est pas politique, s'inscrit dans une démarche européenne et a pour vocation de travailler également en synergie constructives avec les initiatives des collectivités et les institutions MAIS un Conseil d'Administration extraordinaire se réunira prochainement pour décider ou on d'ester en justice pour réponse à toutes les actions qui ont été menées de façon irresponsable à tous niveaux pour déstabiliser ses événements .
F CHARLES Président de l'IRCE
diplomes etc
pendant deux ans j'ai été attaqué par le perroquet de Montbard et le petit prof violent sur mes diplomes et mes statuts et mes projets
les politiques s'y sont mis et meme les institutions qui pourtant sont là pour écouter et protéger les bons citoyens et les patriotes
aujourd'hui cela continue
je vais donc engager une nouvelle procédure mais peut etre via les Etats Unis pour etre sur que cela aboutisse...
FC
17 MAI conférence "fonctionnement et avenir économique de l'UE"
LES CONFERENCES DE L’IRCE
Dans le cadre du Joli mois de l’Europe de la Préfecture de Région et du Conseil Régional Vous voulez vous informer ou avez quelque chose à dire sur le fonctionnement et l’avenir de l’Union européenne ou de vos territoires dans la dynamique européenne ?
en tant qu'auteur d’articles et d’ouvrages sur les politiques européennes Ancien responsable d’affaires industrielles européennes et internationales au ministère de la défense Spécialiste des affaires économiques, de gouvernance et de défense Conseil en stratégie et management Président de l’IRCE
j'Interviendrai sur le thème « Fonctionnement et avenir économique de l’Union européenne » Le vendredi 17 mai 2013 de 19h00 à 21h00 Salle de réunion de la salle des fêtes De LES MAILLYS 21130
Libre accès Distribution de documentation sur l’Union européenne
Merci de confirmer votre présence à irce.asso@sfr.fr Avec le soutien de En espérant votre présence
publications
cheres lectrices, cher lecteurs
les mois de mai et juin étant très chargés en événements, mes publications baissent et m'en excuse
n'hésitez pas à consulter les blogs IRCE et NOVIAL INSTITUTE
bien à vous
F CHARLES
les animations du joli mois de l'Europe en Bourgogne
retrouvez les animations d e l'IRCE mais également toutes celles des autres organismes et collectivités ICI
ainsi que sur le blog/site de l'IRCE http://irce.overblog.com
communiqué du 8 mai
Cet anniversaire de la commémoration de la fin de la dernière grande guerre que les pays membres de l’Union européenne ont connus, est là pour nous rappeler que l’objectif des pères fondateurs était de garantir la paix. Nous l’avons atteint grâce notamment au succès des échanges. Les luttes commerciales ont remplacé les armes, les discriminations tendent à disparaitre, les personnes et les marchandises circulent, d’autres domaines s’harmonisent ou non en fonction des besoins et des nécessités dans une règle de subsidiarité et de quasi fédéralisme à la fois directive et souple en fonction des domaines. Mais restons vigilants car les failles économiques peuvent aussi rouvrir certaines anciennes tensions qui seront vite accaparées par certaines formes de nationalismes aigues toujours présentes. L’Union peut aussi évoluer et affirmer politiquement la force de son identité faite de nos différences et nos complémentarités. «Unie dans la diversité» est la devise de l'Union européenne. Le principe de subsidiarité doit désormais se compléter du principe de solidarité et de prise de conscience collective, gage de toute construction durable. Inviter la Pologne le 8 mai est un symbole, à la fois pour la France qui lui a toujours porté secours, mais aussi pour tous les pays de l’Est qui ont toujours considéré être en Europe sans avoir pu avoir la chance de faire partie des pays fondateurs. Ils représentent aussi une identité particulière qu’il faut savoir écouter, tout en faisant valoir nos préférences, pour maintenir cette paix.
François CHARLES
Président de l'IRCE
http://irce.overblog.com
les événements IRCE en Bourgogne en MAI
Les événements de l’IRCE
pendant le joli mois de l’Europe en Bourgogne
L’IRCE profitera de l’initiative du joli mois de l’Europe lancé par le Conseil Régional et l’Etat en Bourgogne, pour étendre à tout le mois sa semaine de l’Europe prévue initialement*, communiquer sur les événements récurrents** et également ceux prévus *** destinés aux entreprises en relation avec l’Union européenne.
GRAND PUBLIC :
La parole aux citoyens à Auxonne, Beaune, Dijon, Montbard, val de Saone et Auxois *
L’Europe à travers le golf sur le site de la Chassagne * avec de tres nombreux sponsors locaux + séjour à l'étranger
L’Europe à travers les saveurs : dégustation d’huile d’olive et découverte des pays **, à Dijon
Fonctionnement et avenir de l’Union européenne, à Les Maillys**
ENTREPRISES :
Diner scientifique LUNAR SOCIETY, à Dijon*
Symposium défense – industrie, à Dijon ***
Evénements consultables sur www.jolimoiseurope-bourgogne.fr,
et sur le site de l’IRCE http://irce.overblog.com avec PJ à télécharger
VILLES ROSES ET CAMPAGNES BLEUES…MARINE
Les élections de 2011 et 2012 nous ont enseigné que l’abstention savait être forte, que les villes devenaient roses et que les campagnes bleuissaient fortement comme par opposition et alerte, comme récemment au premier tour d’une élection locale.
A un an des prochaines élections, quelle est donc cette vague de couleur et comment l’analyser. Faudra-t-il une carte de bonne conduite française pour entrer dans certaines campagnes ou une carte de parti ou d’association pour rentrer dans certains quartiers urbains ? Est-ce désormais l’UMP et l’UDI qui comptent les points alors qu’ils pensaient marcher sur le tapis rouge ? Les « Unions » vont-elles finalement travailler ensemble et contre qui ?
Par François CHARLES
Animateur politique, ancien cadre de partis, créateur de Droite Fédérale, auteur d’un « programme social, écologique et semi-libéral »
un programme politique social, écologique et semi-libéral
J’ai fait le tour de la question car je suis né à la campagne, j’ai vécu en grande ville, puis à l’étranger, puis en ville nouvelle de part et d’autre des problèmes pour revenir en proche banlieue puis enfin à la campagne. Mais la campagne change aussi comme vous avez pu le lire dans mon analyse « ville et ruralité » où il faut trouver une intelligence entre ces deux composantes en mutation avec des réalités importantes en terme de développement. Les gens de villes peuvent aussi vite perdre leur couleur rose en arrivant à la campagne sans pour autant reconnaitre les valeurs profondes de la terre. Mais toutes les villes ne sont pas roses non plus.
Le président du Conseil général de Cote d’Or se lance à la reconquête des territoires avec des actions techniques de développement plutôt que politiques. Il a raison si l’on considère que la bulle réactionnaire se réduit quand l’activité économique repart, libérale ou non. Mais il s’agit de ne pas se tromper de combat étant donné que la Cote d’Or, plutôt rurale, est plutôt déjà préservée à droite, enfin… par toute la droite. Il serait dommage de faire une nouvelle exception nationale... Le combat n’est il pas contre les citadelles de gauche ? J’aurais donc plutôt écrit « à la reconquête des villes » ou « à la préservation de nos campagnes ». Quand des gens dits de droite ou centre droit disent savoir faire du porte à porte mais n’osent pas aller dans les logements sociaux quasiment de peur de se salir et ne pas pouvoir tenir une discussion, mais pourtant sont devant les usines à 5h du matin pour faire un coup de communication, on comprend qu’il reste beaucoup de travail et mieux vaut peut-être en effet consolider les « nouvelles campagnes ». La gauche va surement travailler aussi sur ses forces et conserver ses acquis en créant des citadelles sociales dans les villes face à l’aspect travailleur et responsable des campagnes accueillant ou non ensuite les villages en fonction de l’appartenance au parti ou à telle ou telle association ? On ne peut lui reprocher d’essayer de mener sa politique.
Que sont donc les forces du FN ? Les électeurs sont-ils prêts à voter pour ses candidats et s’apercevoir ensuite qu’ils ne pourront pas mener leur politique sauf à en adopter une autre. Mais le FN n’est plus ce qu’il était et reste compatible avec la République et le front républicain. C’est même l’interlocuteur FN des débats qui montre maintenant le spectacle désolant des dialogues entre les autres partis. Le FN, dit les choses sans scrupule, et est désormais à l’AN sans avoir eu besoin de la proportionnelle mais vit pour l’instant plus dans l’isoloir qu’au grand jour. Il reste ancré chez les grands propriétaires terriens, ou ceux qui le sont devenus, qui étaient, en temps de crise, davantage pour Pétain que De Gaulle. Plus que l’on ne pense, la ruralité, qui englobe les petites villes, est politisée et la ruralité peut aussi montrer à la ville sa dépendance. Et le salut viendra d’une droite un peut plus … fédérale.
Vers quel modèle de défense européenne ?
L’Union n’est pas un assemblage de peuples mis bout-à bout et la confiance passera par la défense où les réalités historiques sont les plus vivaces. Il est donc important d’analyser toutes les composantes en travaillant sur un document unique pour aller de l’avant.Une autre question aurait pu être : la défense européenne doit-elle être permanente ou de circonstances ?
Je suis poussé à l‘écrire au lendemain de la rencontre surprenante, incorrecte et non constructive avec l’un des députés rapporteurs de la Commission des affaires européennes de l’Assemblée Nationale auprès duquel j’ai compris certaines édifiantes réalités « de coin de table ». Je comprends mieux pourquoi l’Europe de la défense n’avance pas en dehors de l’OTAN que je considère, par ailleurs et par expérience, être un vecteur d’intégration européenne, un incubateur, qui peut même participer à son financement.
Par François CHARLES
Economiste, officier de l’armement en retraite, conseil en stratégie et management, président de l’Institut de Recherche et de Communication sur l’Europe.
S’agissant des forces, la création progressive d’une armée européenne fédérale, présente dans chaque pays, au-delà des modèles d’assemblage existants et avec des moyens propres, est réaliste et doit être un objectif. l’Eurocorps franco-allemand de 1992, issu de la brigade franco-allemande de 89, et rejoint ensuite par la Belgique, l’Espagne (94), le Luxembourg puis en observation par la Grèce, la Pologne, l’Italie, l’Autriche, la Roumanie, a fait ses preuves pour les missions ONU, OTAN et UE en Bosnie Herzégovine (SFOR 98) puis KFOR au Kosovo puis en Afghanistan (2004) via les Accord SACEUR définissant les conditions d’emploi du corps européen dans un cadre OTAN (et de l’ISAF Intervention Security Assistance Force après un test de capacité opérationnelle). L’Eurocorps est à disposition de l’UE en cas de crise et des accords techniques sont passés depuis 2003 avec la Pologne, la Turquie, l’Autriche.
Y introduire la Turquie, est à mon avis une erreur tant que ce pays non européen n’est pas membre de l’UE et c’est encore une preuve de dépendance à l’OTAN, de même qu’Israël ne peut être membre de l’UE même si nombre d’Israéliens le pensent car européens d’origine. Il faut être prêt à nous assumer maintenant que les Etats-Unis se déportent vers l’Asie. Le partenariat pour la paix doit être élargi et notre regard doit se tourner désormais vers la Biélorussie et l’Ukraine pour une intégration jusqu’à l’Oural. Je me souviens des Russes à Bruxelles, tres nombreux. Ils ont soif d’Europe, entretiennent une culture proche, mais possèdent aussi certaines légitimités d’identité qui les fait s’opposer à certaines adhésions sans leur consentement, comme celles de pays baltes.
Notre désengagement de l’OTAN était à son époque une nécessité pour mieux affirmer notre identité. L’Allemagne y a été aidée économiquement et internationalement car les alliés l’ont voulu pour éviter les déséquilibres. Il convient désormais de fonctionner de concert en interalliés et notre voix ne se fera d’autant plus entendre que nous sommes intégrés. J’entends encore récemment des collègues officiers maudire les petits pays. Ils n’ont rien compris. Ces derniers peuvent être une clé du fédéralisme plutôt qu’une crainte, comme j’ai réussi à le faire dans le cadre des négociations sur l’ACCS. Nous devons tirer partie du fonctionnement financier et opérationnel de l’OTAN et profiter de ses financements pour l’Europe. L’Eurocorps doit également désormais prendre une nouvelle dimension et activer sa capacité juridique et sa gestion autonome financière et matérielle qui existe. Il n’est pas forcément utile de créer une unité commune mais il est possible de reconnaitre une spécialisation par pays ou par zone d’intervention pour une certaine efficacité et une approche commune avec des sous-groupes de fonctionnement. Oui, l’idéal d’une force commune est beau mais en tant qu’expert en stratégie et en organisation, je sais que rassembler par autorité n’est pas bon et mieux vaut valoriser par nécessité extérieure. Nous l’avons vu en Irak ou en Afghanistan. Parfois les uns et les autres apportent leur savoir faire et leur savoir être et il est concevable que les forces françaises puisse agir d’un coté et les Britanniques ou les Allemands de l’autre de par leur expérience ou présence historique. Il convient pour autant désormais d’installer partout en Europe des unités communes pour mieux sensibiliser et non en faire uniquement un service d’actions extérieures. Des soldats pourront servir progressivement sous un même uniforme mais avec distinctions et avec un matériel géré en commun mais surtout être connus par la population. Nous devons continuer les efforts sur les vecteurs de coopération entre Nations déjà engagés tels la formation de pilotes, le ravitaillement en vol, l’observation aérienne, les Partenariats Publics Privés qui sont nés dans la défense dès Louis XIV !
S’agissant d’un service militaire, De Gaulle écrivait déjà que l’armée de métier était déjà que c’était une force de réaction efficace face au glacis de champagne et face à la technologie avancée. Je rappelle que notre décision d’armée de métier était politique mais liée à trois éléments : au fait que nos appelés étaient à peine formés sur les matériels de plus en plus techniques lorsqu’ils qu’ils partaient ; aux réalités de nos opérations désormais extérieures et enfin au coût humain toute chose égale par ailleurs, sur lequel j’ai d’ailleurs travaillé et dont la conclusion était que la charge financière était identiques entre une armée de circonscription et de métier au delà des problèmes de recrutement que vivait le Royaume-Uni. Entendre un député, qui plus est rapporteur, dire que cette troisième composante n’a pas été prise en compte est inadmissible surtout quand on sait que les appelés peuvent servir à l’intérieur du territoire pour des taches diverses et pour la défense civile et économique, et peuvent aussi en profiter pour se confronter à la discipline en tant qu’école de vie. Dans l’Europe des 27, sept pays ont conservé une obligation de servir : l’Allemagne (6 mois), la Finlande (milice) l’Estonie, le Danemark, l’Autriche qui vient de la réaffirmer, la Grèce et Chypre.
S’agissant des matériels et équipements, il n’est plus concevable que les programmes en coopération de défense coutent en fait souvent plus chers qu’un programme normal alors que nous avons su faire Airbus, certes avec des réalités « civiles » parfois plus contraignantes mais parfois réalistes. Je répète tout le temps que dans le civil, on fait la guerre « tous les jours ». Les comportements dans l’industrie de défense, comme des militaires, doivent également changer pour éviter de copier ce que fait l’autre par principe de souveraineté. Le forcing EADS de la logique industrielle unique pour l’A400M n’est-elle finalement pas une bonne idée pour éviter toute dérive de gestion de configuration ? Les clubs utilisateurs Rafale et Eurofighter, comme Mirage et Tornados doivent se rapprocher car les expériences sont complémentaires. Le NH90, appareil de l’OTAN, peut servir de vecteur d’intégration, tout comme la directive marché sur laquelle je me suis déjà exprimé.
De nombreux thèmes de discussion sont proposés à tous les attachés de défense européens à Paris pour leur donner la parole et nous permettre de mettre d’autres lunettes. Dommage que trop peu de Français participent aux débats.
Vers quel modèle de défense européenne ? |